Le groupe Bilderberg
Constitution:
Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution en mai 1954, sous le nom de "Bilderberg Group", réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas à l'hôtel Bilderberg à Oosterbeek en Hollande (d'où son appellation). Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d'universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s'appellent les Bilderbergers.Objet officiel:Construire l'unité occidentale contre l'expansion soviétique.Fonctionnement secret:Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte rendu. La presse en est exclue et d'ailleurs il n'existe dans la salle aucune possibilité d'enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.Instigateurs et participants:Jusqu'en 1976 la présidence était éxercée par le prince Bernhard de Lippe, ami des industriels les plus puissants comme le notait Philippe Bernert (L'Aurore, 27 Aoüt 1976), qui ajoutait que le prince regroupait ceux-ci "au sein de l'association "Bilderberg", extraordinaire franc-maçonnerie du monde international de affaires", le terme "affaires" devant être pris dans son acceptation la plus large. Le scandale des pots-de-vins de Lockheed et le "mea culpa" du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group; mais l'organisation n'en poursuivit pas moins ses activités, son "patron" véritable n'étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller.Ce financier américain mondialement connu est en effet à l'origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celles des personnalités présentes à la conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d'autres noms prestigieux: Retinger, l'instigateur, naturellement; F.D.L. Astor, éditor du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasaki; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA.Losqu'il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui le chairman pour l'Amérique, tout en présidant le Coucil on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étangères), organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).Relations avec les 2 autres groupes secrets:Les liens qui unissent les trois sociétés secrètes sont si étroits qu'on s'est souvent demandé si lesdites sociétés n'étaient pas les tentacules d'un même monstre...ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale.Nous avons vu que le financier Rockefeller animait les trois organisations. D'autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple: georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relation Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale) et le dernier en date: Lionel Jospin (Bilderberg); etc.Influence:La grande presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux.La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21,22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).Le daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient: Helmut Schmidt; Niarchos, le célèbre armateur grec; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique; le président de la Chase Manhattan Bank; etc. Coïncidence: la réunion de Torquay précedait de qulques jours seulement deux sommêts de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN.Que complotent les participants:Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l'objet d'indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers.Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre "Une main cachée dirige", les principaux sujets proposés au cours de ces dicrètes délibérations:- les problèmes financiers internationaux- la liberté d'émigration et d'immigration- la libre circulation des produits sans entraves douanières- l'union économique internationale- la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées nationales- la création d'un Parlement international- la limitation de la souveraineté de états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement supranational"Cest comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial", conclut Jacques Bordiot.D'ailleurs, Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR déclara le 17 Février 1950 devant les sénateurs américains: "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".Les véritables idéologies:Cette organisation recrute des membres qui adhèrent aux idées précédentes, mais toutes les personnes ne sont pas au courant des idéologies profondes de certains des membres principaux qui font aussi partie des 2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR).Ces membres particuliers et qui sont d'ailleurs les plus puissants font partie de ce que nous appellerons le "cercle intérieur", le "cercle extérieur" étant l'ensemble des hommes de la finance et de la politique qui sont séduits par l'idée de l'instauration d'un gouvernement mondial qui régulera tout (au niveau politique et économique), sans être conscient des véritables motifs qui poussent le "cercle intérieur" à mettre en place un gouvernement mondial (ce sont des "marionnettes" qui sont utilisées par le cercle intérieur parce que ses membres ne peuvent pas tout changer à eux seuls: ainsi le cercle intérieur et le cercle extérieur agissent en concert mais pas pour les mêmes raisons: le cercle extérieur par désir de s'enrichir ou/et par la croyance qu'un gouvernement unique apportera plus de paix et de cohésion qu'une multitude de petits pays; le cercle intérieur dont les membres sont déjà riches et puissants et dont les visées sont toutes autres: elles sont idéologiques). On peut avoir un aperçu des idéologies des membres du "cercle intérieur" dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruits".Plus précisément:Le cercle extérieur est constitué par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent.Le premier cercle intérieur, dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous-ou ont été- affiliées au CFR. On y retrouve en effet: George W. Ball, Robert Murphy, David Rockefeller, Arthur Dean, Dean Rusk,etc.Certains de ses membres font partie d'un second cercle intérieur encore plus fermé, le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), dont on sait seulement qu'il comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR, dont le secrétaire général du Bilderberg pour les Etats-Unis, David Rockefeller.Quel remède?La brochure de Robert Camman, Les véritables maîtres du monde, dont le succès a obligé Raymond barre à avouer publiquement (émission "l'heure de vérité" du 4 décembre 1985) qu'il appartenait bien à la trilatérale a mis en garde le Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd'hui, malgré le mutisme des media apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la Trilatérale ou le Bilderberg group.Tous les noms cités à titre de publicité (auquel nous pouvons ajouter michel rocard qui a participé à une des réunions du Bilderberg Group) ne sont pas ceux d'agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont peut-être été trompées (comme par exemple l'ex-député maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau qui figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977 et qui la quitta lorsqu'il se rendit compte de ce qu'était réellement cette mystérieuse société. Il ne figure plus désormais dans l'annuaire de la trilatérale), elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples.Mais nous sommes bien obligés , si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l'ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer elles-mêmes comme des adversaires. Un Rocard participant empressé du Bilderberg Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs du puissant financier international Rockfeller, seraient impuissants, désarmés, inoffensifs, s'ils n'étaient pas encouragés, épaulés, soutenus,par ces milliers d'honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n'ont pas encore vu le danger qu'ils se représentent. Il est temps de se rendre compte que voter la gauche ou la droite, c'est laisser faire le gouvernement mondial!
La commission Trilatérale
Constitution:Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque devant les réformistes ou colombes du CFR et ceux de Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l'expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental: la "Trilatéral Commission", qui vit donc le jour l'année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l'Europe, autrement dit: le Tokyo Stock Echange et la City de Londres. Etant d'origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 East 46th Street, New York).Objet officiel:Construire une coopération politique et économique entre l'Europe Occidentale, l'Amérique du Nord et le Japon.Fonctionnement secret:Elle est semi-secrète et internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d'autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B'nai B'rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère: ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l'organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et de médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des Etats des hommes à elle, d"infiltrer" les hautes sphères du monde occidental.Instigateurs et participants:Les instigateurs en sont en autres (les plus importants): David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger,etc. Parmi les personnages connus des Français, nous pourrons citer quelques noms des participants français du Meeting de Paris en 1989: Claude Imbert, Thierry de Montbrial, Hubert Curien, Jacques Rigaud, Alain Cotta, Raymond Soubie, Robert Lion, Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, etc. On constatera la présence de personnalités de la Gauche et de la Droite qui ont l'air bien amis. Parmi les autres participants, on pourra citer: Giovanni Agnelli, Georg Büchner, James E. Burke, Isamu Yamashita, Yotaro Kobayashi, E. Gerald Corrigan, Thomas P. Foley, Zbigniew Brzezinski, Manfred Wörner,etc.Relations avec les 2 autres groupes secrets:La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonnes mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu'ici à la Trilatérale d'agir dans l'ombre, si bien que rares sont les Français qui savent que cette mystérieuse société existe et qu'elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l'économie internationale par l'intermédiaire des affiliés qu'elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l'administration.Influence:Les membres de la trilatérale sont, naturellement, démocrates, tout en ayant conscience du danger que la démocratie peut représenter pour leur plan: "Plus un système est démocratique, plus il est exposé à des menaces intrinsèques", notait, dès 1975, un rapport de la Trilatérale sur la "gouvernabilité" des démocraties. L'un des "penseurs" de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n'a pas craint d'écrire: "Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l'homme", et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d'ajouter que: "En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste". Devenu le conseiller -le cornac- du président Carter, lui-même affilié à la Trilatérale, Brzezinski ajoutait: "Encourager les pays en question (notamment la Pologne) à se détacher de l'URSS ne servirait pas la cause de la Paix". Cette collusion des financiers et des communistes illustre bien l'entente contre nature du Grand Capital et de la Révolution que les écrivains indépendants dénoncent depuis plus d'un demi-siècle.La Trilatérale met en place ses hommes. 2 exemples:1) Le monde diplomatique soulignait le rôle considérable de la Trilatérale dans l'ascension fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait d'être porté à la Maison Blanche: "La candidature de M/ Jimmy Carter a été préparée de longue main et soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents de la Chase Manhattant Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S.,etc. Ces hommes, avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie, automobile) et seulement dix hommes politiques-dont bien entendu M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter Mondale-, constituent la branche américaine de la "Commission Trilatérale", créée en 1973 par M. Davis Rockefeller et dirigée jusqu'à une date récente par le professeur Zbigniew Brzezinski, principal conseiller de M. Jimmy Carter".2) Ne nous croyons pas épargnés: en France, la Trilatérale marqua également des points lorsqu'un obscur fonctionnaire international, membre de la Commission unique européenne de la CEE, affecté à la Communauté des affaires économiques et financières, fut brusquement nommé président de la Commission d'étude d'une réforme du financement et du logement (1975), puis ministre du Commerce extérieur (1976) et, peu après, Premier ministre. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1978, étant toujours à Matignon-c'est à dire bénéficiant de l'appui de la machine gouvernementale- que Raymond Barre, membre influent de la Trilatérale Commission, fut enfin élu député français. Tant qu'il fut premier ministre, il eut un rôle insignifiant au sein de la Trilatérale, mais dès qu'il fut libéré de sa charge il reprit du service et assista régulièrement aux réunions internationales et prononça même en 1983 le discours du 10ème anniversaire de la Commission Trilatérale.Que complotent les participants:Les ressources financières de la commission sont exclusivement régionales et proviennent des cotisations des membres (entrepeises privées ou publiques, fondations, instituts de recherches, donations, personnes privées) et parfois, mais rarement, des subventions publiques ( ministère des affaires étrangères)... Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent la plupart des affiliés donnent une idée de la puissance dont dispose la mystérieuse société qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé par une oligarchie de technocrates et de financiers. Les affiliés français de la Trilatérale se recrutent aussi bien à gauche qu'au centre ou à droite. Ceux qui se disent de Gauche vantant "l'internationalisme", et ceux qui se disent de Droite vantant le "Mondialisme", les deux appellations nous conduisant au Gouvernement Mondial. Chacun est utilisé en fonction de son idéal et de sa compétence, les membres de Gauche étant employés à détruire la religion, la famille, l'éducation, l'ordre et l'armée, au nom du laïcisme libéral, pacifiste, généreux, égalitaire et de la justice sociale (il faut des slogans porteurs tant pour les manipulés francs-maçons que pour les masses). Les membres de la Droite sont utilisés pour détruire les petites exploitations agricoles, l'artisan, le petit commerce, les PME et le PMI au nom du libéralisme économique et du libre échange, dans l'intérêt, disent-ils, du dynamisme économique, de l'emploi et des consommateurs (toujours les slogans accrocheurs et racoleurs). Les membres du Centre étant utilisés pour détruire le idées de nation et de patriotisme au nom de l'amitié entre les peuples et de l'Humanisme. Le tout couronné par des campagnes soit-disant antifascistes où l'on fait chanter en cœur Droite, Gauche et Centre, en faveur d'un mélange inter-racial, déracinant tous les individus (religion-culture-traditions-langue-histoire), déstabilisant les nations d'Asie (du Bassin Méditerranéen) et d'Europe, qui sont les foyers et les sources de la culture de l'Humanité. Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la puissante Trilatérale en Europe. La présence de M. Barre auprès du président Giscard d'Estaing s'explique d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour cette mystérieuse société. Invité à l'un de ses dîners, le 2 décembre 1975, Jacques Chirac devait définir ainsi la Trilatérale: "C'est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l'une des plus éminentes." Au meeting tenu secrètement en avril 1989 à Paris, après une annonce publique, le socialiste Mitterrand et le libéral Giscard d'Estaing ont fait assaut de courtoisie à l'endroit du chef suprême de la puissante société: le premier a décerné au banquier David Rockefeller le Légion d'Honneur, dont le ruban lui a été remis très officiellement par le second. Cette réunion du comité exécutif de la Trilatérale à Paris succédait à une autre manifestation, non moins significative, qui eut lieu trois mois plus tôt à Moscou. Une délégation conduite notamment par David Rockefeller, Georges Berthoin et Henry Kissinger fut reçue au Kremlin par Mikhaïl Gorbatchev. Une nouvelle branche de la Trilatérale est née trois ans après: l'asiatique. La Russie s'y retrouve avec le Japon et les États-Unis. Cette force économique est désormais aussi stratégique car des militaires participent à ses réunions.
Le C.F.R.
(Council on Foreign Relations) (Conseil des Relations étrangères)Constitution:Société fondée en 1919-1922 à l'initiative de Edward Mendell House, éminence grise du président Wondrow Wilson. Fondements inspirés du socialisme Fabien anglo-américain vers un mondialisme qui, par la révolution "silencieuse" (au lieu de la révolution par la rue), réalisera la grande synthèse entre capitalisme et socialisme.Objet officiel:Le Council on Foreign Relations (C.F.R.) se présente comme un groupe d'étude américain réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, sciences, capables de stimuler dans le public américain un esprit international et de coordonner les initiatives dans cette direction.Instigateurs et participants:Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations. L'animateur du CFR est David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank. Pour citer deux noms connus, nommons George Bush et Bill Clinton comme membres de la CFR.Relations avec les 2 autres groupes secrets:Winston LORD est aujourd'hui un des dirigeants du gouvernement CLINTON. Il y a quelques années, alors qu'il était président du CFR, il répondait à un de nos confrères américains qui lui demandait si vraiment c'était la Trilatérale qui menait le monde: "Pas du tout, c'est le CFR qui dirige tout". Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations.Influence:Généreusement subventionné par les fondations: Ford -Carnegie- Rockefeller, ainsi que les trusts d'importance internationale comme IBM -ITT- Exxon. Le CFR exerce une influence prédominante sur le gouvernement des États-Unis, sur le congrès et sur les deux principaux partis politiques: le Démocrate et le Républicain.Gouvernement invisible des états-unis, le CFR compte environ 2700 membres, dont les groupes de travail examinent en permanence tous les problèmes d'actualité. En place depuis les années trente, il a réussi à ce qu'aucun secrétaire au Département d'État, à la Défense, au Trésor, aux postes clés de ces ministères, dans les principales ambassades, à la direction de la CIA, ne soit choisi hors de son groupe. Depuis 1933, toute élection présidentielle a été conditionnée par le CFR. Les affiliés du Council on Foreign relations sont des américains, à qui les relations internationales permettent d'exercer un contrôle étroit sur les états occidentaux, soit directement, soit par l'intermédiaire de sociétés similaires ou annexes, ou d'organismes internationaux présidés par leurs membres, comme la Banque Mondiale.Il y a derrière tous les Pays d'Europe, derrière toutes les constructions d'un prétendu Nouvel Ordre Mondial, les clubs et les cercles semi-occultes dont Henry Coston et le CEI ont de longue date, souvent de concert, dénoncé les plans et les inspirateurs. Enfants et adeptes de ceux qui, simultanément, ont financé le communisme et le nazisme, offert la moitié de l'Europe au communisme après 1943-1945, assuré la survie du communisme du moment qu'il feignait de se débarrasser du stalinisme, assuré le retour du communisme depuis 1990, en empêchant à l'Est toute "décommunisation" des États, ils veulent à présent passer à l'étape suivante, sous la houlette apparente "de l'Amérique" alors qu'il s'agit strictement d'initiés qui, à travers le CFR, se sont progressivement emparés de l'Amérique.Que complotent les participants:Les principes de base du CFR se résument aujourd'hui encore à ceci:1) Commerce et aide aux pays les moins développés, même révolutionnaires; 2) Des institutions supranationales (en attendant un "Gouvernement mondial") doivent prendre en charge: recherche, exploitation, distribution des ressources énergétiques et matières premières; rationaliser le grand commerce; régler les conflits en obligeant au dialogue, en sorte qu'il n'y ait jamais ni vainqueurs ni vaincus; 3)Le communisme n'est pas l'adversaire, seulement ses excès et débordements; 4)Les souverainetés nationales doivent peu à peu disparaître dans de "grands ensembles économiques et géopolitiques" Le CFR a choisi une troisième voie pour le moment: accélérer d'abord le processus du grand ensemble pan-américain (Canada-USA-Mexique), tout en manœuvrant, y compris par une guerre économique plus ou moins truquée, en sorte d'obliger l'Europe, par réaction, à devenir une entité politico-commerciale assez forte pour substituer un pouvoir supranational à ses Etats-Nations, sous prétexte que le "nationalisme, c'est la guerre, c'est la haine...". On laisse délibérément durer des conflits comme en ex-Yougoslavie pour qu'à la longue, les populations se soumettent à n'importe quelle solution, c'est à dire la solution mondialiste.
En 1959, le CFR publie une étude (n°7) soulignant la nécessite "de bâtir un Nouvel Ordre International" du fait que l'URSS avec Khrouchtchev a évolué vers plus de démocratie. En 1960, Elmo Roper qui avait été un des auteurs de l'étude n°7 prononce un discours dans lequel il précise que "le but est un gouvernement mondial" et que, sur le plan militaire, l'OTAN doit être utilisé dans cette vision d'avenir. Ce discours sera ensuite publié à l'usage des affiliés. Divers aléas de la politique Est-ouest ralentissent le plan, mais en 1974, Foreign Affairs, la revue du CFR publie une étude de Richard N. Gardner (CFR, Bilderberg, Trilatérale), laquelle recommande qu'en attendant le moment d'un gouvernement mondial, l'ONU devrait provisoirement coiffer mouvements et organisations diverses, et utiliser tous les moyens "d'éroder morceau par morceau les souverainetés nationales, puisqu'elles entravent la marche du mondialisme". En 1992, dès l'élection de CLINTON (quifait partie du CFR, soit dit en passant), Richard N. Gardner est devenu un de ses conseillers non officiel, mais en permanence dans les bureaux de la Maison Blanche. En 1993, dans Foreign Affairs (sept/oct), trois éminences du CFR, attachées à la Rand Corporation, demandent qu'une sorte d"élargissement de l'OTAN" soit utilisé pour pousser plus avant vers un Nouvel Ordre Mondial. Les temps ont changé, cantonner l'OTAN à son seul rôle en Europe de l'Ouest est inutile. "l'OTAN doit ou sortir de sa zone actuelle d'activités, ou disparaître".
Les Illuminati
Présentation générale:C'est un ensemble de personnes qui ont un objectif commun et qui possèdent un certain nombre de connaissances qu'elles cachent au grand public afin de maintenir leur supériorité sur ce dernier et l'amener à adopter la conduite qu'elles veulent le voir adopter. Parce qu'elles savent, ces personnes s'appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent). Les Illuminati ne désirent pas que quiconque puisse avoir le droit de tout savoir.Ils ont existé sous diverses formes durant des siècles (ceux qui voulaient le pouvoir grâce à leurs connaissances et en maintenant les masses dans l'ignorance); mais il ne faut pas croire que les ères d'obscurantisme ont disparu: la connaissance circule effectivement librement aujourd'hui, et chacun est libre d'apprendre ce qu'il veut, mais cette liberté est contenue dans le cadre de la connaissance qui est "contrôlée et estampillée" par les services officiels de l'éducation, et les tenants en titre du savoir officiellement reconnu (scientifiques, historiens, sociologues, économistes, etc réputés). Or, il y a tout lieu de croire qu'une vaste quantité de connaissances reste à être découvertes et surtout qu'un petit nombre de personnes en détiennent déjà quelques unes d'importance majeure, mais ne les dévoilent pas (contrôle énergétique: voir les machines à énergie libre (energie.php) , contrôle économique: voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruits(armesil.php) et contrôle technologique : voir le gouvernement secret).Ces personnes ne sont pas de simples particuliers, mais des responsables de multinationales, de banques, de trusts mondiaux, de hauts responsables politiques,...qui ont de par leur situation la possibilité de contrôler et d'utiliser les connaissances dans les domaines les plus sensibles, et ceci dans un but bien particulier: une restructuration complète du fonctionnement du monde à travers l'acceptation commune des pays du globe de laisser s'instaurer un gouvernement mondial. Ce peut être une noble idéologie ou bien un de ces "chemins pavés de bonnes intentions et qui mènent vers l'enfer", mais tant que leurs agissements restent volontairement cachés du grand public, quelles qu'en soient les raisons, nous serons nombreux à essayer au contraire d'informer les gens, à eux de décider du bien et du mal pour eux-mêmes, et non à d'autres.Plan des Illuminati:Leurs objectifs actuels ont été élaborés en 1773 : préparer la voie pour leur Gouvernement Mondial unique jusqu'à environ l'an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Cet objectif est connu depuis le 19ème siècle et a été exécuté (la troisième guerre mondiale est en cours depuis les années 1950: c'est la guerre économique [ voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit ]). Ce plan de longue haleine a été poursuivi depuis 2 siècles par des personnes différentes, grâce au soutien économique de riches et puissantes familles. Des adeptes de l'idéologie ont été recrutés au cours du temps grâce à des sociétés secrètes oeuvrant dans les hautes sphères économiques et politiques et c'est avec grande ingéniosité et patience qu'aujourd'hui la grande majorité des classes dirigeantes influentes et des trusts économiques font partie des adeptes de leur grande idée. Ils ont maintenant les moyens de réaliser leurs ambitions qui sont d'envergure mondiale, comme nous le voyons à travers les documents sur le Groupe Bilderberg, la commission Trilatérale et le CFR.Petit historique:Les Illuminati:C'est au 14ème siècle que surgirent pour la première fois les Illuminati, en Allemagne. Ils étaient les plus grands "initiés" d'une société secrète appelée la Confrérie du Serpent (le mot biblique originel pour serpent, nahash, découle de la racine nhsh qui signifie déchiffrer, découvrir et illuminati provient de illuminare qui signifie illuminer, connaître, savoir, en latin). L'histoire du moyen-âge regorge de ce genre de sociétés secrètes réunissant certaines personnes ayant des buts idéologiques particuliers at sachant recruter ses membres parmi les riches et influents afin d'essayer d'accroître son impact et ses idées. Citons à titre d'exemple une très célèbre société secrète chrétienne qui a été tellement puissante et riche que même le roi de France les a craint en tant que principal débiteur (ils étaient plus riche que lui et possédaient de nombreux châteaux à travers le pays indépendants du régime de France et donc du roi) et les a exterminés: les Templiers.Les Sages de Sion:Une organisation secrète très influente exerçait un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs de l'époque, qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de Sages de Sion. Ils intriguèrent beaucoup et projetèrent la révolution anglaise en Hollande de 1640 à 1689. En prêtant de l'argent à qui il fallait et en soutenant et aidant un duc Allemand appelé Guillaume II , ils obtinrent la redevabilité du roi Guillaume III d'Angleterre, fils de Guillaume II, qu'ils avaient aidé à monter au pouvoir en renversant les Stuart du trône d'Angleterre (que d'intrigues!). En échange ce dernier persuada le Trésor Britannique d'emprunter de l'argent aux banquiers juifs affiliés aux Sages de Sion, et la dette de l'état augmentant très vite, ce dernier dut acquiescer aux conditions exigées qui permirent l'instauration de la première banque centrale privée: la Banque d'Angleterre.Les Rothschild:La maison Rothschild est un centre important dans l'affairisme bancaire international. Leur fortune originelle provient d'habiles transactions financières de Mayer Amschel, qui avait acheté une banque à Francfort en 1750, à la suite desquelles débuta pour eux le commerce bancaire international. Chacun des fils de Mayerouvrit une banque dans un pays différent: à Berlin, Vienne, Paris et Naples. Mayer écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée par l'avenir et il indiquait que les comptes devaient rester secrets, en particulier pour le gouvernement (et l'histoire montre que les Rothschild sont un des empires bancaires actuels les plus importants du monde). En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré les Sages de Sion à Francfort pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Ils soulignèrent le fait que la fondation de la Banque d'Angleterre avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise et déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit et ce plan aurait fini par être connu sous le nom de des Sages de Sion. L'origine de ce protocole remonte en fait à des siècles en arrière et ils auraient été remaniés par Rothschild avant d'acquérir leur vraie signification. C'est aussi Mayer Amschel qui aurait fondé les plans pour fonder la société secrète des "Illuminés de Bavière" et désigné son créateur, Adam Weishaupt, société qui va prendre une tournure importante et rassemblera de nombreux Illuminati. Les buts des illuminati incarnés par la société secrète des "Illuminés de Bavière" sont exposés dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit. On associe souvent les Illuminati comme étant les" Illuminés de Bavière", mais bien que les Illuminati soient en fait plus anciens, cette assimilation est sans importance car ce qui compte, c'est ce qu'ils veulent faire; se perdre dans des détails historiques étant en fait sans importance.Les Illuminati de Bavière:Les "Illuminés de Bavière"étaient organisée en cercles concentriques et dès qu'un initié prouvait sa faculté de garder un secret, il était admis dans un cercle plus restreint et lié à des secrets encore plus profonds. Seuls ceux qui se trouvaient dans le plus petit cercle connaissaient les vrais buts des "Illuminés de Bavière". Ils étaient divisée en 13 grades symbolisés par les 13 marches de la pyramide représentée sur le billet d'un dollar américain.Le fondateur de la société s'y entendait pour attirer dans son ordre les esprits les meilleurs et les plus éclairés qu'il choisissait dans la haute finance, l'industrie, l'éducation et la littérature. Il utilisait la corruption par l'argent et le sexe pour contrôler les personnes haut placées et il les faisait chanter pour être sûr de les garder sous son contrôle. Les illuminés de Bavière se mirent à conseiller des gens du gouvernement en se servant des adeptes aux grades supérieurs. Ces spécialistes s'y entendaient pour donner aux politiciens en place les conseils pour qu'ils adoptent une certaine forme de politique qui correspondait à leurs visées.En 1777, Weishaupt fut initié à la loge franc-maçonnique de Munich qu'il eut tôt fait d'infiltrer. En 1782 l'alliance entre les francs-maçons et les "Illuminés de Bavière" fut scellée à Wilhelmsbad. En contrôlant les "Illuminés de Bavière", les Rothschild exerçaient maintenant une influence directe sur d'autres loges secrètes importantes. Des documents montrent qu'ils ont manipulé les idées et qu'ils ont été des initiateurs de la révolution française entre autres.La conquête des USA:Les États-Unis ont eu leur déclaration d'indépendance signée en 1776. Ce pays en création était pour les Rothschild l'occasion de créer de vastes et puissants nouveaux réseaux bancaires. Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de Benjamin Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la First National Bank of the United States, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la Banque d'Angleterre et contrôlée par les Rothschild. Après moult endettements des USA envers cette banque, elle est devenue la Federal Reserve Bank et aujourd'hui la banque centrale américaine. Lors de la guerre de sécession, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord, celle de Paris, les États du Nord. Résultat: les Rothschild vainqueurs et les américains du sud et du nord vaincus. A travers leur influence par la franc-maçonnerie dont 1/3 des présidents américains ont fait partie et qui sont largement représentés au Sénat et au Congrès américains (Le sceau américain, la pyramide à l'œil qui voit tout, les armoiries de l'État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d'origine avec les 13 étoiles et les 13 rayures sont d'anciens et importants symboles francs-maçonniques; de plus sur ce même billet de un dollar il est écrit sur la pyramide: Novus Ordo Seclorum ce qui en latin signifie: Le Nouvel Ordre des Siècles, que nous pourrions réactualiser en: Le Nouvel Ordre Mondial), les Rothschild ont pu avoir les appuis nécessaires à l'édification de leur fortune et de leur contrôle aux USA. Ceci permet d'expliquer pourquoi c'est ce pays qui est "choisi" par le gouvernement mondial comme "base" stratégique.Plan pour des guerres mondiales:Dans une lettre du 15 août 1871, un plan décrivant la "conquête" du monde par trois guerres mondiales pour ériger le Nouvel Ordre Mondial est décrit, que l'on peut résumer ainsi:La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. A la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés de Bavière à l'échelle mondiale.La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toute pièces en manipulant les divergences d'opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d'influence et entraînerait la création d'un État d'Israël en Palestine.La plan de la Troisième Guerre Mondiale serait basé sur les divergences d'opinions que les Illuminés auraient créées entre les sionistes et les Arabes. On programmerait une extension du conflit à l'échelle mondiale. Une partie de la troisième guerre mondiale consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d'une brutalité et d'une bestialité jamais vues.On peut évidemment se dire que ces plans peuvent avoir été remaniés et repensé, améliorés au vu de nouveaux facteurs (voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit armesil.php), mais on voit là les grands traits de leurs idées: manipuler la politique à travers des individus bien particuliers, et de larges puissances économiques qui ont le choix de financer ou non les politiques qui sont conformes à leurs idées, décidant ainsi des vainqueurs dans les conflits, souvent après les avoir faits provoqués par manipulation politique et financière dans ce but.
Armes silencieuses pour des guerres sans bruit
(pour un nouvel ordre mondial)Les Illuminati sont un ordre secret connu depuis le 18ème siècle dont un manifeste est apparu au grand jour au début du 19ème siècle sous le nom de " protocole des sages de ZIONS ". En 24 paragraphes, ce manifeste décrit comment subjuguer et dominer le monde à l’aide d’un système économique (pour la création d’un nouvel ordre mondial).Étant donné la difficulté qu’il y avait à maintenir le secret au niveau international, il fut décidé de mettre en place un groupe extérieur afin de coordonner et contrôler les efforts internationaux et de protéger les secrets et les gouvernants de la curiosité habituelle de la presse. Ce groupe, dénommé les Bilderbergergs, (du nom de l’hôtel où s’est tenue leur réunion de constitution en 1952) a évolué sous l’infiltration des Illuminati en un gouvernement mondial secret contrôlant économiquement toute la planète (les Nations Unies n’étant qu’une aimable plaisanterie internationale).Un groupe privé d’étude dont l’objectif est de travailler à construire une coopération politique et économique entre l’Europe de l’Ouest, l’ Amérique du nord et le Japon dans le cadre d’un nouvel ordre mondial a été constitué en 1972 par D. Rockfeller et Zbigniew Brzezinski à l’aide de contacts avec les Bilderbergers. Il est constitué d’une élite de 300 décideurs importants dans le monde économique, politique et intellectuel, sur les 3 continents. Ce groupe se nomme la commission trilatérale. Vous allez trouver dans la suite de ce document une des stratégies économiques des Bilderbergers.Note de William Cooper (ancien sous-officier des services secrets de la marine US): "j’ai lu des documents top secret qui expliquaient que " Armes silencieuses pour des guerres sans bruit " est une doctrine adoptée par le comité politique du groupe Bilderberg durant son premier meeting connu en 1954. Une copie trouvée en 1969 était en possession des services de renseignement de la Marine U.S."Le document actuel est daté de mai 1979 , et a été trouvé le 7 juillet 1986 dans une photocopieuse de marque IBM qui avait été achetée à une salle des ventes.Ce document rédigé en américain a été traduit en français en un document de 27 pages dont voici un résumé.Les éléments de texte mis "entre guillemets" sont des extraits du document et les commentaires sont en italique.Que veulent-ils ?"Toute science est simplement un moyen orienté vers une fin. Le moyen c’est la connaissance, la fin, c’est le contrôle . Au-delà de tout cela, il reste un seul problème : qui doit être le bénéficiaire ?"Leur but est le contrôle de l’économie. Le moyen est la connaissance des mécanismes économiques.Comment contrôler l’économie ?a) Pour contrôler, il faut pouvoir prédire et pour cela il faut un modèle économique."L’objectif de la recherche économique telle qu’elle est [...], est l’établissement d’une économie qui soit entièrement prévisible et manipulable.""On avait pressenti qu’avec des fondements mathématiques suffisants et des données, il serait presque aussi facile de prédire et de contrôler la tendance d’une économie, que de prédire et de contrôler la trajectoire d’un projectile. Ainsi que cela a été prouvé par la suite, de plus, l’économie a été transformée en un missile guidé vers une cible."Le modèle économique :"Dans l’étude des systèmes énergétiques, il apparaît toujours 3 concepts élémentaires. Ce sont : l’énergie potentielle, l’énergie cinétique et la dissipation de l’énergie. 3 contreparties essentiellement purement physique et idéalisées appelées "constituant passif" viennent en correspondance avec ces concepts."L’énergie économique est un concept analogue à celui d’autres types d’énergies : énergie mécanique ou électrique. En physique, il est possible de traduire des problèmes mécaniques en problèmes électriques lorsque l’on a à traiter des phénomènes mécaniques mettant en jeu uniquement des éléments associés aux 3 concepts fondamentaux élémentaires de l’énergie précédemment cités. L’énergie économique peut elle aussi être traduite en termes de langage électronique par le même type de procédés grâce à des équivalences entre énergie électrique et économique."Toute la théorie mathématique développée pour l’étude d’un système énergétique (par exemple, la mécanique, l’électronique, etc.) peut être immédiatement appliquée dans l’étude de n’importe quel système énergétique (par exemple, l’économie).""Pour résumer tout ceci, on a découvert que l’économie obéissait aux mêmes lois que l’électricité et que toutes les théories mathématiques et pratiques, et que tout le savoir-faire informatique développé dans le champ de l’électronique, pouvaient être appliqués immédiatement à l’étude de l’économie. La découverte ne fut pas déclarée au grand jour, et ses implications plus subtiles furent et sont toujours un secret gardé jalousement. Par exemple, le public ne sait pas que dans un modèle économique, la vie humaine est mesurée en dollars, et que l’étincelle électrique engendrée lors de l’ouverture d’un interrupteur branché sur un inducteur actif est mathématiquement équivalente, dans le modèle économique, au lancement d’une guerre.Enfin, parce que les problèmes d’économie théorique peuvent être traduits très facilement en problème d’électronique théorique, les solutions économiques peuvent être obtenues par résolution dans le domaine électronique puis par traduction inverse ; il s’en suit donc que seul un livre de traduction entre les 2 domaines et des définitions conceptuelles sont nécessaires pour faire de l’économie. Le reste peut être obtenu à partir des travaux classiques en mathématiques et en électronique. Ceci rend inutile la publication de livres sur l’économie avancée et simplifie grandement la sécurité du projet. "b) Une fois que le modèle est défini il faut définir les paramètres qui permettront de faire fonctionner le modèle." [...] la réponse [...] peut être prédite et manipulée, et la société devient un animal bien domestiqué avec ses rênes sous le contrôle d’un système de régulation informatique sophistiqué : un système de comptabilisation de l’énergie sociale.Finalement, chaque élément individuel de la structure passe sous le contrôle de l’ordinateur à travers la connaissance des préférences personnelles; une telle connaissance étant garantie par l’association informatisée des préférences de consommation (code universel sur les produits). Tout ceci identifie le consommateur (identifier via la liaison à travers une carte de crédit et plus tard, un " tatouage " corporel numérique [...])"De très nombreux paramètres de mesure de la société sont définis parmi lesquels, entre autre : la surveillance du comportement des enfants à l’école, l’analyse des standards de vie à travers la nourriture, l’habillement, l’habitation, les moyens de transport ; le tracé des habitudes d’achat à travers les relevés de compte, les cartes de crédit; la constitution de profils de comportement à l’aide de factures de téléphone, d’électricité, les choix d’investissements et de dépenses , etc (il y a plusieurs dizaines de paramètres énumérés dans le document original).c) Puis, il faut pouvoir mesurer ces paramètres ou bien essayer de réduire leur influence si on ne peut les maîtriser.Les personnes doivent entrer dans des catégories de moules et pour cela on les y incite en proposant des standards de société, des modèles de comportement type : que devez-vous regarder à la télévision, à quoi devez-vous vous intéresser, pour quels sports devez-vous vous passionner, que devez-vous approuver ou désapprouver, que devez-vous acheter et consommer, etc : les médias sont la pour nous proposer des réponses toutes faites à travers leur choix d’information et de divertissement et la publicité sert " d’amplificateur économique " en incitant à acheter selon les standards proposés. Les comportements sociaux sont dictés par des stéréotypes qui s’auto-entretiennent :"Les médias, la publicité, etc.. ont pour vocation de s’assurer que le futur père sera bien soumis à son épouse d’ici à ce qu’il soit marié. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a été préparé, soit sa vie sexuelle sera entravée et la tendre compagnie sera réduite à zéro. On lui apprend à voir que les femmes demandent plus de sécurité que de raison, et qu’elles demandent à ce que le comportement de l’homme soit honorable et édicté par des principes. "Quelques extraits de leur " table des stratégies " :Faites ceci :... pour obtenir cela :- Maintenir le public dans l’ignorance- Moins d’organisation publique- Créer des préoccupations- Des défenses affaiblies- Attaquer l’unité familiale- Contrôler l’éducation des jeunes- Encourager le conformisme social- Simplification des programmes informatiques- Affermir le consensus- Des coefficients simples (dans les programmes informatiques)- Renforcer le contrôle des variables- Des données d’entrée informatiques simples fournissant une plus grande prévisibilité- Maximiser le contrôle- Un minimum de résistance au contrôle- Effondrement de la monnaie- Détruire la confiance que les américains ont les uns envers les autresQuant aux catégories de personnes qui ne pourront pas rentrer dans les moules, soit par choix de non conformisme soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, elles doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société." Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total, [...] et on doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparent des parents.La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-mêmes de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante. "" Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile cependant car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : " celui qui paie est celui qui donne le ton ". "d) Enfin, il faut un outil efficace pour simuler l’économie à partie de ces paramètres et en prévoir le comportement : l’ordinateur." L’ingénierie sociale (l’analyse et l’automatisation d’une société) nécessite la corrélation d’une très grande quantité d’informations économiques changeant constamment (données). C’est pourquoi un système informatisé du traitement des données à haut débit était nécessaire pour calculer à l’avance l’évolution de la société et prévoir son arrivée à la capitulation.Les ordinateurs à relais étaient trop lents mais les ordinateurs électroniques inventés par Presper Eckert et W.Mauchly permettaient d’atteindre le but fixé. "" Puis, en, 1948, le transistor inventé par J.Bardeen, W.H.Brattain et W.Shockley a permis une grande expansion de l’activité des ordinateurs grâce à la réduction des surfaces et à la diminution des puissances électriques consommées.Avec ces [...] inventions à leur disposition, ceux qui étaient en position de pouvoir ont très nettement compris la possibilité qu’ils avaient de contrôler la totalité du monde en appuyant uniquement sur un bouton. "Les ordinateurs servent aussi bien dans la simulation du comportement économique d’une situation donnée que dans l’analyse de la structure économique dans son ensemble à fin de prévisions.En reprenant une analogie extraite du document : les vibrations des diverses parties d’un avion peuvent s’ajouter et provoquer sa destruction par effet de résonnance. La constitution de la structure peut être connue en faisant des tests de choc de ses constituants et des enregistrements de ces tests, après un traitement des données recueillies." Pour utiliser cette méthode des jeux de test en ingénierie économique, les prix des produits sont secoués (un produit de base est sélectionné comme le café, l’essence ou le sucre et un changement soudain est provoqué sur le prix ou la disponibilité du produit) et la réaction du consommateur public est contrôlée. Les échos résultant du choc économique sont interprétés théoriquement par des ordinateurs et la structure psycho-économique de l’économie est alors mise à jour. "Comment endormir le public face à l’attaque ?" Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiétement de cette arme sur son mode de vie, jusqu'à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. "Et pour s’assurer que le public n’aura pas l’occasion de se poser de questions sur le fonctionnement du système économique, on l’occupe:" Comme dans toute approche d’un système social, la stabilité est obtenue par la compréhension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de définir les modèles d’action et de réaction). L’impossibilité de cette prise en compte peut être, et est généralement désastreuse. "" L’expérience a prouvé que la méthode la plus simple pour sécuriser une arme silencieuse et obtenir le contrôle du public, c’est de maintenir le public dans l’indiscipline et dans l’ignorance des principes fondamentaux des systèmes d’une part, alors que d’autre part on les maintient dans la confusion et la désorganisation et on les distrait avec des sujets n’ayant aucune réelle importance.Ceci est obtenu :- En détournant les pensées ; en sabotant ses activités mentales ; en fournissant un programme d’éducation public de basse qualité dans les domaines des mathématiques ; de la logique, de la conception des systèmes et de l’économie ; enfin, en décourageant la créativité technique.- En faisant appel à ses émotions, en intensifiant son auto-confiance et ses faiblesses à travers des activités émotionnelles et physiques comme suivent :----- En provoquant des affrontements et des attaques émotionnelles incapables à travers des viols mentaux et émotionnels ; tout ceci pour l’utilisation d’un barrage constant de sexe, de violence et de guerre dans les médias (spécialement à la télévision et dans les journaux).----- En lui fournissant ce qu’il désire en excès - " nourriture avariée pour la pensée " - et en le privant de ce dont il a réellement besoin.- En réécrivant l’histoire et la loi, et en soumettant le public à des constructions anormales et ainsi en devenant capable de réorienter sa pensée vers des priorités extérieures entièrement préfabriquées au lieu de ses besoins personnels.Ceci empêche le public de découvrir ou même d’accorder de l’intérêt à une technologie sociale automatique fondée sur les armes silencieuses. La règle générale est qu’il y a du profit dans la confusion ; plus il y a de confusion, plus il y a de profit. Donc, la meilleure approche est de créer des problèmes, puis de proposer les solutions à ces derniers."RÉSUME POUR LA DIVERSIONLes médias : écarter l’attention du public adulte des véritables problèmes sociaux mais captiver son attention par des sujets sans réelle importance.L’école : maintenir le jeune public ignorant des vraies mathématiques, de la vraie économie, des vraies lois et de la véritable histoire.L’amusement : maintenir l’amusement du public en dessous d’un niveau primaire.Le travail : maintenir le public occupé, occupé, occupé, sans avoir le temps de penser du tout ; relégué au rang d’animal de ferme. "" Le comportement du public est soumis, dès la naissance à la peur, la paresse, et la recherche de l’intérêt personnel.Un tel comportement permet de fonder l’état providence comme une arme stratégique utile contre ce public sordide. "En application du principe diviser pour régner :" la cellule familiale doit être soigneusement désintégrée et l’on doit généraliser et imposer légalement la mise en place de l’éducation publique contrôlée par l’état, ainsi que les centres d’assistance publique sous la responsabilité de l’état ; tout ceci afin de préparer le jeune enfant à se détacher de son père et de sa mère à un âge de plus en plus précoce. La prise de drogue comportementale peut accélérer cette transition pour l’enfant. "Mais pourquoi contrôler l’économie ?" Par exemple, il existe une relation quantitative mesurable entre le prix de l’essence et la probabilité qu’une personne ressentirait un mal de tête, ou bien aurait l’envie d’aller voir un film violent, ou de fumer une cigarette ou bien d’aller dans un bar boire une chope de bière.Il est des plus intéressant qu’en observant et en mesurant les schémas économiques par lesquels les gens essaient de fuir devant leurs problèmes et de s’échapper de la réalité et par l’application de la théorie mathématique [...], il est possible à des programmes informatiques de prévoir la combinaison la plus probable d’événements que l’on pourrait fabriquer et qui apporteraient un contrôle complet et la soumission du public à travers la subversion d’une économie publique [...] "" L’objectif de telles études est d’acquérir le moyen de mettre l’économie publique dans un état dont les mouvements sont prévisibles ; et même de la mettre dans un état contrôlé de mouvement vers l’autodestruction qui convaincrait le public que certaines personnes dénommées experts pourraient reprendre le contrôle du système monétaire et rétablir la sécurité pour tous (plutôt que la liberté et la justice). Lorsque les citoyens soumis sont rendus incapables de contrôler leurs affaires financières, ils deviennent bien entendu totalement esclaves, et sont une source de travail bon marché. "" [...]un gouvernement lorsqu’il fait fonctionner la planche à billet au-delà des limites du produit national brut s’engage dans un processus économique appelé inflation. Cette méthode met une grande quantité d’argent dans les mains du public, permet de contrebalancer la cupidité du public, crée une fausse confiance en soi du public et, pendant quelques temps, maintient les fauves en cage.Les gouvernements doivent finalement avoir recours à la guerre afin d’équilibrer les comptes parce que la guerre n’est, en dernier ressort, que l’acte de destruction du créditeur. Les politiciens sont des gens à succès payés publiquement qui légitiment le fait de tenir la conscience publique à l’écart des responsabilités et des tueries.Si les gens prenaient réellement soin de leur prochain, ils contrôleraient leurs appétits (avidité, procréation, etc.) . "" Puisque la majeur partie du grand public ne sait pas se contrôler, il y a donc une seule alternative pour réduire l’inductance économique du système :Laisser la populace s’entre-tuer dans une guerre, ce qui aurait comme seul résultat une totale destruction de ce qui vit sur Terre.Prendre le contrôle du monde à travers l’utilisation d’une " arme silencieuse " économique sous la forme d’une " guerre sans bruit " et ainsi réduire l’industrie économique du monde jusqu'à un niveau acceptable à travers un processus d’esclavage bienveillant et de génocide.La dernière option a été retenue comme étant de manière évidente la meilleure. [...] Le public, en général, refuse d’améliorer sa mentalité et sa foi dans son prochain. Le public est devenu un troupeau grandissant de barbare et pour ainsi dire une scorie sur la face de la Terre.Le public ne se préoccupe pas assez de science économique pour comprendre pourquoi il n’est pas capable d’éviter les guerres en dépit de la morale religieuse. Le refus, pour cause de religion ou pour cause d’autosatisfaction de traiter des problèmes de la Terre, rend la solution au problème de la Terre incompréhensible pour lui. C’est du ressort du petit nombre de ceux qui veulent réellement penser et survivre comme étant les plus aptes à survivre, de résoudre le problème pour eux-mêmes, parce qu’ils font partie du petit nombre de ceux qui cherchent réellement. "Le document traduit complet est disponible ici en version RTF: Armesilencieuse.rtf(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir "Enregistrer sous")Autre traduction sur le site "SytiNet" de ce documentLe document américain original est disponible dans un livre de Mr William Cooper (à qui il a été communiqué) intitulé " Behold a pale horse ".Éditions : Light Technology Publishing P .O. Box 1495 AZ 86336 USAIl est aussi possible de l'obtenir à lui seul avec les coordonnées suivantes:Intitulé: Silent Weapons For Quiet Wars (a programming and study in economic manipulation)Editions: Cosmic Voyage Publications P.O. Box 1116 McMinnville OR 97128 USA
Quant à ceux qui sont intéressés par des compléments d’informations sur le groupe Bilderberger et les activités d’autres sociétés secrètes, ils pourront se référer au même livre de Mr Cooper, ainsi qu’ au " Livre Jaune n°5 " aux éditions Felix, écrit par un collectif d'auteurs (qui remplace et complète le livre: " Les sociétés secrètes " de Mr Jan van Helsing aux mêmes éditions Felix). Des références complètes sont disponibles dans la page intitulée: Le Nouvel Ordre Mondial.
Le gouvernement secret (1/4)
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12écrit le 23 Mai 1989révisé le 21 Novembre 1990Les signes sont de plus en plus nombreux.Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrerles gens de la Terre.Les rendez-vous ont déjà eu lieu.Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.Pape Jean XXII, 1935NDT : Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. : Light Tecnology PublishingP.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336U.S.A.Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de " fiction " qui nous viennent des U.S.A. .Le document est aussi disponible ici en version RTF: gouvsecr.rtf(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir Enregistrer)Quelques précisions avant de commencer la lecture du documentIlluminati :Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette société regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.Conseil des Relations Étrangères (CFR en américain) :C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rites initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes permet aux Illuminati de s’assurer que leurs " recrues " sont en accord avec leurs objectifs).Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.Commission Trilatérale :La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial.La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Vietnam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.Groupe Bilderberg :Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...VOCABULAIRE UTILISE POUR LA TRADUCTIONExtranéen : Néologisme créé à partir du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaineAlienigène : Néologisme créé à partir du latin " alienigenus " (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.
Le gouvernement secret (2/4)
PerspectivePlusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a pu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les chronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette hypothèse.Le gouvernement secretAu cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et même utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation.Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mesa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.Durant ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements" pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'"Agence centrale de renseignements".Le "Conseil de sécurité nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la "coordination des mesures d'information sur les services de renseignements étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements " - Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme ".NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. "NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du personnel des renseignements, "tous les coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création d'un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès.Une zone tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard.James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA.Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents efforts. L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène, et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où va l'argent va le pouvoir". Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA vise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.Le président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.Au cours de l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore en vie.Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.Moins d'une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon - lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.Entre-temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant "Son Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant "le tout-premier otage Krlll", car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : "Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions " est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des " Ethériens " !Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les différentes " autorités " et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai ".Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme des dieux par lui.Il est bon de préciser que l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un " tuyau " qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des marais ".On accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le nom de code était "The Dark Side of the Moon" [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.L'armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo " Gritz était un commandant de la force Delta.De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations de la "Solution 2" à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.C'est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu'il fallait "aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels sécuritaires" consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à Washington.Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes" est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples". Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés "les Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des " Skull and Bones " et " Scroll and Key " du temps où ils fréquentaient ces universités. Les " mages " sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et sont aussi membres d’un " Ordre secret de la Quête " connu sous le nom de société JASON.Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que directives de Majorité douze.Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des "Mages" les plus important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation de cette section a changé.Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire". C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.Les membres du groupe d’étude :Gordon Dean, Président, Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude, Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude, Professeur Edward Teller Frank Altschul, Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong, Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr., Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie , Frank C. Nash McGeorge Bundy , Paul H. Nitze William A. M. Burden , Charles P. Noyes John C. Campbell , Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter , James A. Perkins George S. Franklin, Jr. , Don K. Price I.I. Rabi , David Rockefeller Roswell L. Gilpatric , Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby , Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith , Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth , James T. Hill, Jr. Shields Warren , Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson , Mervin J. Kelly Arnold Wolfers.Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code "Country Club", en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le " Country Club ").Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année suivante, un compte rendu "officiel" des sessions sous le titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères", édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances? D'autre part,serions-nous réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la moindre idée.En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les "constructions souterraines à grande profondeur". Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis ses débuts cinq ans auparavant.Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait copié ce document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.Lars vint chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son objectif principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à la fin j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, " le conducteur de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son épaule droite ". J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.Il est important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton " d’aller se faire voir ailleurs ". Une fois que les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque. J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était révélé être plus tard, Lars Hansson.Hansson a plus tard clamé que j’avais violé son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier. Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a réellement tué notre président.Bo Gritz a déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz, qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble ?Robert Grodin est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir une copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion et de perpétuer le nuage de brouillard.J’ai appelé Bob Grodin et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du système de couverture de la vérité.Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur les assassinats de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui était responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable de la sécurité de la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait à sa place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.Pendant des années, j’ai parlé aux gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il était arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années. C’était la même information que celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie de la couverture ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à l’écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez " Hard copy ". Son nom est Bubs Hopper.Un autre producteur (dont je ne me souviens plus le nom) de " inside Edition ", un autre TV magazine, m’a contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper. Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne ".J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son intention avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l’apparence d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.J’ai découvert l’étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face d’une audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.Les astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs britanniques de chez TV expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé " Rapport scientifique ".Les auteurs du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits de ce livre sont de la véritable désinformation , suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers généraux de la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces colonies ont signé la constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait émis tout un "document de directives" pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée comme étant fausse.Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble.Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est une pure désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie.John Lear dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes " suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes n’existent pas ".Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre président. L'état major de la Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.J'ai moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement: " Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres aussi.On dirait que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les activités bien cachées. Le président de cette commission était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours fait.Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui dénonçaient le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord préparait un plan pour suspendre la constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses compagnies de gestion, la banque de développement Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore, Shandera et Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour des lanternes.Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman et prouver que le " document de directive " d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en dehors de toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.Un autre plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes. Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au début des années 60.Ce plan d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT: c’est, aux U.S.A., le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à certaines doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement psychiatrique. Je crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de programmes d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort.Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?Après avoir saisi les médias d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84, et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous réveiller et de réagir.Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction, entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les revues comme étant l’expert de " ce qui s’est réellement passé ".Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone. J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement " (citation de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce que nous méritons.William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai demandé, m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour la défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun doute.Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents, qu’il avait espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté des agences de renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était conclue par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands manipulateurs au cœur de pierre.Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues " estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.Jaimie Shandera est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste pour l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une petite annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui dépendaient autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le savez aussi.Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président en charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale graphique que John Lear est l’agent appelé " Condor " de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA .Quant à Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme! " ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la documentation que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de même étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une assistante financière serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses. C’est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la première fois présenté ce document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.C’est là la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et le second mot était une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais déjà vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de déterminer si j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, " lisez sur mes lèvres ". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un des vôtres.Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les lire tous les deux.Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble avoir pris d’extrême précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage du bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu. Je vous recommande de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce qu’en France...].J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant sur le fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout le reste de l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA nommé Budd Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur les kidnappés.Je sais que toutes les organisations de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de contrôle par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu à l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue pas un conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été 1988 où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée, Vicki Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : " vous savez, mon magasine pourrait être financé par la CIA ".J’ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs reprises que " la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ". L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant " le seul assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA et le groupe de Johnny Rosselli.Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est Barry Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date du professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise en œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement de Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans l’appendice.La preuve la plus accablante du contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La société Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut pas être contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.Don Ecker clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de l’armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il soupoudre ses articles de mots comme " ovniologique ", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes. Il dit que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique la calomnie.Selon des sources légitimes de responsables policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker II a été licencié après seulement six semaines pour " mauvaise conduite ". Mr Ecker est retourné à la prison d’état de l’Idaho où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr Ecker.Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se révélait être le plus grand canular ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?Si l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité.A la plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération de contrôle de l’esprit par la CIA?Selon les documents que j'ai vu, un citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée d'individus qui puisse être "mise en marche" et se retourner contre nous au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une "pétition accusatoire" et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.Les conclusions sont inévitables :1) Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa propre survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation doit son existence même à son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces principes. Il est temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances extranéenne et les pouvoirs humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la question primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ". Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d’agir correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un changement radical pour la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement et très silencieusement.3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.Si rien de ce qui précède n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres actions et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute, nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition du secret.Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple" et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs d'Europe mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la population : "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace vous sauveront ". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous ". L’information la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique, alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les avons vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente."Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre. "Ronald Reagan s’adressant à Mikhail GorbachevNDT : A noter qu’un président des Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation d’OVNI, observation qu’il avait officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.D’après une remarque de Mr Cooper : Lorsque le président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
Le gouvernement secret (3/4)
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper.J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.Dés l'abord, j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.J'ai entamé la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté." J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur une pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de bruit", lui ai-je dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans", m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.La première chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier."Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit.Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.Cooper: Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?Le vétéran: Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.Cooper: La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?Le vétéran: On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.Cooper: Quel était le nom de ce hangar'?Le vétéran: Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?Le vétéran: Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.Cooper: À quoi ressemble cet insigne?Le vétéran: À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description du détenteur comme toute autre carte d'identité.Cooper: Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?Le vétéran: On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.Cooper: Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était circulaire?Le vétéran: Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au cinéma.Cooper: Pouvez-vous me la décrire?Le vétéran: Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.Cooper: Quelle hauteur avait-elle?Le vétéran: De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?Le vétéran: Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.Cooper: Avez-vous aperçu des hublots?Le vétéran: Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.Cooper: Etaient-ils ronds?Le vétéran: Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.Cooper: L'officier vous a-t-il dit quelque chose?Le vétéran: Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.Cooper: Étrange comportement, ne trouvez-vous pas?Le vétéran: Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.Cooper: Qu'advenait-il à ces hommes?Le vétéran: Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.Cooper: Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?Le vétéran: Non, pas du tout.Cooper: Comment êtes-vous entré à Delta?Le vétéran: J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.Cooper: Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?Le vétéran: Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.Cooper: Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?Le vétéran: D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.Cooper: N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins?Le vétéran: J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de Dreamland?Cooper: Que voulez-vous dire?Le vétéran: Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?Cooper: Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?Le vétéran: Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.Cooper: Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?Le vétéran: Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...Cooper: Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?Le vétéran: Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié.Cooper: Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.Le vétéran: C'est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes.Cooper: En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?Le vétéran: Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.Cooper: Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?Le vétéran: L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles.Cooper: Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?Le vétéran: Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.Cooper: À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?Le vétéran: Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations, sans doute.Cooper: Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?Le vétéran: Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.Cooper: Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?Le vétéran: Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.Cooper: Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?Le vétéran: Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.Cooper: Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?Le vétéran: Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?Cooper: Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.Le vétéran: Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.Cooper: Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...Le vétéran:J e ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.Cooper: Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?Le vétéran: La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous... Personne n'y peut plus rien changer!Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la sienne.Il est le deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?En définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !* Le type de dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aéro-stratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Le gouvernement secret (4/4)
MORT DE COOPERWilliam Cooper, qui a diffusé dans les tout premier l'information concernant le gouvernement secret, ex-agent de la Navy américaine; et qui avait déjà pour cela failli perdre la vie (il avait perdu une jambe alors qu'une voiture de la CIA le laissait pour mort en ayant voulu l'écraser); est mort fin 2001.Sa mort n'est pas naturelle, puisqu'il a été tué alors qu'il était pris dans un guet-apens organisé de manière officielle par un Sheriff qui venait l'arrêter pour des motifs qui ont rapport avec son implication dans des groupes de self-défense anti-gouvernementaux américains, groupes qu'il a rejoint depuis son dégoût de son gouvernement après tout ce qu'il a appris, et sa tendance paranoïaque justifiée par des menaces constantes pour sa vie et celle de sa famille. Son arrestation a été organisée comme un traquenard dans lequel une confrontation armée a suivi, Cooper a tué un adjoint de police et Cooper a été lui-même tué par le Sheriff.Ainsi Cooper aura fini, après avoir perdu sa jambe, et vécu dans la peur et même la terreur constante (déménagements constants, il était sous surveillance, menaces, etc), par payer de sa vie le fait d'avoir été le porteur d'une vérité que beaucoup cherchent à cacher.Quelle que soit la part de désinformation contenue dans ses propos (et il y en a toujours, parce que ses sources sont aussi des manipulateurs habiles), il a joué le jeu de diffuseur d'une part de vérité, aux côtés de ceux qui dans le gouvernement américain en ont eu assez que le secret soit constant et ont voulu laisser filtrer la vérité par morceaux; mais en contre-partie il a été la cible de ceux qui eux étaient à la solde du gouvernement secret.Le participants à la réunion du 1er au 4 juin 2000NomNATFonction
Secrétaire général honorifique :J. Martin TaylorUKPrésident, WH Smith Group PLC, International Adviser, Goldman Sachs International
-----------------------------------------Président honorifique :Etienne DavignonBEPrésident, Société Générale de Belgique
-----------------------------------------Agnelli, GiovanniITPrésident honorifique, Fiat S.p.A.
-----------------------------------------Agnelli, UmbertoITPrésident IFIL - Fianziaria di Partecipazioni S.p.A.
-----------------------------------------Aguirre y Gil de Biedma, EsperenzaESPrésident du sénat espagnol
-----------------------------------------Allaire, PaulUSPrésident du conseil de direction et directeur général, Xerox Corporation-----------------------------------------Ambrosetti, AlfredoITPrésident, Ambrosetti Group
-----------------------------------------Andersen, Bodil NyboeDKGouverneur, Central Bank of Denmark
-----------------------------------------Asper, IsraelCNPrésident, CanWest Capital Group Inc
-----------------------------------------Avery, GrahamINConseiller en chef pour l'élargissement, EC
-----------------------------------------Balsemão, Francisco PintoPTProf. des sciences de communication, New Univ, Lisbon, Chair Impressa SGPS
-----------------------------------------Barnevik, PercySEPrésident, Investor AB
-----------------------------------------Benschop, DickNLSecrétaire d'état pour les affaires européennes
-----------------------------------------Bernabè, FrancoITReprésentant italien pour les initiatives de reconstruction dans les Balkans
-----------------------------------------Betz, Hans-GeorgDEVisiting Prof, European Studies, Cntr European Studies, Columbia & NY Univs.
-----------------------------------------Bildt, CarlINEnvoyé spécial du secrétariat général pour les Balkans, ONU
-----------------------------------------Black, ConradCNPrésident, Telegraph Group Ltd
-----------------------------------------Bruton, JohnIRLeader de Fine Gael
-----------------------------------------Buchanan, Robin WTUKAssocié principal, Bain & Company Inc
-----------------------------------------Clarke, KennethUKMembre du parlement
-----------------------------------------Çolakoglu, NuriTRPrésident & directeur général, NTV
-----------------------------------------Collomb, BertrandFRPrésident & directeur général de Lafarge; Directeur de Elf Total-Fina; membre du comité de surveillance du groupe Allianz; membre du comité de Direction au Crédit de Commercial France.
-----------------------------------------Cromme, GerhardDEPrésident du conseil de direction, Thyssen/Krupp AG
-----------------------------------------David, GeorgeGRPrésident, Hellenic Bottling Co. SA
-----------------------------------------Deutch, John MUSProfesseur, MIT
-----------------------------------------Diamandouros, P NikiforosGRMédiateur National
-----------------------------------------Dodd, Christopher JUSSénateur, D, Connecticut
-----------------------------------------Donilon, Thomas EUSVice président sénior, consultant général, and secrétaire, FannieMae
-----------------------------------------Dyson, EstherUSPrésident EDventure Holdings Inc.
-----------------------------------------Fréchette, LouiseINDéputé Secrétaire Général, ONU
-----------------------------------------Fresco, PaoloITPrésident Fiat S.p.A.-----------------------------------------Frum, DavidCNChroniqueur, National Post
-----------------------------------------Gouveia, Teresa PatrícioPTMembre du Parlement (PSD)
-----------------------------------------Graham, Donald EUSÉditeur, The Washington Post
-----------------------------------------Hagel, ChuckUSSénateur, R, Nebraska
-----------------------------------------Halberstadt, VictorNLProf of Economics, Leiden University; former Hon Sec Gen Bilderberg Meetings
-----------------------------------------Hambro, ChristianNODirector General, Research Council of Norway
-----------------------------------------Hampel, ErichATPrésident, Creditanstalt-Bankverein
-----------------------------------------Hutchison, Kay BaileyUSSénateur, R, Texas
-----------------------------------------Huyghebaert, JanBEPrésident, Almanij NV
------------------------------------------Janssen, Daniel EBEPrésident Solvay SA
------------------------------------------Johansson, LeifSEPresident & directeur général Volvo AB
------------------------------------------Johnson, James AUSPrésident & directeur général, Johnson Capital Partners
------------------------------------------Jordan Jr, Vernon EUSP.D.G., Lazard Frères & Co LLC
------------------------------------------Kayhan, MuharremTRVice Président du conseil de Söktas; ancien président de Tüsiad
-------------------------------------------Kissinger, Henry AUSPrésident, Kissinger Associates Inc
-------------------------------------------Kopper, HilmarDEPrésident du conseil de surveillance, Deutsche Bank AG
-------------------------------------------Kravis, Henry RUSPartenaire fondateur, Kohlberg Kravis Roberts & Co.
-------------------------------------------Kravis, Marie-JoséeUSSenior Fellow, Hudson Institute Inc
-------------------------------------------Lamy, PascalIN FRCommissaire Européen
-------------------------------------------Lévy-Lang, AndréFRAncien président de Paribas
-------------------------------------------Lippens, MauriceBEPrésident, FORTIS
-------------------------------------------Lipponen, PaavoFIPremier Ministre
-------------------------------------------Mathews, Jessica TUSPrésident, Carnegie Endowment for International Peace
------------------------------------------McDonough, William JUSPrésident, Federal Reserve Bank de New York
------------------------------------------Montbrial, Thierry deFRDirecteur, IFRI (Institut Française pour les Relations Internationales)
------------------------------------------Moore, MikeINDirecteur Général, WTO
------------------------------------------Nass, MatthiasRédacteur adjoint, Die ZeitHer Majesty the Queen of the NetherlandsNL------------------------------------------Ollila, JormaFIPrésident du conseil et directeur général, Nokia Corporation
-------------------------------------------Padoa-Schioppa, TommasoINMembre du conseil de direction, Banque centrale Européenne
-------------------------------------------Pagrotsky, LeifSEMinistre du commerce
-------------------------------------------Papandreou, George AGRMinistre des affaires étrangères
-------------------------------------------Petersson, Lars EricSEPrésident et directeur général, Skandia
-------------------------------------------Petritsch, WolfgangATLe haut représentant pour la Bosnie Herzégovine; négociateur européen au Kosovo
-------------------------------------------Pury, David deCHPrésident, de Pury Pictet Turrettini & Co Ltd.
-------------------------------------------Rasmussen, Anders FoghDKPrésident, Liberal Party
-------------------------------------------Reiten, EivindNOExec Vice President, Corporate Management, Norsk Hydro ASA
-------------------------------------------Richardson, BillUSSecrétaire à l'énergie
-------------------------------------------Riotta, GianniITRédacteur adjoint, La Stampa
-------------------------------------------Rockefeller, DavidUSPrésident, Chase Manhattan Bank International Advisory Council
-------------------------------------------Rodriguez Inciarte, MatíasESExec Vice président, Banco Santander Central Hispano BSCH)
-------------------------------------------Roll, EricUKSenior conseiller, UBS Warburg
-------------------------------------------Ruggiero, RenatoITVice président, Schroder Salomon Smith Barney International, and Chairman, Italy
-------------------------------------------Scholten, RudolfATMembre du conseil et directeur executif, Österreichische Kontrollbank AG
-------------------------------------------Schoutheete de Tervarent, Ph deBEAncien représentant permanent de la Belgique auprès de l'union européenne
-------------------------------------------Seidenfaden, TøgerDKRédacteur en chef, Politiken
-------------------------------------------Solana Madariaga, JavierINSecrétaire Générale, Conseil de l'union européenne
--------------------------------------------Soros, GeorgeUSPrésident, Soros Fund Management
--------------------------------------------Steinberg, James BUSAssistant adjoint du président pour les affaires de sécurité nationale (NSA)
--------------------------------------------Strauss-Kahn, DominiqueFRAncien ministre des finances; Professeur, Université de Paris
--------------------------------------------Surroi, VetonYUEditeur, KOHA Ditore
--------------------------------------------Sutherland, Peter DIRPrésident, Goldman Sachs International, & Chairman, BP Amoco plc
--------------------------------------------Tarullo, Daniel KUSVisitng Professor of Law, Georgetowm University Law Center
--------------------------------------------Thornton, John LUSPrésident & Co-COO, Goldman Sachs Group Inc.
--------------------------------------------Tremonti, GiulioITMembre de la Commission des Finances, Chambre des Députés
--------------------------------------------Trichet, Jean-ClaudeFRGouverneur, Banque de France
--------------------------------------------Vasella, Daniel LCHPrésident et directeur général, Novartis AG
--------------------------------------------Veer, Jeroen van derNLGroup MD, Royal Dutch/Shell Group; Designate Pres. Royal Dutch Petroleum
--------------------------------------------Vink, Lodewijk JR deUSPrésident & directeur général, Warner Lambert
--------------------------------------------Vranitzky, FranzATAncien Chancelier Fédéral
--------------------------------------------Wallenberg, JacobSEPrésident, Skandinaviska Enskilda Banken
--------------------------------------------Wolf, MartinUKRédacteur associé/Commentateur Économique
--------------------------------------------Wolfensohn, James DIN/USPrésident, La Banque Mondiale
--------------------------------------------Wolff von Amerongen, OttoDEPrésident & directeur général, Otto Wolff GmbH
--------------------------------------------Wolfowitz, PaulUSAncien haut fonctionnaire du gouvernement Bush, aujourd'hui doyen de l'Ecole des études internationales avancées (SAIS) de l'université Johns-Hopkins
--------------------------------------------Rapporteur:Mickelthwait, R. JohnUKRédacteur, The Economist
--------------------------------------------Rapporteur:Wooldridge, Adrian DUKCorrespondant à l'étranger, The Economist.
MALGRÉ LA PRÉSENCE DE PERSONNES AUSSI INFLUENTES, AUCUN MEDIA NE SE FAIT L'ÉCHO DE CES RÉUNIONS :
POURQUOI ???
Infiltration dans le Bilderberg 2005La réunion annuelle secrète du groupe de Bilderberg déterminera un grand nombre des gros titres de la presse — et de ses analyses — que l'on pourra lire dans les mois à venir. Pourtant les médias de l'establishment ont passé cette conférence complètement sous silence. A l'exception d'une demi-douzaine de journalistes triés sur le volet, qui ont tous juré de garder le secret, peu nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler de ce groupe secret et très fermé qui s'appelle les Bilderbergers.Les médias du courant dominant, qui aiment vanter leurs exploits d'investigations approfondies sur des sujets tabous, ont été étrangement peu disposés à lever le voile sur un événement d'importance majeure : les conférences annuelles secrètes du Groupe de Bilderberg, réunissant les financiers, les industriels et les personnages politiques les plus puissants de la planète.2005 n'a pas été un bon cru pour cette organisation secrète et son avenir semble morose. En effet, les efforts herculéens, déployés pour maintenir le secret sur sa réunion de cette année, qui s'est tenue à Rottach-Egern [à 60 km de Munich], ont lamentablement échoué. Et lorsque le groupe de Bilderberg est embarrassé, le monde libre reprend espoir, à l'aube du nouveau millénaire, de contenir ceux qui ont accaparé le pouvoir. Le groupe de Bilderberg a peut-être perdu un peu de son éclat passé, il n'empêche que le secret qui entoure ses réunions fait toujours ressembler la franc-maçonnerie à une cour de récréation. Le personnel de l'hôtel a été fiché et placé sous autorisation spéciale. Des portiers aux senior managers, les employés ont été prévenus (sous la menace de ne plus jamais travailler dans le pays) des conséquences auxquelles ils s'exposent si jamais ils révèlent à la presse le moindre détail sur les participants.A priori, les médias internationaux et nationaux sont les bienvenus, à condition de prêter serment ne rien dévoiler sur ce qu'ils y ont entendu. Il doivent garder un silence absolu et leurs rédacteurs en chef sont tenus pour responsables au cas où un de leurs journalistes ferait un reportage, même par "inadvertance", sur ce qu'il s'y passe.Lorsque Bush, Blair, Chirac, Berlusconi et compagnie participent aux sommets du G8, réunissant les dirigeants élus les plus importants du monde, les médias internationaux les accompagnent en masse. Le contraste saisissant avec le Bilderberg, c'est que les allées et venues s'y passent dans un black-out publicitaire quasi-total. Les discussions qu'ils engageront cette année — la manière dont le monde doit s'accommoder des relations entre l'Europe et les Etats-Unis, la poudrière du Proche-Orient, la guerre d'Irak, l'économie globale et comment empêcher une guerre avec l'Iran — et le consensus auquel ils parviendront influenceront le cours de la civilisation occidentale et l'avenir de toute la planète. Cette réunion se déroule à huis clos dans un secret total, protégée par une phalange de gardes armés.Quel Etait l'Ordre du Jour du Bilderberg 2005 ?Après trois années caractérisées par les hostilités et les tensions entre les "Bilderbergers" européens, britanniques et américains, à cause de la guerre d'Irak, l'atmosphère de sympathie qui régnait entre ses membres a été mise à mal. Toutefois, ceux-ci ont maintenu une cohésion dans leur objectif à long terme — qu'ils ont réaffirmé — à savoir, renforcer le rôle de l'ONU dans le règlement des conflits et des relations planétaires.Pour comprendre la véritable situation internationale, il faut savoir que les Américains ne sont pas plus des "faucons" que les Européens ne sont des "colombes". Les Européens s'étaient joints à la cohorte de soutien dpour une invasion d'Irak en 1991, orchestrée par le Président Bush père, célébrant — selon les mots d'un prédateur renommé appartenant au Bilderberg — la fin du "syndrome américain du Vietnam". Et puis, les Européens ont également soutenu l'invasion de la Yougoslavie orchestrée par le Président Bill Clinton, mettant l'OTAN au service de cette opération.Un sujet qui a été beaucoup discuté à Rottach-Egern, cette année, est le concept d'imposer une taxe onusienne prélevée sur l'ensemble des habitants de planète par l'intermédiaire d'une taxe sur le pétrole prélevée directement à la source. En fait, ceci crée un précédent car si elle mise en application, ce sera la première fois qu'une agence non-gouvernementale (les Nations-Unies) bénéficiera directement d'une taxe sur les citoyens des nations libres et des nations asservies.Cette proposition du Bilderberg appelle, pour commencer, à une minuscule perception par l'ONU que le consommateur remarquera à peine. Jim Tucker, du magazine Spotlight désormais interdit, a écrit il y a des années "Etablir le principe que l'ONU peut directement taxer les citoyens du monde est important pour le Bilderberg. C'est un autre pas de géant vers un gouvernement mondial. Les Bilderbergers savent que promouvoir publiquement une taxe de l'ONU sur tous les peuples de la Terre provoquerait des réactions d'indignation. Mais ils sont patients; le groupe de Bilderberg a déjà proposé, il y a des années, une taxe mondiale directe. Ils célèbrent aijourd'hui le fait que cela fait désormais partie du débat public et que les gens y font peu attention et ne s'en inquiètent guère."Le groupe de Bilderberg veut une "harmonisation des taxes" pour que les pays ayant un haut niveau d'imposition puissent concurrencer en matière d'investissements étrangers les nations aux taxes "amicales" — y compris les Etats-Unis. Ils "harmoniseraient" les taxes en obligeant les taux américains et ceux d'autres pays à monter afin que la Suède socialiste, au taux de 58%, puisse être "compétitive".Les ONGL'ascension des ONG est un progrès que l'ancien Président Clinton décrit soudainement (le lendemain où cela fut discuté à Rottach-Egern) comme l'une des "choses les plus remarquables depuis la chute du Mur de Berlin". L'ironie, c'est que la déclaration de Clinton fut reprise par le Wall Street Journal — quotidien toujours représenté aux réunions du Bilderberg par son vice-président Robert L. Bartley et son rédacteur en chef de la page éditoriale, Paul Gigot.Les Bilderbergers ont débattu vigoureusement pour que des militants écologiques non-élus et nommés par leurs soins aient, pour la première fois, une position d'autorité gouvernementale au conseil de direction de l'agence qui contrôle l'utilisation de l'atmosphère, l'espace extra-atmosphèrique, les océans, et, pour des raisons pratiques, la biodiversité. Cette invitation à ce que la "société civile" participe à la gouvernance globale est décrite comme une expansion de la démocratie.Selon des sources au sein du Bilderberg, le statut de ces ONG serait même encore relevé à l'avenir. Leurs activités comprendraient l'agitation au niveau local, le lobbying au niveau national et la production d'études pour justifier une taxation globale par l'intermédiaire d'organismes de l'ONU tels que le Pacte Mondial [Global Plan] — un des projets favoris du Bilderberg depuis plus de dix ans. La stratégie pour faire avancer le programme de gouvernement mondial comprend spécifiquement des programmes pour discréditer des personnes et des organisations qui génèrent des "pressions politiques internes" ou des "actions populistes" et qui ne soutiennent pas la nouvelle éthique mondiale. L'objectif ultime, selon ces sources, étant de supprimer la démocratie.Le programme environnemental des Nations-Unies, ainsi que tous les traités environnementaux placés sous sa juridiction, seraient finalement dirigés par un corps spécial de militants écologistes. Ces derniers seraient choisis uniquement parmi les ONG accréditées par les délégués de l'Assemblée Générale, qui sont eux-mêmes nommés par le Président des Etats-Unis, qui est lui-même contrôlé par le directorat enchevêtré Rockefeller/CFR/Bilderberg. [CFR = Council on Foreign Relations, le conseil aux relations étrangères]. Ce nouveau mécanisme apporterait une voie directe vers les plus hauts niveaux de gouvernance mondiale aux ONG locales, "de terrain", affiliées aux ONG nationales et internationales. Par exemple : The Greater Yellowstone Coalition, un groupe d'ONG affiliées, a récemment adressé une pétition au Comité Mondial du Patrimoine de l'UNESCO pour qu'il intervienne dans les plans d'une société privée qui voulait extraire de l'or dans un terrain privé à proximité du Parc National de Yellowstone. Le Comité de l'UNESCO est intervenu et a immédiatement classé Yellowstone comme "Site du Patrimoine Mondial en Danger". Selon les termes de la Convention du Patrimoine Mondial, les Etats-Unis ont l'obligation de protéger ce parc, même au-delà de ses limites, et jusqu'aux terrains privés si nécessaire.Les idées qui sont discutées, si elles sont mises en application, auront pour conséquence de placer tous les habitants de la planète dans une sorte de banlieue globale, dirigée par une bureaucratie planétaire, sous l'autorité directe d'une toute petite poignée de personnes nommées. Et nous serions tous surveillés par des milliers de personnes, payées par ces ONG accréditées, avec la certitude qu'elles soutiennent le même système de croyance. Bien sûr, pour beaucoup de personnes, cela est incroyable et inacceptable.Les Elections en Grande-BretagneLes Bilderbergers célèbrent le résultat qu'il voulaient obtenir. Le retour d'un Tony Blair bien plus humble au 10 Downing Street avec une majorité parlementaire réduite. Les Bilderbergers européens sont toujours en colère contre lui pour avoir soutenu la guerre de l'Amérique en Irak. Même s'ils ont donné à Blair une leçon utile de politique internationale, les Bilderbergers pensent en fait qu'il est un candidat bien plus sûr pour poursuivre le chemin vers l'intégration européenne que son rival conservateur, Michael Howard.Le Programme des NéoconservateursLa faction, connue sous le nom de "néoconservateurs" est arrivée à grand renfort. Ce sont eux qui ont déterminé que la sécurité d'Israël devait se faire aux dépends de la sécurité des Etats-Unis et qu'elle devait être au centre de toutes les décisions américaines de politique étrangère.Le plus voyant parmi ce groupe est l'espion israélien Richard Perle, qui a fait l'objet d'une enquête par le FBI pour espionnage au profit d'Israël. Perle a joué le rôle décisif pour précipiter les Etats-Unis dans la guerre contre l'Irak. Il fut forcé de démissionner le 27 mars 2003 du Conseil Politique de Défense du Pentagone, après que l'on apprit qu'il avait conseillé Goldman Sachs International — participant habituel du Bilderberg — sur la manière dont cette société pouvait profiter de la guerre en Irak.Un autre personnage néoconservateur disponible était Michael A. Ledeen, un "intellectuel parmi les intellectuels". Ledeen travaille pour l'American Enterprise Institute, un groupe de réflexion fondé en 1943, avec lequel Richard Perle est associé de longue date. L'AEI et la Brookings Institution dirigent le Joint Center for Regulatory Studies [Centre Conjoint d'Etudes Réglementaires] (JCRS) dont le but est de tenir les députés et les organismes de contrôle "pour responsables de leurs décisions en leur fournissant des analyses réfléchies et objectives sur les programmes de réglementation existants ainsi que de nouvelles propositions réglementaires". Le JCRS pousse à l'analyse coûts/bénéfices des réglementations, qui entre dans le cadre de l'objectif ultime de déréglementation de l'AEI (et des Bilderbergers).Cette année, ces néoconservateurs furent aussi rejoints au Bilderberg par une poignée d'autres anciens décideurs et publicitaires de première importance, basés à Washington et connus pour leurs sympathies pour Israël. Il y avait parmi eux : l'ancien haut-fonctionnaire du Département d'Etat, Richard N. Haas, président du CFR et ancien Secrétaire d'Etat adjoint ("père" de l'accord de Dayton[1]) ; Richard Holbrooke ; Dennis Ross du WINEP [Washington Institute for Near East Policy, l'Institutut de Washington pour la Politique au Proche-Orient] pro-israélien, une ramification du comité israélo-américain aux affaires publiques (l'AIPAC) et de l'institut juif pour les affaires de sécurité nationale (le JINSA) ; ainsi que le tout nouveau président élu de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz.Dennis Ross, Richard Perle et compagnie meurent d'envie de "faire passer le message" : procéder au nettoyage ethnique d'autant de Palestiniens que possible de la Cisjordanie et de Gaza. Voici ce que déclarait en 1989 l'ancien premier ministre Netanyahou devant des étudiants de l'université Bar-Ilan : "Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde était focalisée sur ce pays, pour procéder à des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires". Les résidents de la Communauté Européenne n'avaient peut-être aucune idée sur les intentions des Sionistes vis-à-vis des Palestiniens, mais, en Israël, à mon grand étonnement, le nettoyage ethnique est un sujet populaire de discussion. 50% ou plus des Israéliens pensent que le nettoyage ethnique est une bonne idée. Quand on pense que cela vient d'une nation qui est supposée se souvenir de l'Holocauste ! La réalité dépasse vraiment la fiction !L'EnergieUn Bilderberger Américain a exprimé ses inquiétudes concernant la montée en flèche du prix du pétrole. Un "initié" de l'industrie pétrolière a fait remarquer que la croissance n'est pas possible sans énergie et que, selon tous les indicateurs, les réserves d'énergie mondiale approchent de leur épuisement beaucoup plus vite que les dirigeants du monde ne l'ont anticipé. Selon nos sources, les Bilderbergers estiment que les réserves accessibles de pétrole sont au maximum de 35 ans, compte tenu du développement économique et de la population actuelles. Toutefois, un des représentants d'un cartel pétrolier a fait remarquer la nécessité de prendre en compte dans cette équation l'explosion de la population ainsi que la croissance économique et la demande pétrolière de la Chine et de l'Inde. Selon ces conditions révisées, il y a apparemment seulement assez de pétrole pour durer 20 ans. Plus de pétrole signera la fin du système financier mondial. Tout cela a été reconnu par le Wall Street Journal et le Financial Times, deux périodiques qui sont régulièrement présents à la conférence annuelle des Bilderbergers.En conclusion, attendez-vous à une sévère crise de l'économie mondiale dans les deux prochaines années alors que les Bilderbergers tenteront de protéger les réserves de pétrole restantes en prenant l'argent des mains des gens. Dans une récession ou, au pire, une dépression, les populations seront obligées de diminuer radicalement leurs habitudes de dépenses, assurant ainsi un plus long approvisionnement de pétrole aux riches de ce monde alors qu'ils tenteront de concocter une solution.Durant le cocktail d'après midi, un Bilderberger européen a noté qu'il n'y a aucune alternative convaincante à l'énergie des hydrocarbures. Et un initié américain a déclaré que le monde utilise actuellement entre quatre et six barils de pétrole pour chaque nouveau baril qu'il trouve et que, dans le meilleur des cas, les perspectives de faire une découverte majeure à court terme sont minces. Quelqu'un a demandé une estimation des réserves classiques de pétrole accessibles. Le montant cité était d'environ un trillion de barils. Accessoirement, il est intéressant de noter que la planète consomme un milliard de barils tous les 11,5 jours. Un autre Bilderberger a posé des questions à propos de l'hydrogène comme alternative aux réserves de pétrole. L'officiel du gouvernement des USA a avoué, sombrement, que l'hydrogène sauveur de l'imminente crise énergétique mondiale était un conte de fées.Cela confirme la déclaration publique faite en 2003 par IHS-Energy (société de consultants leader en recensement des réserves et des découvertes d'hydrocarbures) selon laquelle il n'y a pas eu une seule découverte de champ pétrolier dépassant les 500 millions de barils depuis les années 1920.A la conférence Bilderberger de 2005, l'industrie pétrolière était représentée par John Browne, directeur général de BP; John Kerr, directeur de Royal Dutch Shell; Peter D. Sutherland, président de BP et Jeroen Van der Veer, président du comité de direction de Royal Dutch Shell.Il faut se rappeler que, fin 2003, le géant pétrolier Royal Dutch Shell a annoncé qu'il avait surestimé ses réserves de quelques 20 %. La Reine Beatrix de Hollande, l'actionnaire principale de Royal Dutch Shell, est membre à part entière du groupe de Bilderberg. Son père, le prince Bernhard fut l'un des fondateurs du groupe de Bilderberg en 1954. Le Los Angeles Times a rapporté que "Pour les firmes pétrolières, les réserves comptent pour rien moins que la 'valeur de la compagnie'." En fait, Shell a réduit ses estimations de réserves non pas une, mais trois fois, conduisant à la démission de son co-directeur. A Rottach-Egern, en mai 2005, les plus hauts dirigeants de l'industrie ont tenté d'imaginer comment cacher au public la vérité sur les réserves de pétrole qui sont en diminution. Que le public prenne connaissance de la diminution des réserves et les actions baisseront, ce qui pourrait détruire les marchés financiers, conduisant ainsi à un effondrement de l'économie mondiale.Le Referendum Constitutionnel en FranceLe premier jour des rencontres secrètes au Bilderberg 2005 fut dominé par une discussion sur le referendum constitutionnel en France et pour savoir si Chirac pouvait persuader la France de voter OUI le 29 mai. Un vote pour, selon des sources au sein du Bilderberg, mettrait une grosse pression sur Tony Blair pour confier la Grande-Bretagne aux bras ouverts du Nouvel Ordre Mondial par l'intermédiaire de leur propre referendum sur le traite programmé pour 2006. Matthias Nass s'est demandé à haute voix si un vote en France contre le traité pouvait causer à coup sûr une tempête politique en Europe et éclipser les six mois de présidence européenne de la Grande-Bretagne (qui débute le 1er juillet). Les Bilderbergers espèrent que Blair et Chirac, qui ont étalé au grand jour, à plusieurs reprises, leur animosité, peuvent travailler ensemble pour leur bénéfice mutuel et leur survie politique. Un autre Bilderberger européen a ajouté que les deux leaders doivent laisser derrière eux et aussi vite que possible toutes leurs anciennes querelles sur des sujets comme l'Irak, la libéralisation de l'économie européenne et l'avenir du rabais que la Grande-Bretagne a reçu de l'UE ; et qu'ils doivent s'atteler à une intégration européenne complète, qui pourrait se désintégrer si le peuple français, souvent "têtu et obstiné" (selon les mots d'un Bilderberger britannique) ne font pas ce qu'il faut. Entendez par là : abandonner leur indépendance pour le "plus grand bien" d'un super Etat fédéral européen !Un Bilderberger allemand initié a déclaré que le vote français pour le OUI était délicat à cause des "délocalisations. Les emplois en Allemagne et en France s'envolent pour l'Asie et l'Ukraine," (pour profiter d'une main d'œuvre bon marché). [L'Ukraine qui se presse à la porte de l'Union Européenne…] Un politicien allemand a demandé comment Tony Blair allait faire pour demander aux Britanniques d'embrasser la Constitution Européenne lorsque, à cause des délocalisations, la France et l'Allemagne connaissent des taux de chômage de 10% et que la Grande-Bretagne se porte économiquement bien.Les Américains Hors-la-loiUne loi aux Etats-Unis, Logan Act, stipule de façon explicite qu'il est criminel pour des hauts-fonctionnaires américains de participer à l'élaboration de politiques publiques avec des citoyens du secteur privé. Bien qu'une de ses sommités manquait au Bilderberg 2005 — l'officiel du Département d'Etat américain, John Bolton, témoignait devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat [américain] — le gouvernement américain était bien représenté à Rottach-Egern par Alan Hubbard, assistant du président à la politique économique et directeur du Conseil Economique National ; William Lutti, sous-Secrétaire adjoint à la Défense ; James Wolfensohn, président sortant de la Banque Mondiale; et Paul Wolfowitz, Secrétaire d'Etat adjoint et président entrant de la Banque Mondiale. En participant à la réunion du Bilderberg 2005, ces personnes enfreignent les lois fédérales des Etats-Unis.Auna TelecomunicacionesLors du cocktail du samedi soir [le 7 mai] au luxueux Dorint Sofitel Seehotel Überfahrt de Rottach-Egern, en Bavière, plusieurs Bilderbergers qui se trouvaient au bar avec la Reine Beatrix de Hollande et Donald Graham, le PDG du Washington Post, discutaient de la vente prochaine du géant espagnol des télécommunications et du câble : AUNA. Auna exploite des services de téléphonie fixe, un réseau de téléphonie mobile, un système de télévision par câble et est aussi un fournisseur Internet. Un des Bilderbergers, familier avec ce sujet [probablement Henry Kravis, selon la description physique donnée par notre source présente à cette réunion], a déclaré que les activités de téléphonie mobile d'Auna pourraient rapporter quelques 10 milliards d'Euro, en tenant compte des dettes. Un autre Bilderberger (un homme de haute taille au front dégarni) a ajouté que les actifs immobilisés pouvaient atteindre 2,6 milliards d'Euro. Des sources proches de ces Bilderbergers ont déclaré en privé que Kohlberg Kravis Roberts & Co, une société de capital-investissement, est intéressée par l'achat de l'ensemble d'Auna. L'abondance de crédit bon-marché et les taux d'intérêt bas ont fait d'Auna une cible appétissante pour les investisseurs institutionnels. Kohlberg Kravis Roberts & Co est représentée aux réunions du Bilderberg par sa sommité, le milliardaire Henry Kravis, et sa femme, née dans une petite ville du Québec, Marie-José Kravis, cadre supérieur dans l'organisation néoconservatrice Hudson Institute. En conclusion: attendez-vous à une couverture et à un soutien favorable pour Kohlberg Kravis Roberts & Co de la part de Grupo Prisa, dont le conseiller délégué, Juan Luis Cebrian, participe toujours aux réunions super-secrètes du Bilderberg. Au cas où Kravis échouerait à constituer une offre compétitive, attendez-vous à une couverture semblable pour Goldman Sachs Group, dont Martin Taylor [son PDG] est le secrétaire-général honoraire du Groupe de Bilderberg et dont un autre Bilderberger, Peter Sutherland est le président de Goldman Sachs International ainsi que président européen de la commission trilatérale. Dans le passé, les révélations sur les réunions du Bilderberg ont alerté — des mois avant que les grands médias n'en parlent — sur l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis, les augmentations d'impôts et la chute de Margaret Thatcher en tant que premier-ministre de la Grande-Bretagne.L'Impasse entre l'Indonésie et la MalaisieUne confrontation politique et militaire entre ces deux nations dans la mer de Sulawesi riche en pétrole (toutes deux proclament que la région d'Ambalat, riche en pétrole, fait partie de leurs droits territoriaux) fut le sujet d'une discussion très animée entre plusieurs Bilderbergers Américains et Européens lors d'un cocktail d'après-midi. Un Bilderberger Américain agitant son cigare a suggéré d'utiliser l'ONU pour "promouvoir une politique de paix dans la région." En fait, les Bilderbergers qui étaient assis autour de la table du salon s'accordaient pour dire qu'un tel conflit pourrait leur donner une excuse pour mettre dans cette région disputée une garnison de "gardiens de la paix" de l'ONU, et donc assurer leur contrôle ultime sur ce trésor, c'est à dire des réserves pétrolières non exploitées. La ChineLes Bilderbergers américains et européens, réalisant l'urgence absolue de s'étendre dans les marchés en développement pour maintenir l'illusion d'une croissance sans fin, se sont mis d'accord pour nommer Pascal Lamy, socialiste français et partisan fanatique d'un super Etat européen, comme prochain président de l'OMC. Il faut se rappeler que Washington a donné son aval à la nomination de Pascal Lamy à la condition que les Européens soutiennent la nomination de Paul Wolfowitz comme chef de la Banque Mondiale. Selon des sources faisant partie des initiés du groupe de Bilderberg, Lamy a été choisi pour aider à diriger le système marchand mondial dans une période caractérisée par les sentiments protectionnistes de pays riches tels que la France et l'Allemagne, toutes deux titubant à cause d'un chômage élevé et réticentes à accroître l'exigence musclée du contrôle des marchés par les économies émergentes. Les Etats du Tiers Monde, par exemple, insistent sur les réductions des subventions agricoles européennes et américaines. La dynamique de libéralisation orchestrée par l'OMC s'est effondrée dans l'acrimonie à Seattle en 1999 puis à Cancun en 2003. Les Bilderbergers se sont mis d'accord secrètement sur la nécessité d'obliger les pays pauvres à entrer dans un marché mondialisé pour fournir des biens bon-marché tout en les forçant simultanément à devenir leurs clients. Le désaccord actuel avec la Chine en est un très bon exemple, puisque les Chinois ont inondé les pays occidentaux de marchandises bon-marché, dont les textiles, poussant les prix à la baisse. En échange, les Bilderbergers ont pénétré un marché émergent mûr mais vulnérable au savoir-faire supérieur des occidentaux. Des pays similaires en voie développement acquièrent lentement un meilleur pouvoir d'achat et le monde industrialisé met un pied dans leurs économies intérieures en visant des exportations bon-marché.
* * *
voir le lien ci-dessous
vidéohttp://leweb2zero.tv/multipod/alfred_27484ba3b73294a
Le groupe Bilderberg
Constitution:
Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution en mai 1954, sous le nom de "Bilderberg Group", réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas à l'hôtel Bilderberg à Oosterbeek en Hollande (d'où son appellation). Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d'universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s'appellent les Bilderbergers.
Objet officiel:
Construire l'unité occidentale contre l'expansion soviétique.
Fonctionnement secret:
Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte rendu. La presse en est exclue et d'ailleurs il n'existe dans la salle aucune possibilité d'enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.
Instigateurs et participants:
Jusqu'en 1976 la présidence était éxercée par le prince Bernhard de Lippe, ami des industriels les plus puissants comme le notait Philippe Bernert (L'Aurore, 27 Aoüt 1976), qui ajoutait que le prince regroupait ceux-ci "au sein de l'association "Bilderberg", extraordinaire franc-maçonnerie du monde international de affaires", le terme "affaires" devant être pris dans son acceptation la plus large. Le scandale des pots-de-vins de Lockheed et le "mea culpa" du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group; mais l'organisation n'en poursuivit pas moins ses activités, son "patron" véritable n'étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller.
Ce financier américain mondialement connu est en effet à l'origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celles des personnalités présentes à la conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d'autres noms prestigieux: Retinger, l'instigateur, naturellement; F.D.L. Astor, éditor du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasaki; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA.
Losqu'il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui le chairman pour l'Amérique, tout en présidant le Coucil on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étangères), organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
Les liens qui unissent les trois sociétés secrètes sont si étroits qu'on s'est souvent demandé si lesdites sociétés n'étaient pas les tentacules d'un même monstre...ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale.
Nous avons vu que le financier Rockefeller animait les trois organisations. D'autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple: georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relation Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale) et le dernier en date: Lionel Jospin (Bilderberg); etc.
Influence:
La grande presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux.
La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21,22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).
Le daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient: Helmut Schmidt; Niarchos, le célèbre armateur grec; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique; le président de la Chase Manhattan Bank; etc. Coïncidence: la réunion de Torquay précedait de qulques jours seulement deux sommêts de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN.
Que complotent les participants:
Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l'objet d'indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers.
Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre "Une main cachée dirige", les principaux sujets proposés au cours de ces dicrètes délibérations:
- les problèmes financiers internationaux
- la liberté d'émigration et d'immigration
- la libre circulation des produits sans entraves douanières
- l'union économique internationale
- la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées nationales
- la création d'un Parlement international
- la limitation de la souveraineté de états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement supranational
"Cest comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial", conclut Jacques Bordiot.
D'ailleurs, Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR déclara le 17 Février 1950 devant les sénateurs américains: "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".
Les véritables idéologies:
Cette organisation recrute des membres qui adhèrent aux idées précédentes, mais toutes les personnes ne sont pas au courant des idéologies profondes de certains des membres principaux qui font aussi partie des 2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR).
Ces membres particuliers et qui sont d'ailleurs les plus puissants font partie de ce que nous appellerons le "cercle intérieur", le "cercle extérieur" étant l'ensemble des hommes de la finance et de la politique qui sont séduits par l'idée de l'instauration d'un gouvernement mondial qui régulera tout (au niveau politique et économique), sans être conscient des véritables motifs qui poussent le "cercle intérieur" à mettre en place un gouvernement mondial (ce sont des "marionnettes" qui sont utilisées par le cercle intérieur parce que ses membres ne peuvent pas tout changer à eux seuls: ainsi le cercle intérieur et le cercle extérieur agissent en concert mais pas pour les mêmes raisons: le cercle extérieur par désir de s'enrichir ou/et par la croyance qu'un gouvernement unique apportera plus de paix et de cohésion qu'une multitude de petits pays; le cercle intérieur dont les membres sont déjà riches et puissants et dont les visées sont toutes autres: elles sont idéologiques). On peut avoir un aperçu des idéologies des membres du "cercle intérieur" dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruits".
Plus précisément:
Le cercle extérieur est constitué par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent.
Le premier cercle intérieur, dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous-ou ont été- affiliées au CFR. On y retrouve en effet: George W. Ball, Robert Murphy, David Rockefeller, Arthur Dean, Dean Rusk,etc.
Certains de ses membres font partie d'un second cercle intérieur encore plus fermé, le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), dont on sait seulement qu'il comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR, dont le secrétaire général du Bilderberg pour les Etats-Unis, David Rockefeller.
Quel remède?
La brochure de Robert Camman, Les véritables maîtres du monde, dont le succès a obligé Raymond barre à avouer publiquement (émission "l'heure de vérité" du 4 décembre 1985) qu'il appartenait bien à la trilatérale a mis en garde le Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd'hui, malgré le mutisme des media apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la Trilatérale ou le Bilderberg group.
Tous les noms cités à titre de publicité (auquel nous pouvons ajouter michel rocard qui a participé à une des réunions du Bilderberg Group) ne sont pas ceux d'agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont peut-être été trompées (comme par exemple l'ex-député maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau qui figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977 et qui la quitta lorsqu'il se rendit compte de ce qu'était réellement cette mystérieuse société. Il ne figure plus désormais dans l'annuaire de la trilatérale), elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples.
Mais nous sommes bien obligés , si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l'ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer elles-mêmes comme des adversaires. Un Rocard participant empressé du Bilderberg Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs du puissant financier international Rockfeller, seraient impuissants, désarmés, inoffensifs, s'ils n'étaient pas encouragés, épaulés, soutenus,par ces milliers d'honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n'ont pas encore vu le danger qu'ils se représentent. Il est temps de se rendre compte que voter la gauche ou la droite, c'est laisser faire le gouvernement mondial!
La commission Trilatérale
Constitution:
Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque devant les réformistes ou colombes du CFR et ceux de Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l'expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental: la "Trilatéral Commission", qui vit donc le jour l'année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l'Europe, autrement dit: le Tokyo Stock Echange et la City de Londres. Etant d'origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 East 46th Street, New York).
Objet officiel:
Construire une coopération politique et économique entre l'Europe Occidentale, l'Amérique du Nord et le Japon.
Fonctionnement secret:
Elle est semi-secrète et internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d'autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B'nai B'rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère: ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l'organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et de médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des Etats des hommes à elle, d"infiltrer" les hautes sphères du monde occidental.
Instigateurs et participants:
Les instigateurs en sont en autres (les plus importants): David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger,etc. Parmi les personnages connus des Français, nous pourrons citer quelques noms des participants français du Meeting de Paris en 1989: Claude Imbert, Thierry de Montbrial, Hubert Curien, Jacques Rigaud, Alain Cotta, Raymond Soubie, Robert Lion, Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, etc. On constatera la présence de personnalités de la Gauche et de la Droite qui ont l'air bien amis. Parmi les autres participants, on pourra citer: Giovanni Agnelli, Georg Büchner, James E. Burke, Isamu Yamashita, Yotaro Kobayashi, E. Gerald Corrigan, Thomas P. Foley, Zbigniew Brzezinski, Manfred Wörner,etc.
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonnes mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu'ici à la Trilatérale d'agir dans l'ombre, si bien que rares sont les Français qui savent que cette mystérieuse société existe et qu'elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l'économie internationale par l'intermédiaire des affiliés qu'elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l'administration.
Influence:
Les membres de la trilatérale sont, naturellement, démocrates, tout en ayant conscience du danger que la démocratie peut représenter pour leur plan: "Plus un système est démocratique, plus il est exposé à des menaces intrinsèques", notait, dès 1975, un rapport de la Trilatérale sur la "gouvernabilité" des démocraties. L'un des "penseurs" de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n'a pas craint d'écrire: "Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l'homme", et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d'ajouter que: "En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste". Devenu le conseiller -le cornac- du président Carter, lui-même affilié à la Trilatérale, Brzezinski ajoutait: "Encourager les pays en question (notamment la Pologne) à se détacher de l'URSS ne servirait pas la cause de la Paix". Cette collusion des financiers et des communistes illustre bien l'entente contre nature du Grand Capital et de la Révolution que les écrivains indépendants dénoncent depuis plus d'un demi-siècle.
La Trilatérale met en place ses hommes. 2 exemples:
1) Le monde diplomatique soulignait le rôle considérable de la Trilatérale dans l'ascension fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait d'être porté à la Maison Blanche: "La candidature de M/ Jimmy Carter a été préparée de longue main et soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents de la Chase Manhattant Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S.,etc. Ces hommes, avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie, automobile) et seulement dix hommes politiques-dont bien entendu M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter Mondale-, constituent la branche américaine de la "Commission Trilatérale", créée en 1973 par M. Davis Rockefeller et dirigée jusqu'à une date récente par le professeur Zbigniew Brzezinski, principal conseiller de M. Jimmy Carter".
2) Ne nous croyons pas épargnés: en France, la Trilatérale marqua également des points lorsqu'un obscur fonctionnaire international, membre de la Commission unique européenne de la CEE, affecté à la Communauté des affaires économiques et financières, fut brusquement nommé président de la Commission d'étude d'une réforme du financement et du logement (1975), puis ministre du Commerce extérieur (1976) et, peu après, Premier ministre. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1978, étant toujours à Matignon-c'est à dire bénéficiant de l'appui de la machine gouvernementale- que Raymond Barre, membre influent de la Trilatérale Commission, fut enfin élu député français. Tant qu'il fut premier ministre, il eut un rôle insignifiant au sein de la Trilatérale, mais dès qu'il fut libéré de sa charge il reprit du service et assista régulièrement aux réunions internationales et prononça même en 1983 le discours du 10ème anniversaire de la Commission Trilatérale.
Que complotent les participants:
Les ressources financières de la commission sont exclusivement régionales et proviennent des cotisations des membres (entrepeises privées ou publiques, fondations, instituts de recherches, donations, personnes privées) et parfois, mais rarement, des subventions publiques ( ministère des affaires étrangères)... Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent la plupart des affiliés donnent une idée de la puissance dont dispose la mystérieuse société qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé par une oligarchie de technocrates et de financiers. Les affiliés français de la Trilatérale se recrutent aussi bien à gauche qu'au centre ou à droite. Ceux qui se disent de Gauche vantant "l'internationalisme", et ceux qui se disent de Droite vantant le "Mondialisme", les deux appellations nous conduisant au Gouvernement Mondial. Chacun est utilisé en fonction de son idéal et de sa compétence, les membres de Gauche étant employés à détruire la religion, la famille, l'éducation, l'ordre et l'armée, au nom du laïcisme libéral, pacifiste, généreux, égalitaire et de la justice sociale (il faut des slogans porteurs tant pour les manipulés francs-maçons que pour les masses). Les membres de la Droite sont utilisés pour détruire les petites exploitations agricoles, l'artisan, le petit commerce, les PME et le PMI au nom du libéralisme économique et du libre échange, dans l'intérêt, disent-ils, du dynamisme économique, de l'emploi et des consommateurs (toujours les slogans accrocheurs et racoleurs). Les membres du Centre étant utilisés pour détruire le idées de nation et de patriotisme au nom de l'amitié entre les peuples et de l'Humanisme. Le tout couronné par des campagnes soit-disant antifascistes où l'on fait chanter en cœur Droite, Gauche et Centre, en faveur d'un mélange inter-racial, déracinant tous les individus (religion-culture-traditions-langue-histoire), déstabilisant les nations d'Asie (du Bassin Méditerranéen) et d'Europe, qui sont les foyers et les sources de la culture de l'Humanité. Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la puissante Trilatérale en Europe. La présence de M. Barre auprès du président Giscard d'Estaing s'explique d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour cette mystérieuse société. Invité à l'un de ses dîners, le 2 décembre 1975, Jacques Chirac devait définir ainsi la Trilatérale: "C'est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l'une des plus éminentes." Au meeting tenu secrètement en avril 1989 à Paris, après une annonce publique, le socialiste Mitterrand et le libéral Giscard d'Estaing ont fait assaut de courtoisie à l'endroit du chef suprême de la puissante société: le premier a décerné au banquier David Rockefeller le Légion d'Honneur, dont le ruban lui a été remis très officiellement par le second. Cette réunion du comité exécutif de la Trilatérale à Paris succédait à une autre manifestation, non moins significative, qui eut lieu trois mois plus tôt à Moscou. Une délégation conduite notamment par David Rockefeller, Georges Berthoin et Henry Kissinger fut reçue au Kremlin par Mikhaïl Gorbatchev. Une nouvelle branche de la Trilatérale est née trois ans après: l'asiatique. La Russie s'y retrouve avec le Japon et les États-Unis. Cette force économique est désormais aussi stratégique car des militaires participent à ses réunions.
Le C.F.R.
(Council on Foreign Relations) (Conseil des Relations étrangères)
Constitution:
Société fondée en 1919-1922 à l'initiative de Edward Mendell House, éminence grise du président Wondrow Wilson. Fondements inspirés du socialisme Fabien anglo-américain vers un mondialisme qui, par la révolution "silencieuse" (au lieu de la révolution par la rue), réalisera la grande synthèse entre capitalisme et socialisme.
Objet officiel:
Le Council on Foreign Relations (C.F.R.) se présente comme un groupe d'étude américain réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, sciences, capables de stimuler dans le public américain un esprit international et de coordonner les initiatives dans cette direction.
Instigateurs et participants:
Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations. L'animateur du CFR est David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank. Pour citer deux noms connus, nommons George Bush et Bill Clinton comme membres de la CFR.
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
Winston LORD est aujourd'hui un des dirigeants du gouvernement CLINTON. Il y a quelques années, alors qu'il était président du CFR, il répondait à un de nos confrères américains qui lui demandait si vraiment c'était la Trilatérale qui menait le monde: "Pas du tout, c'est le CFR qui dirige tout". Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations.
Influence:
Généreusement subventionné par les fondations: Ford -Carnegie- Rockefeller, ainsi que les trusts d'importance internationale comme IBM -ITT- Exxon. Le CFR exerce une influence prédominante sur le gouvernement des États-Unis, sur le congrès et sur les deux principaux partis politiques: le Démocrate et le Républicain.
Gouvernement invisible des états-unis, le CFR compte environ 2700 membres, dont les groupes de travail examinent en permanence tous les problèmes d'actualité. En place depuis les années trente, il a réussi à ce qu'aucun secrétaire au Département d'État, à la Défense, au Trésor, aux postes clés de ces ministères, dans les principales ambassades, à la direction de la CIA, ne soit choisi hors de son groupe. Depuis 1933, toute élection présidentielle a été conditionnée par le CFR. Les affiliés du Council on Foreign relations sont des américains, à qui les relations internationales permettent d'exercer un contrôle étroit sur les états occidentaux, soit directement, soit par l'intermédiaire de sociétés similaires ou annexes, ou d'organismes internationaux présidés par leurs membres, comme la Banque Mondiale.
Il y a derrière tous les Pays d'Europe, derrière toutes les constructions d'un prétendu Nouvel Ordre Mondial, les clubs et les cercles semi-occultes dont Henry Coston et le CEI ont de longue date, souvent de concert, dénoncé les plans et les inspirateurs. Enfants et adeptes de ceux qui, simultanément, ont financé le communisme et le nazisme, offert la moitié de l'Europe au communisme après 1943-1945, assuré la survie du communisme du moment qu'il feignait de se débarrasser du stalinisme, assuré le retour du communisme depuis 1990, en empêchant à l'Est toute "décommunisation" des États, ils veulent à présent passer à l'étape suivante, sous la houlette apparente "de l'Amérique" alors qu'il s'agit strictement d'initiés qui, à travers le CFR, se sont progressivement emparés de l'Amérique.
Que complotent les participants:
Les principes de base du CFR se résument aujourd'hui encore à ceci:
1) Commerce et aide aux pays les moins développés, même révolutionnaires; 2) Des institutions supranationales (en attendant un "Gouvernement mondial") doivent prendre en charge: recherche, exploitation, distribution des ressources énergétiques et matières premières; rationaliser le grand commerce; régler les conflits en obligeant au dialogue, en sorte qu'il n'y ait jamais ni vainqueurs ni vaincus; 3)Le communisme n'est pas l'adversaire, seulement ses excès et débordements; 4)Les souverainetés nationales doivent peu à peu disparaître dans de "grands ensembles économiques et géopolitiques" Le CFR a choisi une troisième voie pour le moment: accélérer d'abord le processus du grand ensemble pan-américain (Canada-USA-Mexique), tout en manœuvrant, y compris par une guerre économique plus ou moins truquée, en sorte d'obliger l'Europe, par réaction, à devenir une entité politico-commerciale assez forte pour substituer un pouvoir supranational à ses Etats-Nations, sous prétexte que le "nationalisme, c'est la guerre, c'est la haine...". On laisse délibérément durer des conflits comme en ex-Yougoslavie pour qu'à la longue, les populations se soumettent à n'importe quelle solution, c'est à dire la solution mondialiste.
En 1959, le CFR publie une étude (n°7) soulignant la nécessite "de bâtir un Nouvel Ordre International" du fait que l'URSS avec Khrouchtchev a évolué vers plus de démocratie. En 1960, Elmo Roper qui avait été un des auteurs de l'étude n°7 prononce un discours dans lequel il précise que "le but est un gouvernement mondial" et que, sur le plan militaire, l'OTAN doit être utilisé dans cette vision d'avenir. Ce discours sera ensuite publié à l'usage des affiliés. Divers aléas de la politique Est-ouest ralentissent le plan, mais en 1974, Foreign Affairs, la revue du CFR publie une étude de Richard N. Gardner (CFR, Bilderberg, Trilatérale), laquelle recommande qu'en attendant le moment d'un gouvernement mondial, l'ONU devrait provisoirement coiffer mouvements et organisations diverses, et utiliser tous les moyens "d'éroder morceau par morceau les souverainetés nationales, puisqu'elles entravent la marche du mondialisme". En 1992, dès l'élection de CLINTON (quifait partie du CFR, soit dit en passant), Richard N. Gardner est devenu un de ses conseillers non officiel, mais en permanence dans les bureaux de la Maison Blanche. En 1993, dans Foreign Affairs (sept/oct), trois éminences du CFR, attachées à la Rand Corporation, demandent qu'une sorte d"élargissement de l'OTAN" soit utilisé pour pousser plus avant vers un Nouvel Ordre Mondial. Les temps ont changé, cantonner l'OTAN à son seul rôle en Europe de l'Ouest est inutile. "l'OTAN doit ou sortir de sa zone actuelle d'activités, ou disparaître".
Les Illuminati
Présentation générale:
C'est un ensemble de personnes qui ont un objectif commun et qui possèdent un certain nombre de connaissances qu'elles cachent au grand public afin de maintenir leur supériorité sur ce dernier et l'amener à adopter la conduite qu'elles veulent le voir adopter. Parce qu'elles savent, ces personnes s'appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent). Les Illuminati ne désirent pas que quiconque puisse avoir le droit de tout savoir.
Ils ont existé sous diverses formes durant des siècles (ceux qui voulaient le pouvoir grâce à leurs connaissances et en maintenant les masses dans l'ignorance); mais il ne faut pas croire que les ères d'obscurantisme ont disparu: la connaissance circule effectivement librement aujourd'hui, et chacun est libre d'apprendre ce qu'il veut, mais cette liberté est contenue dans le cadre de la connaissance qui est "contrôlée et estampillée" par les services officiels de l'éducation, et les tenants en titre du savoir officiellement reconnu (scientifiques, historiens, sociologues, économistes, etc réputés). Or, il y a tout lieu de croire qu'une vaste quantité de connaissances reste à être découvertes et surtout qu'un petit nombre de personnes en détiennent déjà quelques unes d'importance majeure, mais ne les dévoilent pas (contrôle énergétique: voir les machines à énergie libre (energie.php) , contrôle économique: voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruits(armesil.php) et contrôle technologique : voir le gouvernement secret).
Ces personnes ne sont pas de simples particuliers, mais des responsables de multinationales, de banques, de trusts mondiaux, de hauts responsables politiques,...qui ont de par leur situation la possibilité de contrôler et d'utiliser les connaissances dans les domaines les plus sensibles, et ceci dans un but bien particulier: une restructuration complète du fonctionnement du monde à travers l'acceptation commune des pays du globe de laisser s'instaurer un gouvernement mondial. Ce peut être une noble idéologie ou bien un de ces "chemins pavés de bonnes intentions et qui mènent vers l'enfer", mais tant que leurs agissements restent volontairement cachés du grand public, quelles qu'en soient les raisons, nous serons nombreux à essayer au contraire d'informer les gens, à eux de décider du bien et du mal pour eux-mêmes, et non à d'autres.
Plan des Illuminati:
Leurs objectifs actuels ont été élaborés en 1773 : préparer la voie pour leur Gouvernement Mondial unique jusqu'à environ l'an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Cet objectif est connu depuis le 19ème siècle et a été exécuté (la troisième guerre mondiale est en cours depuis les années 1950: c'est la guerre économique [ voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit ]). Ce plan de longue haleine a été poursuivi depuis 2 siècles par des personnes différentes, grâce au soutien économique de riches et puissantes familles. Des adeptes de l'idéologie ont été recrutés au cours du temps grâce à des sociétés secrètes oeuvrant dans les hautes sphères économiques et politiques et c'est avec grande ingéniosité et patience qu'aujourd'hui la grande majorité des classes dirigeantes influentes et des trusts économiques font partie des adeptes de leur grande idée. Ils ont maintenant les moyens de réaliser leurs ambitions qui sont d'envergure mondiale, comme nous le voyons à travers les documents sur le Groupe Bilderberg, la commission Trilatérale et le CFR.
Petit historique:
Les Illuminati:
C'est au 14ème siècle que surgirent pour la première fois les Illuminati, en Allemagne. Ils étaient les plus grands "initiés" d'une société secrète appelée la Confrérie du Serpent (le mot biblique originel pour serpent, nahash, découle de la racine nhsh qui signifie déchiffrer, découvrir et illuminati provient de illuminare qui signifie illuminer, connaître, savoir, en latin). L'histoire du moyen-âge regorge de ce genre de sociétés secrètes réunissant certaines personnes ayant des buts idéologiques particuliers at sachant recruter ses membres parmi les riches et influents afin d'essayer d'accroître son impact et ses idées. Citons à titre d'exemple une très célèbre société secrète chrétienne qui a été tellement puissante et riche que même le roi de France les a craint en tant que principal débiteur (ils étaient plus riche que lui et possédaient de nombreux châteaux à travers le pays indépendants du régime de France et donc du roi) et les a exterminés: les Templiers.
Les Sages de Sion:
Une organisation secrète très influente exerçait un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs de l'époque, qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de Sages de Sion. Ils intriguèrent beaucoup et projetèrent la révolution anglaise en Hollande de 1640 à 1689. En prêtant de l'argent à qui il fallait et en soutenant et aidant un duc Allemand appelé Guillaume II , ils obtinrent la redevabilité du roi Guillaume III d'Angleterre, fils de Guillaume II, qu'ils avaient aidé à monter au pouvoir en renversant les Stuart du trône d'Angleterre (que d'intrigues!). En échange ce dernier persuada le Trésor Britannique d'emprunter de l'argent aux banquiers juifs affiliés aux Sages de Sion, et la dette de l'état augmentant très vite, ce dernier dut acquiescer aux conditions exigées qui permirent l'instauration de la première banque centrale privée: la Banque d'Angleterre.
Les Rothschild:
La maison Rothschild est un centre important dans l'affairisme bancaire international. Leur fortune originelle provient d'habiles transactions financières de Mayer Amschel, qui avait acheté une banque à Francfort en 1750, à la suite desquelles débuta pour eux le commerce bancaire international. Chacun des fils de Mayerouvrit une banque dans un pays différent: à Berlin, Vienne, Paris et Naples. Mayer écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée par l'avenir et il indiquait que les comptes devaient rester secrets, en particulier pour le gouvernement (et l'histoire montre que les Rothschild sont un des empires bancaires actuels les plus importants du monde). En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré les Sages de Sion à Francfort pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Ils soulignèrent le fait que la fondation de la Banque d'Angleterre avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise et déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit et ce plan aurait fini par être connu sous le nom de des Sages de Sion. L'origine de ce protocole remonte en fait à des siècles en arrière et ils auraient été remaniés par Rothschild avant d'acquérir leur vraie signification. C'est aussi Mayer Amschel qui aurait fondé les plans pour fonder la société secrète des "Illuminés de Bavière" et désigné son créateur, Adam Weishaupt, société qui va prendre une tournure importante et rassemblera de nombreux Illuminati. Les buts des illuminati incarnés par la société secrète des "Illuminés de Bavière" sont exposés dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit. On associe souvent les Illuminati comme étant les" Illuminés de Bavière", mais bien que les Illuminati soient en fait plus anciens, cette assimilation est sans importance car ce qui compte, c'est ce qu'ils veulent faire; se perdre dans des détails historiques étant en fait sans importance.
Les Illuminati de Bavière:
Les "Illuminés de Bavière"étaient organisée en cercles concentriques et dès qu'un initié prouvait sa faculté de garder un secret, il était admis dans un cercle plus restreint et lié à des secrets encore plus profonds. Seuls ceux qui se trouvaient dans le plus petit cercle connaissaient les vrais buts des "Illuminés de Bavière". Ils étaient divisée en 13 grades symbolisés par les 13 marches de la pyramide représentée sur le billet d'un dollar américain.
Le fondateur de la société s'y entendait pour attirer dans son ordre les esprits les meilleurs et les plus éclairés qu'il choisissait dans la haute finance, l'industrie, l'éducation et la littérature. Il utilisait la corruption par l'argent et le sexe pour contrôler les personnes haut placées et il les faisait chanter pour être sûr de les garder sous son contrôle. Les illuminés de Bavière se mirent à conseiller des gens du gouvernement en se servant des adeptes aux grades supérieurs. Ces spécialistes s'y entendaient pour donner aux politiciens en place les conseils pour qu'ils adoptent une certaine forme de politique qui correspondait à leurs visées.
En 1777, Weishaupt fut initié à la loge franc-maçonnique de Munich qu'il eut tôt fait d'infiltrer. En 1782 l'alliance entre les francs-maçons et les "Illuminés de Bavière" fut scellée à Wilhelmsbad. En contrôlant les "Illuminés de Bavière", les Rothschild exerçaient maintenant une influence directe sur d'autres loges secrètes importantes. Des documents montrent qu'ils ont manipulé les idées et qu'ils ont été des initiateurs de la révolution française entre autres.
La conquête des USA:
Les États-Unis ont eu leur déclaration d'indépendance signée en 1776. Ce pays en création était pour les Rothschild l'occasion de créer de vastes et puissants nouveaux réseaux bancaires. Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de Benjamin Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la First National Bank of the United States, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la Banque d'Angleterre et contrôlée par les Rothschild. Après moult endettements des USA envers cette banque, elle est devenue la Federal Reserve Bank et aujourd'hui la banque centrale américaine. Lors de la guerre de sécession, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord, celle de Paris, les États du Nord. Résultat: les Rothschild vainqueurs et les américains du sud et du nord vaincus. A travers leur influence par la franc-maçonnerie dont 1/3 des présidents américains ont fait partie et qui sont largement représentés au Sénat et au Congrès américains (Le sceau américain, la pyramide à l'œil qui voit tout, les armoiries de l'État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d'origine avec les 13 étoiles et les 13 rayures sont d'anciens et importants symboles francs-maçonniques; de plus sur ce même billet de un dollar il est écrit sur la pyramide: Novus Ordo Seclorum ce qui en latin signifie: Le Nouvel Ordre des Siècles, que nous pourrions réactualiser en: Le Nouvel Ordre Mondial), les Rothschild ont pu avoir les appuis nécessaires à l'édification de leur fortune et de leur contrôle aux USA. Ceci permet d'expliquer pourquoi c'est ce pays qui est "choisi" par le gouvernement mondial comme "base" stratégique.
Plan pour des guerres mondiales:
Dans une lettre du 15 août 1871, un plan décrivant la "conquête" du monde par trois guerres mondiales pour ériger le Nouvel Ordre Mondial est décrit, que l'on peut résumer ainsi:
La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. A la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés de Bavière à l'échelle mondiale.
La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toute pièces en manipulant les divergences d'opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d'influence et entraînerait la création d'un État d'Israël en Palestine.
La plan de la Troisième Guerre Mondiale serait basé sur les divergences d'opinions que les Illuminés auraient créées entre les sionistes et les Arabes. On programmerait une extension du conflit à l'échelle mondiale. Une partie de la troisième guerre mondiale consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d'une brutalité et d'une bestialité jamais vues.
On peut évidemment se dire que ces plans peuvent avoir été remaniés et repensé, améliorés au vu de nouveaux facteurs (voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit armesil.php), mais on voit là les grands traits de leurs idées: manipuler la politique à travers des individus bien particuliers, et de larges puissances économiques qui ont le choix de financer ou non les politiques qui sont conformes à leurs idées, décidant ainsi des vainqueurs dans les conflits, souvent après les avoir faits provoqués par manipulation politique et financière dans ce but.
Armes silencieuses pour des guerres sans bruit
(pour un nouvel ordre mondial)
Les Illuminati sont un ordre secret connu depuis le 18ème siècle dont un manifeste est apparu au grand jour au début du 19ème siècle sous le nom de " protocole des sages de ZIONS ". En 24 paragraphes, ce manifeste décrit comment subjuguer et dominer le monde à l’aide d’un système économique (pour la création d’un nouvel ordre mondial).
Étant donné la difficulté qu’il y avait à maintenir le secret au niveau international, il fut décidé de mettre en place un groupe extérieur afin de coordonner et contrôler les efforts internationaux et de protéger les secrets et les gouvernants de la curiosité habituelle de la presse. Ce groupe, dénommé les Bilderbergergs, (du nom de l’hôtel où s’est tenue leur réunion de constitution en 1952) a évolué sous l’infiltration des Illuminati en un gouvernement mondial secret contrôlant économiquement toute la planète (les Nations Unies n’étant qu’une aimable plaisanterie internationale).
Un groupe privé d’étude dont l’objectif est de travailler à construire une coopération politique et économique entre l’Europe de l’Ouest, l’ Amérique du nord et le Japon dans le cadre d’un nouvel ordre mondial a été constitué en 1972 par D. Rockfeller et Zbigniew Brzezinski à l’aide de contacts avec les Bilderbergers. Il est constitué d’une élite de 300 décideurs importants dans le monde économique, politique et intellectuel, sur les 3 continents. Ce groupe se nomme la commission trilatérale. Vous allez trouver dans la suite de ce document une des stratégies économiques des Bilderbergers.
Note de William Cooper (ancien sous-officier des services secrets de la marine US): "j’ai lu des documents top secret qui expliquaient que " Armes silencieuses pour des guerres sans bruit " est une doctrine adoptée par le comité politique du groupe Bilderberg durant son premier meeting connu en 1954. Une copie trouvée en 1969 était en possession des services de renseignement de la Marine U.S."
Le document actuel est daté de mai 1979 , et a été trouvé le 7 juillet 1986 dans une photocopieuse de marque IBM qui avait été achetée à une salle des ventes.
Ce document rédigé en américain a été traduit en français en un document de 27 pages dont voici un résumé.
Les éléments de texte mis "entre guillemets" sont des extraits du document et les commentaires sont en italique.
Que veulent-ils ?
"Toute science est simplement un moyen orienté vers une fin. Le moyen c’est la connaissance, la fin, c’est le contrôle . Au-delà de tout cela, il reste un seul problème : qui doit être le bénéficiaire ?"
Leur but est le contrôle de l’économie. Le moyen est la connaissance des mécanismes économiques.
Comment contrôler l’économie ?
a) Pour contrôler, il faut pouvoir prédire et pour cela il faut un modèle économique.
"L’objectif de la recherche économique telle qu’elle est [...], est l’établissement d’une économie qui soit entièrement prévisible et manipulable."
"On avait pressenti qu’avec des fondements mathématiques suffisants et des données, il serait presque aussi facile de prédire et de contrôler la tendance d’une économie, que de prédire et de contrôler la trajectoire d’un projectile. Ainsi que cela a été prouvé par la suite, de plus, l’économie a été transformée en un missile guidé vers une cible."
Le modèle économique :
"Dans l’étude des systèmes énergétiques, il apparaît toujours 3 concepts élémentaires. Ce sont : l’énergie potentielle, l’énergie cinétique et la dissipation de l’énergie. 3 contreparties essentiellement purement physique et idéalisées appelées "constituant passif" viennent en correspondance avec ces concepts."
L’énergie économique est un concept analogue à celui d’autres types d’énergies : énergie mécanique ou électrique. En physique, il est possible de traduire des problèmes mécaniques en problèmes électriques lorsque l’on a à traiter des phénomènes mécaniques mettant en jeu uniquement des éléments associés aux 3 concepts fondamentaux élémentaires de l’énergie précédemment cités. L’énergie économique peut elle aussi être traduite en termes de langage électronique par le même type de procédés grâce à des équivalences entre énergie électrique et économique.
"Toute la théorie mathématique développée pour l’étude d’un système énergétique (par exemple, la mécanique, l’électronique, etc.) peut être immédiatement appliquée dans l’étude de n’importe quel système énergétique (par exemple, l’économie)."
"Pour résumer tout ceci, on a découvert que l’économie obéissait aux mêmes lois que l’électricité et que toutes les théories mathématiques et pratiques, et que tout le savoir-faire informatique développé dans le champ de l’électronique, pouvaient être appliqués immédiatement à l’étude de l’économie. La découverte ne fut pas déclarée au grand jour, et ses implications plus subtiles furent et sont toujours un secret gardé jalousement. Par exemple, le public ne sait pas que dans un modèle économique, la vie humaine est mesurée en dollars, et que l’étincelle électrique engendrée lors de l’ouverture d’un interrupteur branché sur un inducteur actif est mathématiquement équivalente, dans le modèle économique, au lancement d’une guerre.
Enfin, parce que les problèmes d’économie théorique peuvent être traduits très facilement en problème d’électronique théorique, les solutions économiques peuvent être obtenues par résolution dans le domaine électronique puis par traduction inverse ; il s’en suit donc que seul un livre de traduction entre les 2 domaines et des définitions conceptuelles sont nécessaires pour faire de l’économie. Le reste peut être obtenu à partir des travaux classiques en mathématiques et en électronique. Ceci rend inutile la publication de livres sur l’économie avancée et simplifie grandement la sécurité du projet. "
b) Une fois que le modèle est défini il faut définir les paramètres qui permettront de faire fonctionner le modèle.
" [...] la réponse [...] peut être prédite et manipulée, et la société devient un animal bien domestiqué avec ses rênes sous le contrôle d’un système de régulation informatique sophistiqué : un système de comptabilisation de l’énergie sociale.
Finalement, chaque élément individuel de la structure passe sous le contrôle de l’ordinateur à travers la connaissance des préférences personnelles; une telle connaissance étant garantie par l’association informatisée des préférences de consommation (code universel sur les produits). Tout ceci identifie le consommateur (identifier via la liaison à travers une carte de crédit et plus tard, un " tatouage " corporel numérique [...])"
De très nombreux paramètres de mesure de la société sont définis parmi lesquels, entre autre : la surveillance du comportement des enfants à l’école, l’analyse des standards de vie à travers la nourriture, l’habillement, l’habitation, les moyens de transport ; le tracé des habitudes d’achat à travers les relevés de compte, les cartes de crédit; la constitution de profils de comportement à l’aide de factures de téléphone, d’électricité, les choix d’investissements et de dépenses , etc (il y a plusieurs dizaines de paramètres énumérés dans le document original).
c) Puis, il faut pouvoir mesurer ces paramètres ou bien essayer de réduire leur influence si on ne peut les maîtriser.
Les personnes doivent entrer dans des catégories de moules et pour cela on les y incite en proposant des standards de société, des modèles de comportement type : que devez-vous regarder à la télévision, à quoi devez-vous vous intéresser, pour quels sports devez-vous vous passionner, que devez-vous approuver ou désapprouver, que devez-vous acheter et consommer, etc : les médias sont la pour nous proposer des réponses toutes faites à travers leur choix d’information et de divertissement et la publicité sert " d’amplificateur économique " en incitant à acheter selon les standards proposés. Les comportements sociaux sont dictés par des stéréotypes qui s’auto-entretiennent :
"Les médias, la publicité, etc.. ont pour vocation de s’assurer que le futur père sera bien soumis à son épouse d’ici à ce qu’il soit marié. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a été préparé, soit sa vie sexuelle sera entravée et la tendre compagnie sera réduite à zéro. On lui apprend à voir que les femmes demandent plus de sécurité que de raison, et qu’elles demandent à ce que le comportement de l’homme soit honorable et édicté par des principes. "
Quelques extraits de leur " table des stratégies " :
Faites ceci :
... pour obtenir cela :
- Maintenir le public dans l’ignorance
- Moins d’organisation publique
- Créer des préoccupations
- Des défenses affaiblies
- Attaquer l’unité familiale
- Contrôler l’éducation des jeunes
- Encourager le conformisme social
- Simplification des programmes informatiques
- Affermir le consensus
- Des coefficients simples (dans les programmes informatiques)
- Renforcer le contrôle des variables
- Des données d’entrée informatiques simples fournissant une plus grande prévisibilité
- Maximiser le contrôle
- Un minimum de résistance au contrôle
- Effondrement de la monnaie
- Détruire la confiance que les américains ont les uns envers les autres
Quant aux catégories de personnes qui ne pourront pas rentrer dans les moules, soit par choix de non conformisme soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, elles doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société.
" Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total, [...] et on doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparent des parents.
La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-mêmes de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante. "
" Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile cependant car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : " celui qui paie est celui qui donne le ton ". "
d) Enfin, il faut un outil efficace pour simuler l’économie à partie de ces paramètres et en prévoir le comportement : l’ordinateur.
" L’ingénierie sociale (l’analyse et l’automatisation d’une société) nécessite la corrélation d’une très grande quantité d’informations économiques changeant constamment (données). C’est pourquoi un système informatisé du traitement des données à haut débit était nécessaire pour calculer à l’avance l’évolution de la société et prévoir son arrivée à la capitulation.
Les ordinateurs à relais étaient trop lents mais les ordinateurs électroniques inventés par Presper Eckert et W.Mauchly permettaient d’atteindre le but fixé. "
" Puis, en, 1948, le transistor inventé par J.Bardeen, W.H.Brattain et W.Shockley a permis une grande expansion de l’activité des ordinateurs grâce à la réduction des surfaces et à la diminution des puissances électriques consommées.
Avec ces [...] inventions à leur disposition, ceux qui étaient en position de pouvoir ont très nettement compris la possibilité qu’ils avaient de contrôler la totalité du monde en appuyant uniquement sur un bouton. "
Les ordinateurs servent aussi bien dans la simulation du comportement économique d’une situation donnée que dans l’analyse de la structure économique dans son ensemble à fin de prévisions.
En reprenant une analogie extraite du document : les vibrations des diverses parties d’un avion peuvent s’ajouter et provoquer sa destruction par effet de résonnance. La constitution de la structure peut être connue en faisant des tests de choc de ses constituants et des enregistrements de ces tests, après un traitement des données recueillies.
" Pour utiliser cette méthode des jeux de test en ingénierie économique, les prix des produits sont secoués (un produit de base est sélectionné comme le café, l’essence ou le sucre et un changement soudain est provoqué sur le prix ou la disponibilité du produit) et la réaction du consommateur public est contrôlée. Les échos résultant du choc économique sont interprétés théoriquement par des ordinateurs et la structure psycho-économique de l’économie est alors mise à jour. "
Comment endormir le public face à l’attaque ?
" Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiétement de cette arme sur son mode de vie, jusqu'à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. "
Et pour s’assurer que le public n’aura pas l’occasion de se poser de questions sur le fonctionnement du système économique, on l’occupe:
" Comme dans toute approche d’un système social, la stabilité est obtenue par la compréhension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de définir les modèles d’action et de réaction). L’impossibilité de cette prise en compte peut être, et est généralement désastreuse. "
" L’expérience a prouvé que la méthode la plus simple pour sécuriser une arme silencieuse et obtenir le contrôle du public, c’est de maintenir le public dans l’indiscipline et dans l’ignorance des principes fondamentaux des systèmes d’une part, alors que d’autre part on les maintient dans la confusion et la désorganisation et on les distrait avec des sujets n’ayant aucune réelle importance.
Ceci est obtenu :
- En détournant les pensées ; en sabotant ses activités mentales ; en fournissant un programme d’éducation public de basse qualité dans les domaines des mathématiques ; de la logique, de la conception des systèmes et de l’économie ; enfin, en décourageant la créativité technique.
- En faisant appel à ses émotions, en intensifiant son auto-confiance et ses faiblesses à travers des activités émotionnelles et physiques comme suivent :
----- En provoquant des affrontements et des attaques émotionnelles incapables à travers des viols mentaux et émotionnels ; tout ceci pour l’utilisation d’un barrage constant de sexe, de violence et de guerre dans les médias (spécialement à la télévision et dans les journaux).
----- En lui fournissant ce qu’il désire en excès - " nourriture avariée pour la pensée " - et en le privant de ce dont il a réellement besoin.
- En réécrivant l’histoire et la loi, et en soumettant le public à des constructions anormales et ainsi en devenant capable de réorienter sa pensée vers des priorités extérieures entièrement préfabriquées au lieu de ses besoins personnels.
Ceci empêche le public de découvrir ou même d’accorder de l’intérêt à une technologie sociale automatique fondée sur les armes silencieuses. La règle générale est qu’il y a du profit dans la confusion ; plus il y a de confusion, plus il y a de profit. Donc, la meilleure approche est de créer des problèmes, puis de proposer les solutions à ces derniers."
RÉSUME POUR LA DIVERSION
Les médias : écarter l’attention du public adulte des véritables problèmes sociaux mais captiver son attention par des sujets sans réelle importance.
L’école : maintenir le jeune public ignorant des vraies mathématiques, de la vraie économie, des vraies lois et de la véritable histoire.
L’amusement : maintenir l’amusement du public en dessous d’un niveau primaire.
Le travail : maintenir le public occupé, occupé, occupé, sans avoir le temps de penser du tout ; relégué au rang d’animal de ferme. "
" Le comportement du public est soumis, dès la naissance à la peur, la paresse, et la recherche de l’intérêt personnel.
Un tel comportement permet de fonder l’état providence comme une arme stratégique utile contre ce public sordide. "
En application du principe diviser pour régner :
" la cellule familiale doit être soigneusement désintégrée et l’on doit généraliser et imposer légalement la mise en place de l’éducation publique contrôlée par l’état, ainsi que les centres d’assistance publique sous la responsabilité de l’état ; tout ceci afin de préparer le jeune enfant à se détacher de son père et de sa mère à un âge de plus en plus précoce. La prise de drogue comportementale peut accélérer cette transition pour l’enfant. "
Mais pourquoi contrôler l’économie ?
" Par exemple, il existe une relation quantitative mesurable entre le prix de l’essence et la probabilité qu’une personne ressentirait un mal de tête, ou bien aurait l’envie d’aller voir un film violent, ou de fumer une cigarette ou bien d’aller dans un bar boire une chope de bière.
Il est des plus intéressant qu’en observant et en mesurant les schémas économiques par lesquels les gens essaient de fuir devant leurs problèmes et de s’échapper de la réalité et par l’application de la théorie mathématique [...], il est possible à des programmes informatiques de prévoir la combinaison la plus probable d’événements que l’on pourrait fabriquer et qui apporteraient un contrôle complet et la soumission du public à travers la subversion d’une économie publique [...] "
" L’objectif de telles études est d’acquérir le moyen de mettre l’économie publique dans un état dont les mouvements sont prévisibles ; et même de la mettre dans un état contrôlé de mouvement vers l’autodestruction qui convaincrait le public que certaines personnes dénommées experts pourraient reprendre le contrôle du système monétaire et rétablir la sécurité pour tous (plutôt que la liberté et la justice). Lorsque les citoyens soumis sont rendus incapables de contrôler leurs affaires financières, ils deviennent bien entendu totalement esclaves, et sont une source de travail bon marché. "
" [...]un gouvernement lorsqu’il fait fonctionner la planche à billet au-delà des limites du produit national brut s’engage dans un processus économique appelé inflation. Cette méthode met une grande quantité d’argent dans les mains du public, permet de contrebalancer la cupidité du public, crée une fausse confiance en soi du public et, pendant quelques temps, maintient les fauves en cage.
Les gouvernements doivent finalement avoir recours à la guerre afin d’équilibrer les comptes parce que la guerre n’est, en dernier ressort, que l’acte de destruction du créditeur. Les politiciens sont des gens à succès payés publiquement qui légitiment le fait de tenir la conscience publique à l’écart des responsabilités et des tueries.
Si les gens prenaient réellement soin de leur prochain, ils contrôleraient leurs appétits (avidité, procréation, etc.) . "
" Puisque la majeur partie du grand public ne sait pas se contrôler, il y a donc une seule alternative pour réduire l’inductance économique du système :
Laisser la populace s’entre-tuer dans une guerre, ce qui aurait comme seul résultat une totale destruction de ce qui vit sur Terre.
Prendre le contrôle du monde à travers l’utilisation d’une " arme silencieuse " économique sous la forme d’une " guerre sans bruit " et ainsi réduire l’industrie économique du monde jusqu'à un niveau acceptable à travers un processus d’esclavage bienveillant et de génocide.
La dernière option a été retenue comme étant de manière évidente la meilleure. [...] Le public, en général, refuse d’améliorer sa mentalité et sa foi dans son prochain. Le public est devenu un troupeau grandissant de barbare et pour ainsi dire une scorie sur la face de la Terre.
Le public ne se préoccupe pas assez de science économique pour comprendre pourquoi il n’est pas capable d’éviter les guerres en dépit de la morale religieuse. Le refus, pour cause de religion ou pour cause d’autosatisfaction de traiter des problèmes de la Terre, rend la solution au problème de la Terre incompréhensible pour lui. C’est du ressort du petit nombre de ceux qui veulent réellement penser et survivre comme étant les plus aptes à survivre, de résoudre le problème pour eux-mêmes, parce qu’ils font partie du petit nombre de ceux qui cherchent réellement. "
Le document traduit complet est disponible ici en version RTF: Armesilencieuse.rtf
(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir "Enregistrer sous")
Autre traduction sur le site "SytiNet" de ce document
Le document américain original est disponible dans un livre de Mr William Cooper (à qui il a été communiqué) intitulé " Behold a pale horse ".
Éditions : Light Technology Publishing P .O. Box 1495 AZ 86336 USA
Il est aussi possible de l'obtenir à lui seul avec les coordonnées suivantes:
Intitulé: Silent Weapons For Quiet Wars (a programming and study in economic manipulation)
Editions: Cosmic Voyage Publications P.O. Box 1116 McMinnville OR 97128 USA
Quant à ceux qui sont intéressés par des compléments d’informations sur le groupe Bilderberger et les activités d’autres sociétés secrètes, ils pourront se référer au même livre de Mr Cooper, ainsi qu’ au " Livre Jaune n°5 " aux éditions Felix, écrit par un collectif d'auteurs (qui remplace et complète le livre: " Les sociétés secrètes " de Mr Jan van Helsing aux mêmes éditions Felix). Des références complètes sont disponibles dans la page intitulée: Le Nouvel Ordre Mondial.
Le gouvernement secret (1/4)
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989
révisé le 21 Novembre 1990
Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.
Pape Jean XXII, 1935
NDT : Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. : Light Tecnology PublishingP.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :
Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de " fiction " qui nous viennent des U.S.A. .
Le document est aussi disponible ici en version RTF: gouvsecr.rtf
(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir Enregistrer)
Quelques précisions avant de commencer la lecture du document
Illuminati :
Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette société regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.
Conseil des Relations Étrangères (CFR en américain) :
C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.
Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rites initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes permet aux Illuminati de s’assurer que leurs " recrues " sont en accord avec leurs objectifs).
Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.
Commission Trilatérale :
La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Vietnam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.
Groupe Bilderberg :
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...
VOCABULAIRE UTILISE POUR LA TRADUCTION
Extranéen : Néologisme créé à partir du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaine
Alienigène : Néologisme créé à partir du latin " alienigenus " (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.
Le gouvernement secret (2/4)
Perspective
Plusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a pu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les chronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette hypothèse.
Le gouvernement secret
Au cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et même utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.
De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation.
Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mesa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements" pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'"Agence centrale de renseignements".
Le "Conseil de sécurité nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la "coordination des mesures d'information sur les services de renseignements étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements " - Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme ".
NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. "
NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du personnel des renseignements, "tous les coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création d'un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès.
Une zone tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard.
James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.
Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .
Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents efforts. L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène, et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.
La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où va l'argent va le pouvoir". Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA vise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.
Le président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.
Au cours de l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d'une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon - lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.
Entre-temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.
Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant "Son Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant "le tout-premier otage Krlll", car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : "Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions " est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des " Ethériens " !
Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les différentes " autorités " et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai ".
Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un " tuyau " qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des marais ".
On accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.
Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le nom de code était "The Dark Side of the Moon" [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo " Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations de la "Solution 2" à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.
C'est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu'il fallait "aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels sécuritaires" consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à Washington.
Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes" est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples". Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés "les Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].
Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des " Skull and Bones " et " Scroll and Key " du temps où ils fréquentaient ces universités. Les " mages " sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et sont aussi membres d’un " Ordre secret de la Quête " connu sous le nom de société JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des "Mages" les plus important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation de cette section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire". C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude :
Gordon Dean, Président, Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude, Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude, Professeur Edward Teller Frank Altschul, Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong, Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr., Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie , Frank C. Nash McGeorge Bundy , Paul H. Nitze William A. M. Burden , Charles P. Noyes John C. Campbell , Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter , James A. Perkins George S. Franklin, Jr. , Don K. Price I.I. Rabi , David Rockefeller Roswell L. Gilpatric , Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby , Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith , Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth , James T. Hill, Jr. Shields Warren , Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson , Mervin J. Kelly Arnold Wolfers.
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code "Country Club", en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le " Country Club ").
Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année suivante, un compte rendu "officiel" des sessions sous le titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères", édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances? D'autre part,serions-nous réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la moindre idée.
En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les "constructions souterraines à grande profondeur". Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait copié ce document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son objectif principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.
Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à la fin j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.
Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, " le conducteur de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son épaule droite ". J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.
Il est important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton " d’aller se faire voir ailleurs ". Une fois que les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque. J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était révélé être plus tard, Lars Hansson.
Hansson a plus tard clamé que j’avais violé son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier. Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a réellement tué notre président.
Bo Gritz a déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz, qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble ?
Robert Grodin est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir une copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion et de perpétuer le nuage de brouillard.
J’ai appelé Bob Grodin et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du système de couverture de la vérité.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur les assassinats de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui était responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable de la sécurité de la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait à sa place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.
Pendant des années, j’ai parlé aux gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il était arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années. C’était la même information que celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie de la couverture ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à l’écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez " Hard copy ". Son nom est Bubs Hopper.
Un autre producteur (dont je ne me souviens plus le nom) de " inside Edition ", un autre TV magazine, m’a contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper. Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne ".
J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son intention avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l’apparence d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face d’une audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs britanniques de chez TV expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé " Rapport scientifique ".
Les auteurs du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits de ce livre sont de la véritable désinformation , suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers généraux de la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces colonies ont signé la constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait émis tout un "document de directives" pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée comme étant fausse.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble.
Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est une pure désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie.
John Lear dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes " suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes n’existent pas ".
Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre président. L'état major de la Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.
J'ai moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement: " Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres aussi.
On dirait que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les activités bien cachées. Le président de cette commission était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours fait.
Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui dénonçaient le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord préparait un plan pour suspendre la constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?
La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses compagnies de gestion, la banque de développement Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.
Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore, Shandera et Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour des lanternes.
Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman et prouver que le " document de directive " d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en dehors de toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.
Un autre plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes. Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au début des années 60.
Ce plan d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT: c’est, aux U.S.A., le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].
Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à certaines doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement psychiatrique. Je crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de programmes d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort.
Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?
Après avoir saisi les médias d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84, et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous réveiller et de réagir.
Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction, entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les revues comme étant l’expert de " ce qui s’est réellement passé ".
Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone. J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement " (citation de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce que nous méritons.
William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai demandé, m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour la défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun doute.
Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents, qu’il avait espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté des agences de renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était conclue par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands manipulateurs au cœur de pierre.
Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues " estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.
Jaimie Shandera est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste pour l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une petite annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui dépendaient autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président en charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale graphique que John Lear est l’agent appelé " Condor " de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA .
Quant à Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme! " ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la documentation que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de même étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!
Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une assistante financière serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses. C’est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la première fois présenté ce document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et le second mot était une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais déjà vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de déterminer si j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, " lisez sur mes lèvres ". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les lire tous les deux.
Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble avoir pris d’extrême précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage du bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu. Je vous recommande de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce qu’en France...].
J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant sur le fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout le reste de l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA nommé Budd Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur les kidnappés.
Je sais que toutes les organisations de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de contrôle par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu à l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue pas un conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été 1988 où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée, Vicki Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : " vous savez, mon magasine pourrait être financé par la CIA ".
J’ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs reprises que " la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ". L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant " le seul assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA et le groupe de Johnny Rosselli.
Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est Barry Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date du professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise en œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement de Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans l’appendice.
La preuve la plus accablante du contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La société Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).
Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut pas être contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de l’armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il soupoudre ses articles de mots comme " ovniologique ", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes. Il dit que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique la calomnie.
Selon des sources légitimes de responsables policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker II a été licencié après seulement six semaines pour " mauvaise conduite ". Mr Ecker est retourné à la prison d’état de l’Idaho où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr Ecker.
Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se révélait être le plus grand canular ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?
Si l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité.
A la plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération de contrôle de l’esprit par la CIA?
Selon les documents que j'ai vu, un citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée d'individus qui puisse être "mise en marche" et se retourner contre nous au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une "pétition accusatoire" et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.
Les conclusions sont inévitables :
1) Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa propre survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation doit son existence même à son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces principes. Il est temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.
2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances extranéenne et les pouvoirs humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la question primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ". Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d’agir correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un changement radical pour la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement et très silencieusement.
3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.
Si rien de ce qui précède n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres actions et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute, nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition du secret.
Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple" et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs d'Europe mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!
Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la population : "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace vous sauveront ". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous ". L’information la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.
Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique, alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les avons vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente.
"Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre. "
Ronald Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT : A noter qu’un président des Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation d’OVNI, observation qu’il avait officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.
D’après une remarque de Mr Cooper : Lorsque le président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
Le gouvernement secret (3/4)
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper.
J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.
Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.
J'ai entamé la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté." J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.
J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur une pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de bruit", lui ai-je dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans", m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier.
"Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper: Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?
Le vétéran: Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.
Cooper: La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran: On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper: Quel était le nom de ce hangar'?
Le vétéran: Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.
Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran: Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran: À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description du détenteur comme toute autre carte d'identité.
Cooper: Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran: On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.
Cooper: Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran: Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au cinéma.
Cooper: Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran: Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.
Cooper: Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran: De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.
Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran: Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.
Cooper: Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran: Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.
Cooper: Etaient-ils ronds?
Le vétéran: Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.
Cooper: L'officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran: Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.
Cooper: Étrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran: Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.
Cooper: Qu'advenait-il à ces hommes?
Le vétéran: Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.
Cooper: Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran: Non, pas du tout.
Cooper: Comment êtes-vous entré à Delta?
Le vétéran: J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.
Cooper: Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran: Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.
Cooper: Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran: D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper: N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran: J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de Dreamland?
Cooper: Que voulez-vous dire?
Le vétéran: Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?
Cooper: Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran: Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper: Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran: Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...
Cooper: Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?
Le vétéran: Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié.
Cooper: Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran: C'est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper: En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran: Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.
Cooper: Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran: L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles.
Cooper: Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran: Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper: À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?
Le vétéran: Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations, sans doute.
Cooper: Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran: Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper: Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran: Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.
Cooper: Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran: Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.
Cooper: Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran: Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper: Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.
Le vétéran: Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper: Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:J e ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.
Cooper: Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran: La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous... Personne n'y peut plus rien changer!
Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la sienne.
Il est le deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?
En définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !
* Le type de dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aéro-stratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Le gouvernement secret (4/4)
MORT DE COOPER
William Cooper, qui a diffusé dans les tout premier l'information concernant le gouvernement secret, ex-agent de la Navy américaine; et qui avait déjà pour cela failli perdre la vie (il avait perdu une jambe alors qu'une voiture de la CIA le laissait pour mort en ayant voulu l'écraser); est mort fin 2001.
Sa mort n'est pas naturelle, puisqu'il a été tué alors qu'il était pris dans un guet-apens organisé de manière officielle par un Sheriff qui venait l'arrêter pour des motifs qui ont rapport avec son implication dans des groupes de self-défense anti-gouvernementaux américains, groupes qu'il a rejoint depuis son dégoût de son gouvernement après tout ce qu'il a appris, et sa tendance paranoïaque justifiée par des menaces constantes pour sa vie et celle de sa famille. Son arrestation a été organisée comme un traquenard dans lequel une confrontation armée a suivi, Cooper a tué un adjoint de police et Cooper a été lui-même tué par le Sheriff.
Ainsi Cooper aura fini, après avoir perdu sa jambe, et vécu dans la peur et même la terreur constante (déménagements constants, il était sous surveillance, menaces, etc), par payer de sa vie le fait d'avoir été le porteur d'une vérité que beaucoup cherchent à cacher.
Quelle que soit la part de désinformation contenue dans ses propos (et il y en a toujours, parce que ses sources sont aussi des manipulateurs habiles), il a joué le jeu de diffuseur d'une part de vérité, aux côtés de ceux qui dans le gouvernement américain en ont eu assez que le secret soit constant et ont voulu laisser filtrer la vérité par morceaux; mais en contre-partie il a été la cible de ceux qui eux étaient à la solde du gouvernement secret.
Le participants à la réunion du 1er au 4 juin 2000
Nom
NAT
Fonction
Secrétaire général honorifique :J. Martin Taylor
UK
Président, WH Smith Group PLC, International Adviser, Goldman Sachs International
-----------------------------------------
Président honorifique :Etienne Davignon
BE
Président, Société Générale de Belgique
-----------------------------------------
Agnelli, Giovanni
IT
Président honorifique, Fiat S.p.A.
-----------------------------------------
Agnelli, Umberto
IT
Président IFIL - Fianziaria di Partecipazioni S.p.A.
-----------------------------------------
Aguirre y Gil de Biedma, Esperenza
ES
Président du sénat espagnol
-----------------------------------------
Allaire, Paul
US
Président du conseil de direction et directeur général, Xerox Corporation
-----------------------------------------
Ambrosetti, Alfredo
IT
Président, Ambrosetti Group
-----------------------------------------
Andersen, Bodil Nyboe
DK
Gouverneur, Central Bank of Denmark
-----------------------------------------
Asper, Israel
CN
Président, CanWest Capital Group Inc
-----------------------------------------
Avery, Graham
IN
Conseiller en chef pour l'élargissement, EC
-----------------------------------------
Balsemão, Francisco Pinto
PT
Prof. des sciences de communication, New Univ, Lisbon, Chair Impressa SGPS
-----------------------------------------
Barnevik, Percy
SE
Président, Investor AB
-----------------------------------------
Benschop, Dick
NL
Secrétaire d'état pour les affaires européennes
-----------------------------------------
Bernabè, Franco
IT
Représentant italien pour les initiatives de reconstruction dans les Balkans
-----------------------------------------
Betz, Hans-Georg
DE
Visiting Prof, European Studies, Cntr European Studies, Columbia & NY Univs.
-----------------------------------------
Bildt, Carl
IN
Envoyé spécial du secrétariat général pour les Balkans, ONU
-----------------------------------------
Black, Conrad
CN
Président, Telegraph Group Ltd
-----------------------------------------
Bruton, John
IR
Leader de Fine Gael
-----------------------------------------
Buchanan, Robin WT
UK
Associé principal, Bain & Company Inc
-----------------------------------------
Clarke, Kenneth
UK
Membre du parlement
-----------------------------------------
Çolakoglu, Nuri
TR
Président & directeur général, NTV
-----------------------------------------
Collomb, Bertrand
FR
Président & directeur général de Lafarge; Directeur de Elf Total-Fina; membre du comité de surveillance du groupe Allianz; membre du comité de Direction au Crédit de Commercial France.
-----------------------------------------
Cromme, Gerhard
DE
Président du conseil de direction, Thyssen/Krupp AG
-----------------------------------------
David, George
GR
Président, Hellenic Bottling Co. SA
-----------------------------------------
Deutch, John M
US
Professeur, MIT
-----------------------------------------
Diamandouros, P Nikiforos
GR
Médiateur National
-----------------------------------------
Dodd, Christopher J
US
Sénateur, D, Connecticut
-----------------------------------------
Donilon, Thomas E
US
Vice président sénior, consultant général, and secrétaire, FannieMae
-----------------------------------------
Dyson, Esther
US
Président EDventure Holdings Inc.
-----------------------------------------
Fréchette, Louise
IN
Député Secrétaire Général, ONU
-----------------------------------------
Fresco, Paolo
IT
Président Fiat S.p.A.
-----------------------------------------
Frum, David
CN
Chroniqueur, National Post
-----------------------------------------
Gouveia, Teresa Patrício
PT
Membre du Parlement (PSD)
-----------------------------------------
Graham, Donald E
US
Éditeur, The Washington Post
-----------------------------------------
Hagel, Chuck
US
Sénateur, R, Nebraska
-----------------------------------------
Halberstadt, Victor
NL
Prof of Economics, Leiden University; former Hon Sec Gen Bilderberg Meetings
-----------------------------------------
Hambro, Christian
NO
Director General, Research Council of Norway
-----------------------------------------
Hampel, Erich
AT
Président, Creditanstalt-Bankverein
-----------------------------------------
Hutchison, Kay Bailey
US
Sénateur, R, Texas
-----------------------------------------
Huyghebaert, Jan
BE
Président, Almanij NV
------------------------------------------
Janssen, Daniel E
BE
Président Solvay SA
------------------------------------------
Johansson, Leif
SE
President & directeur général Volvo AB
------------------------------------------
Johnson, James A
US
Président & directeur général, Johnson Capital Partners
------------------------------------------
Jordan Jr, Vernon E
US
P.D.G., Lazard Frères & Co LLC
------------------------------------------
Kayhan, Muharrem
TR
Vice Président du conseil de Söktas; ancien président de Tüsiad
-------------------------------------------
Kissinger, Henry A
US
Président, Kissinger Associates Inc
-------------------------------------------
Kopper, Hilmar
DE
Président du conseil de surveillance, Deutsche Bank AG
-------------------------------------------
Kravis, Henry R
US
Partenaire fondateur, Kohlberg Kravis Roberts & Co.
-------------------------------------------
Kravis, Marie-Josée
US
Senior Fellow, Hudson Institute Inc
-------------------------------------------
Lamy, Pascal
IN FR
Commissaire Européen
-------------------------------------------
Lévy-Lang, André
FR
Ancien président de Paribas
-------------------------------------------
Lippens, Maurice
BE
Président, FORTIS
-------------------------------------------
Lipponen, Paavo
FI
Premier Ministre
-------------------------------------------
Mathews, Jessica T
US
Président, Carnegie Endowment for International Peace
------------------------------------------
McDonough, William J
US
Président, Federal Reserve Bank de New York
------------------------------------------
Montbrial, Thierry de
FR
Directeur, IFRI (Institut Française pour les Relations Internationales)
------------------------------------------
Moore, Mike
IN
Directeur Général, WTO
------------------------------------------
Nass, Matthias
Rédacteur adjoint, Die Zeit
Her Majesty the Queen of the Netherlands
NL
------------------------------------------
Ollila, Jorma
FI
Président du conseil et directeur général, Nokia Corporation
-------------------------------------------
Padoa-Schioppa, Tommaso
IN
Membre du conseil de direction, Banque centrale Européenne
-------------------------------------------
Pagrotsky, Leif
SE
Ministre du commerce
-------------------------------------------
Papandreou, George A
GR
Ministre des affaires étrangères
-------------------------------------------
Petersson, Lars Eric
SE
Président et directeur général, Skandia
-------------------------------------------
Petritsch, Wolfgang
AT
Le haut représentant pour la Bosnie Herzégovine; négociateur européen au Kosovo
-------------------------------------------
Pury, David de
CH
Président, de Pury Pictet Turrettini & Co Ltd.
-------------------------------------------
Rasmussen, Anders Fogh
DK
Président, Liberal Party
-------------------------------------------
Reiten, Eivind
NO
Exec Vice President, Corporate Management, Norsk Hydro ASA
-------------------------------------------
Richardson, Bill
US
Secrétaire à l'énergie
-------------------------------------------
Riotta, Gianni
IT
Rédacteur adjoint, La Stampa
-------------------------------------------
Rockefeller, David
US
Président, Chase Manhattan Bank International Advisory Council
-------------------------------------------
Rodriguez Inciarte, Matías
ES
Exec Vice président, Banco Santander Central Hispano BSCH)
-------------------------------------------
Roll, Eric
UK
Senior conseiller, UBS Warburg
-------------------------------------------
Ruggiero, Renato
IT
Vice président, Schroder Salomon Smith Barney International, and Chairman, Italy
-------------------------------------------
Scholten, Rudolf
AT
Membre du conseil et directeur executif, Österreichische Kontrollbank AG
-------------------------------------------
Schoutheete de Tervarent, Ph de
BE
Ancien représentant permanent de la Belgique auprès de l'union européenne
-------------------------------------------
Seidenfaden, Tøger
DK
Rédacteur en chef, Politiken
-------------------------------------------
Solana Madariaga, Javier
IN
Secrétaire Générale, Conseil de l'union européenne
--------------------------------------------
Soros, George
US
Président, Soros Fund Management
--------------------------------------------
Steinberg, James B
US
Assistant adjoint du président pour les affaires de sécurité nationale (NSA)
--------------------------------------------
Strauss-Kahn, Dominique
FR
Ancien ministre des finances; Professeur, Université de Paris
--------------------------------------------
Surroi, Veton
YU
Editeur, KOHA Ditore
--------------------------------------------
Sutherland, Peter D
IR
Président, Goldman Sachs International, & Chairman, BP Amoco plc
--------------------------------------------
Tarullo, Daniel K
US
Visitng Professor of Law, Georgetowm University Law Center
--------------------------------------------
Thornton, John L
US
Président & Co-COO, Goldman Sachs Group Inc.
--------------------------------------------
Tremonti, Giulio
IT
Membre de la Commission des Finances, Chambre des Députés
--------------------------------------------
Trichet, Jean-Claude
FR
Gouverneur, Banque de France
--------------------------------------------
Vasella, Daniel L
CH
Président et directeur général, Novartis AG
--------------------------------------------
Veer, Jeroen van der
NL
Group MD, Royal Dutch/Shell Group; Designate Pres. Royal Dutch Petroleum
--------------------------------------------
Vink, Lodewijk JR de
US
Président & directeur général, Warner Lambert
--------------------------------------------
Vranitzky, Franz
AT
Ancien Chancelier Fédéral
--------------------------------------------
Wallenberg, Jacob
SE
Président, Skandinaviska Enskilda Banken
--------------------------------------------
Wolf, Martin
UK
Rédacteur associé/Commentateur Économique
--------------------------------------------
Wolfensohn, James D
IN/US
Président, La Banque Mondiale
--------------------------------------------
Wolff von Amerongen, Otto
DE
Président & directeur général, Otto Wolff GmbH
--------------------------------------------
Wolfowitz, Paul
US
Ancien haut fonctionnaire du gouvernement Bush, aujourd'hui doyen de l'Ecole des études internationales avancées (SAIS) de l'université Johns-Hopkins
--------------------------------------------
Rapporteur:Mickelthwait, R. John
UK
Rédacteur, The Economist
--------------------------------------------
Rapporteur:Wooldridge, Adrian D
UK
Correspondant à l'étranger, The Economist.
MALGRÉ LA PRÉSENCE DE PERSONNES AUSSI INFLUENTES, AUCUN MEDIA NE SE FAIT L'ÉCHO DE CES RÉUNIONS :
POURQUOI ???
Infiltration dans le Bilderberg 2005
La réunion annuelle secrète du groupe de Bilderberg déterminera un grand nombre des gros titres de la presse — et de ses analyses — que l'on pourra lire dans les mois à venir. Pourtant les médias de l'establishment ont passé cette conférence complètement sous silence. A l'exception d'une demi-douzaine de journalistes triés sur le volet, qui ont tous juré de garder le secret, peu nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler de ce groupe secret et très fermé qui s'appelle les Bilderbergers.Les médias du courant dominant, qui aiment vanter leurs exploits d'investigations approfondies sur des sujets tabous, ont été étrangement peu disposés à lever le voile sur un événement d'importance majeure : les conférences annuelles secrètes du Groupe de Bilderberg, réunissant les financiers, les industriels et les personnages politiques les plus puissants de la planète.2005 n'a pas été un bon cru pour cette organisation secrète et son avenir semble morose. En effet, les efforts herculéens, déployés pour maintenir le secret sur sa réunion de cette année, qui s'est tenue à Rottach-Egern [à 60 km de Munich], ont lamentablement échoué. Et lorsque le groupe de Bilderberg est embarrassé, le monde libre reprend espoir, à l'aube du nouveau millénaire, de contenir ceux qui ont accaparé le pouvoir. Le groupe de Bilderberg a peut-être perdu un peu de son éclat passé, il n'empêche que le secret qui entoure ses réunions fait toujours ressembler la franc-maçonnerie à une cour de récréation. Le personnel de l'hôtel a été fiché et placé sous autorisation spéciale. Des portiers aux senior managers, les employés ont été prévenus (sous la menace de ne plus jamais travailler dans le pays) des conséquences auxquelles ils s'exposent si jamais ils révèlent à la presse le moindre détail sur les participants.A priori, les médias internationaux et nationaux sont les bienvenus, à condition de prêter serment ne rien dévoiler sur ce qu'ils y ont entendu. Il doivent garder un silence absolu et leurs rédacteurs en chef sont tenus pour responsables au cas où un de leurs journalistes ferait un reportage, même par "inadvertance", sur ce qu'il s'y passe.Lorsque Bush, Blair, Chirac, Berlusconi et compagnie participent aux sommets du G8, réunissant les dirigeants élus les plus importants du monde, les médias internationaux les accompagnent en masse. Le contraste saisissant avec le Bilderberg, c'est que les allées et venues s'y passent dans un black-out publicitaire quasi-total. Les discussions qu'ils engageront cette année — la manière dont le monde doit s'accommoder des relations entre l'Europe et les Etats-Unis, la poudrière du Proche-Orient, la guerre d'Irak, l'économie globale et comment empêcher une guerre avec l'Iran — et le consensus auquel ils parviendront influenceront le cours de la civilisation occidentale et l'avenir de toute la planète. Cette réunion se déroule à huis clos dans un secret total, protégée par une phalange de gardes armés.Quel Etait l'Ordre du Jour du Bilderberg 2005 ?Après trois années caractérisées par les hostilités et les tensions entre les "Bilderbergers" européens, britanniques et américains, à cause de la guerre d'Irak, l'atmosphère de sympathie qui régnait entre ses membres a été mise à mal. Toutefois, ceux-ci ont maintenu une cohésion dans leur objectif à long terme — qu'ils ont réaffirmé — à savoir, renforcer le rôle de l'ONU dans le règlement des conflits et des relations planétaires.Pour comprendre la véritable situation internationale, il faut savoir que les Américains ne sont pas plus des "faucons" que les Européens ne sont des "colombes". Les Européens s'étaient joints à la cohorte de soutien dpour une invasion d'Irak en 1991, orchestrée par le Président Bush père, célébrant — selon les mots d'un prédateur renommé appartenant au Bilderberg — la fin du "syndrome américain du Vietnam". Et puis, les Européens ont également soutenu l'invasion de la Yougoslavie orchestrée par le Président Bill Clinton, mettant l'OTAN au service de cette opération.Un sujet qui a été beaucoup discuté à Rottach-Egern, cette année, est le concept d'imposer une taxe onusienne prélevée sur l'ensemble des habitants de planète par l'intermédiaire d'une taxe sur le pétrole prélevée directement à la source. En fait, ceci crée un précédent car si elle mise en application, ce sera la première fois qu'une agence non-gouvernementale (les Nations-Unies) bénéficiera directement d'une taxe sur les citoyens des nations libres et des nations asservies.Cette proposition du Bilderberg appelle, pour commencer, à une minuscule perception par l'ONU que le consommateur remarquera à peine. Jim Tucker, du magazine Spotlight désormais interdit, a écrit il y a des années "Etablir le principe que l'ONU peut directement taxer les citoyens du monde est important pour le Bilderberg. C'est un autre pas de géant vers un gouvernement mondial. Les Bilderbergers savent que promouvoir publiquement une taxe de l'ONU sur tous les peuples de la Terre provoquerait des réactions d'indignation. Mais ils sont patients; le groupe de Bilderberg a déjà proposé, il y a des années, une taxe mondiale directe. Ils célèbrent aijourd'hui le fait que cela fait désormais partie du débat public et que les gens y font peu attention et ne s'en inquiètent guère."Le groupe de Bilderberg veut une "harmonisation des taxes" pour que les pays ayant un haut niveau d'imposition puissent concurrencer en matière d'investissements étrangers les nations aux taxes "amicales" — y compris les Etats-Unis. Ils "harmoniseraient" les taxes en obligeant les taux américains et ceux d'autres pays à monter afin que la Suède socialiste, au taux de 58%, puisse être "compétitive".Les ONGL'ascension des ONG est un progrès que l'ancien Président Clinton décrit soudainement (le lendemain où cela fut discuté à Rottach-Egern) comme l'une des "choses les plus remarquables depuis la chute du Mur de Berlin". L'ironie, c'est que la déclaration de Clinton fut reprise par le Wall Street Journal — quotidien toujours représenté aux réunions du Bilderberg par son vice-président Robert L. Bartley et son rédacteur en chef de la page éditoriale, Paul Gigot.Les Bilderbergers ont débattu vigoureusement pour que des militants écologiques non-élus et nommés par leurs soins aient, pour la première fois, une position d'autorité gouvernementale au conseil de direction de l'agence qui contrôle l'utilisation de l'atmosphère, l'espace extra-atmosphèrique, les océans, et, pour des raisons pratiques, la biodiversité. Cette invitation à ce que la "société civile" participe à la gouvernance globale est décrite comme une expansion de la démocratie.Selon des sources au sein du Bilderberg, le statut de ces ONG serait même encore relevé à l'avenir. Leurs activités comprendraient l'agitation au niveau local, le lobbying au niveau national et la production d'études pour justifier une taxation globale par l'intermédiaire d'organismes de l'ONU tels que le Pacte Mondial [Global Plan] — un des projets favoris du Bilderberg depuis plus de dix ans. La stratégie pour faire avancer le programme de gouvernement mondial comprend spécifiquement des programmes pour discréditer des personnes et des organisations qui génèrent des "pressions politiques internes" ou des "actions populistes" et qui ne soutiennent pas la nouvelle éthique mondiale. L'objectif ultime, selon ces sources, étant de supprimer la démocratie.Le programme environnemental des Nations-Unies, ainsi que tous les traités environnementaux placés sous sa juridiction, seraient finalement dirigés par un corps spécial de militants écologistes. Ces derniers seraient choisis uniquement parmi les ONG accréditées par les délégués de l'Assemblée Générale, qui sont eux-mêmes nommés par le Président des Etats-Unis, qui est lui-même contrôlé par le directorat enchevêtré Rockefeller/CFR/Bilderberg. [CFR = Council on Foreign Relations, le conseil aux relations étrangères]. Ce nouveau mécanisme apporterait une voie directe vers les plus hauts niveaux de gouvernance mondiale aux ONG locales, "de terrain", affiliées aux ONG nationales et internationales. Par exemple : The Greater Yellowstone Coalition, un groupe d'ONG affiliées, a récemment adressé une pétition au Comité Mondial du Patrimoine de l'UNESCO pour qu'il intervienne dans les plans d'une société privée qui voulait extraire de l'or dans un terrain privé à proximité du Parc National de Yellowstone. Le Comité de l'UNESCO est intervenu et a immédiatement classé Yellowstone comme "Site du Patrimoine Mondial en Danger". Selon les termes de la Convention du Patrimoine Mondial, les Etats-Unis ont l'obligation de protéger ce parc, même au-delà de ses limites, et jusqu'aux terrains privés si nécessaire.Les idées qui sont discutées, si elles sont mises en application, auront pour conséquence de placer tous les habitants de la planète dans une sorte de banlieue globale, dirigée par une bureaucratie planétaire, sous l'autorité directe d'une toute petite poignée de personnes nommées. Et nous serions tous surveillés par des milliers de personnes, payées par ces ONG accréditées, avec la certitude qu'elles soutiennent le même système de croyance. Bien sûr, pour beaucoup de personnes, cela est incroyable et inacceptable.Les Elections en Grande-BretagneLes Bilderbergers célèbrent le résultat qu'il voulaient obtenir. Le retour d'un Tony Blair bien plus humble au 10 Downing Street avec une majorité parlementaire réduite. Les Bilderbergers européens sont toujours en colère contre lui pour avoir soutenu la guerre de l'Amérique en Irak. Même s'ils ont donné à Blair une leçon utile de politique internationale, les Bilderbergers pensent en fait qu'il est un candidat bien plus sûr pour poursuivre le chemin vers l'intégration européenne que son rival conservateur, Michael Howard.Le Programme des NéoconservateursLa faction, connue sous le nom de "néoconservateurs" est arrivée à grand renfort. Ce sont eux qui ont déterminé que la sécurité d'Israël devait se faire aux dépends de la sécurité des Etats-Unis et qu'elle devait être au centre de toutes les décisions américaines de politique étrangère.Le plus voyant parmi ce groupe est l'espion israélien Richard Perle, qui a fait l'objet d'une enquête par le FBI pour espionnage au profit d'Israël. Perle a joué le rôle décisif pour précipiter les Etats-Unis dans la guerre contre l'Irak. Il fut forcé de démissionner le 27 mars 2003 du Conseil Politique de Défense du Pentagone, après que l'on apprit qu'il avait conseillé Goldman Sachs International — participant habituel du Bilderberg — sur la manière dont cette société pouvait profiter de la guerre en Irak.Un autre personnage néoconservateur disponible était Michael A. Ledeen, un "intellectuel parmi les intellectuels". Ledeen travaille pour l'American Enterprise Institute, un groupe de réflexion fondé en 1943, avec lequel Richard Perle est associé de longue date. L'AEI et la Brookings Institution dirigent le Joint Center for Regulatory Studies [Centre Conjoint d'Etudes Réglementaires] (JCRS) dont le but est de tenir les députés et les organismes de contrôle "pour responsables de leurs décisions en leur fournissant des analyses réfléchies et objectives sur les programmes de réglementation existants ainsi que de nouvelles propositions réglementaires". Le JCRS pousse à l'analyse coûts/bénéfices des réglementations, qui entre dans le cadre de l'objectif ultime de déréglementation de l'AEI (et des Bilderbergers).Cette année, ces néoconservateurs furent aussi rejoints au Bilderberg par une poignée d'autres anciens décideurs et publicitaires de première importance, basés à Washington et connus pour leurs sympathies pour Israël. Il y avait parmi eux : l'ancien haut-fonctionnaire du Département d'Etat, Richard N. Haas, président du CFR et ancien Secrétaire d'Etat adjoint ("père" de l'accord de Dayton[1]) ; Richard Holbrooke ; Dennis Ross du WINEP [Washington Institute for Near East Policy, l'Institutut de Washington pour la Politique au Proche-Orient] pro-israélien, une ramification du comité israélo-américain aux affaires publiques (l'AIPAC) et de l'institut juif pour les affaires de sécurité nationale (le JINSA) ; ainsi que le tout nouveau président élu de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz.Dennis Ross, Richard Perle et compagnie meurent d'envie de "faire passer le message" : procéder au nettoyage ethnique d'autant de Palestiniens que possible de la Cisjordanie et de Gaza. Voici ce que déclarait en 1989 l'ancien premier ministre Netanyahou devant des étudiants de l'université Bar-Ilan : "Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde était focalisée sur ce pays, pour procéder à des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires". Les résidents de la Communauté Européenne n'avaient peut-être aucune idée sur les intentions des Sionistes vis-à-vis des Palestiniens, mais, en Israël, à mon grand étonnement, le nettoyage ethnique est un sujet populaire de discussion. 50% ou plus des Israéliens pensent que le nettoyage ethnique est une bonne idée. Quand on pense que cela vient d'une nation qui est supposée se souvenir de l'Holocauste ! La réalité dépasse vraiment la fiction !L'EnergieUn Bilderberger Américain a exprimé ses inquiétudes concernant la montée en flèche du prix du pétrole. Un "initié" de l'industrie pétrolière a fait remarquer que la croissance n'est pas possible sans énergie et que, selon tous les indicateurs, les réserves d'énergie mondiale approchent de leur épuisement beaucoup plus vite que les dirigeants du monde ne l'ont anticipé. Selon nos sources, les Bilderbergers estiment que les réserves accessibles de pétrole sont au maximum de 35 ans, compte tenu du développement économique et de la population actuelles. Toutefois, un des représentants d'un cartel pétrolier a fait remarquer la nécessité de prendre en compte dans cette équation l'explosion de la population ainsi que la croissance économique et la demande pétrolière de la Chine et de l'Inde. Selon ces conditions révisées, il y a apparemment seulement assez de pétrole pour durer 20 ans. Plus de pétrole signera la fin du système financier mondial. Tout cela a été reconnu par le Wall Street Journal et le Financial Times, deux périodiques qui sont régulièrement présents à la conférence annuelle des Bilderbergers.En conclusion, attendez-vous à une sévère crise de l'économie mondiale dans les deux prochaines années alors que les Bilderbergers tenteront de protéger les réserves de pétrole restantes en prenant l'argent des mains des gens. Dans une récession ou, au pire, une dépression, les populations seront obligées de diminuer radicalement leurs habitudes de dépenses, assurant ainsi un plus long approvisionnement de pétrole aux riches de ce monde alors qu'ils tenteront de concocter une solution.Durant le cocktail d'après midi, un Bilderberger européen a noté qu'il n'y a aucune alternative convaincante à l'énergie des hydrocarbures. Et un initié américain a déclaré que le monde utilise actuellement entre quatre et six barils de pétrole pour chaque nouveau baril qu'il trouve et que, dans le meilleur des cas, les perspectives de faire une découverte majeure à court terme sont minces. Quelqu'un a demandé une estimation des réserves classiques de pétrole accessibles. Le montant cité était d'environ un trillion de barils. Accessoirement, il est intéressant de noter que la planète consomme un milliard de barils tous les 11,5 jours. Un autre Bilderberger a posé des questions à propos de l'hydrogène comme alternative aux réserves de pétrole. L'officiel du gouvernement des USA a avoué, sombrement, que l'hydrogène sauveur de l'imminente crise énergétique mondiale était un conte de fées.Cela confirme la déclaration publique faite en 2003 par IHS-Energy (société de consultants leader en recensement des réserves et des découvertes d'hydrocarbures) selon laquelle il n'y a pas eu une seule découverte de champ pétrolier dépassant les 500 millions de barils depuis les années 1920.A la conférence Bilderberger de 2005, l'industrie pétrolière était représentée par John Browne, directeur général de BP; John Kerr, directeur de Royal Dutch Shell; Peter D. Sutherland, président de BP et Jeroen Van der Veer, président du comité de direction de Royal Dutch Shell.Il faut se rappeler que, fin 2003, le géant pétrolier Royal Dutch Shell a annoncé qu'il avait surestimé ses réserves de quelques 20 %. La Reine Beatrix de Hollande, l'actionnaire principale de Royal Dutch Shell, est membre à part entière du groupe de Bilderberg. Son père, le prince Bernhard fut l'un des fondateurs du groupe de Bilderberg en 1954. Le Los Angeles Times a rapporté que "Pour les firmes pétrolières, les réserves comptent pour rien moins que la 'valeur de la compagnie'." En fait, Shell a réduit ses estimations de réserves non pas une, mais trois fois, conduisant à la démission de son co-directeur. A Rottach-Egern, en mai 2005, les plus hauts dirigeants de l'industrie ont tenté d'imaginer comment cacher au public la vérité sur les réserves de pétrole qui sont en diminution. Que le public prenne connaissance de la diminution des réserves et les actions baisseront, ce qui pourrait détruire les marchés financiers, conduisant ainsi à un effondrement de l'économie mondiale.Le Referendum Constitutionnel en FranceLe premier jour des rencontres secrètes au Bilderberg 2005 fut dominé par une discussion sur le referendum constitutionnel en France et pour savoir si Chirac pouvait persuader la France de voter OUI le 29 mai. Un vote pour, selon des sources au sein du Bilderberg, mettrait une grosse pression sur Tony Blair pour confier la Grande-Bretagne aux bras ouverts du Nouvel Ordre Mondial par l'intermédiaire de leur propre referendum sur le traite programmé pour 2006. Matthias Nass s'est demandé à haute voix si un vote en France contre le traité pouvait causer à coup sûr une tempête politique en Europe et éclipser les six mois de présidence européenne de la Grande-Bretagne (qui débute le 1er juillet). Les Bilderbergers espèrent que Blair et Chirac, qui ont étalé au grand jour, à plusieurs reprises, leur animosité, peuvent travailler ensemble pour leur bénéfice mutuel et leur survie politique. Un autre Bilderberger européen a ajouté que les deux leaders doivent laisser derrière eux et aussi vite que possible toutes leurs anciennes querelles sur des sujets comme l'Irak, la libéralisation de l'économie européenne et l'avenir du rabais que la Grande-Bretagne a reçu de l'UE ; et qu'ils doivent s'atteler à une intégration européenne complète, qui pourrait se désintégrer si le peuple français, souvent "têtu et obstiné" (selon les mots d'un Bilderberger britannique) ne font pas ce qu'il faut. Entendez par là : abandonner leur indépendance pour le "plus grand bien" d'un super Etat fédéral européen !Un Bilderberger allemand initié a déclaré que le vote français pour le OUI était délicat à cause des "délocalisations. Les emplois en Allemagne et en France s'envolent pour l'Asie et l'Ukraine," (pour profiter d'une main d'œuvre bon marché). [L'Ukraine qui se presse à la porte de l'Union Européenne…] Un politicien allemand a demandé comment Tony Blair allait faire pour demander aux Britanniques d'embrasser la Constitution Européenne lorsque, à cause des délocalisations, la France et l'Allemagne connaissent des taux de chômage de 10% et que la Grande-Bretagne se porte économiquement bien.Les Américains Hors-la-loiUne loi aux Etats-Unis, Logan Act, stipule de façon explicite qu'il est criminel pour des hauts-fonctionnaires américains de participer à l'élaboration de politiques publiques avec des citoyens du secteur privé. Bien qu'une de ses sommités manquait au Bilderberg 2005 — l'officiel du Département d'Etat américain, John Bolton, témoignait devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat [américain] — le gouvernement américain était bien représenté à Rottach-Egern par Alan Hubbard, assistant du président à la politique économique et directeur du Conseil Economique National ; William Lutti, sous-Secrétaire adjoint à la Défense ; James Wolfensohn, président sortant de la Banque Mondiale; et Paul Wolfowitz, Secrétaire d'Etat adjoint et président entrant de la Banque Mondiale. En participant à la réunion du Bilderberg 2005, ces personnes enfreignent les lois fédérales des Etats-Unis.Auna TelecomunicacionesLors du cocktail du samedi soir [le 7 mai] au luxueux Dorint Sofitel Seehotel Überfahrt de Rottach-Egern, en Bavière, plusieurs Bilderbergers qui se trouvaient au bar avec la Reine Beatrix de Hollande et Donald Graham, le PDG du Washington Post, discutaient de la vente prochaine du géant espagnol des télécommunications et du câble : AUNA. Auna exploite des services de téléphonie fixe, un réseau de téléphonie mobile, un système de télévision par câble et est aussi un fournisseur Internet. Un des Bilderbergers, familier avec ce sujet [probablement Henry Kravis, selon la description physique donnée par notre source présente à cette réunion], a déclaré que les activités de téléphonie mobile d'Auna pourraient rapporter quelques 10 milliards d'Euro, en tenant compte des dettes. Un autre Bilderberger (un homme de haute taille au front dégarni) a ajouté que les actifs immobilisés pouvaient atteindre 2,6 milliards d'Euro. Des sources proches de ces Bilderbergers ont déclaré en privé que Kohlberg Kravis Roberts & Co, une société de capital-investissement, est intéressée par l'achat de l'ensemble d'Auna. L'abondance de crédit bon-marché et les taux d'intérêt bas ont fait d'Auna une cible appétissante pour les investisseurs institutionnels. Kohlberg Kravis Roberts & Co est représentée aux réunions du Bilderberg par sa sommité, le milliardaire Henry Kravis, et sa femme, née dans une petite ville du Québec, Marie-José Kravis, cadre supérieur dans l'organisation néoconservatrice Hudson Institute. En conclusion: attendez-vous à une couverture et à un soutien favorable pour Kohlberg Kravis Roberts & Co de la part de Grupo Prisa, dont le conseiller délégué, Juan Luis Cebrian, participe toujours aux réunions super-secrètes du Bilderberg. Au cas où Kravis échouerait à constituer une offre compétitive, attendez-vous à une couverture semblable pour Goldman Sachs Group, dont Martin Taylor [son PDG] est le secrétaire-général honoraire du Groupe de Bilderberg et dont un autre Bilderberger, Peter Sutherland est le président de Goldman Sachs International ainsi que président européen de la commission trilatérale. Dans le passé, les révélations sur les réunions du Bilderberg ont alerté — des mois avant que les grands médias n'en parlent — sur l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis, les augmentations d'impôts et la chute de Margaret Thatcher en tant que premier-ministre de la Grande-Bretagne.L'Impasse entre l'Indonésie et la MalaisieUne confrontation politique et militaire entre ces deux nations dans la mer de Sulawesi riche en pétrole (toutes deux proclament que la région d'Ambalat, riche en pétrole, fait partie de leurs droits territoriaux) fut le sujet d'une discussion très animée entre plusieurs Bilderbergers Américains et Européens lors d'un cocktail d'après-midi. Un Bilderberger Américain agitant son cigare a suggéré d'utiliser l'ONU pour "promouvoir une politique de paix dans la région." En fait, les Bilderbergers qui étaient assis autour de la table du salon s'accordaient pour dire qu'un tel conflit pourrait leur donner une excuse pour mettre dans cette région disputée une garnison de "gardiens de la paix" de l'ONU, et donc assurer leur contrôle ultime sur ce trésor, c'est à dire des réserves pétrolières non exploitées. La ChineLes Bilderbergers américains et européens, réalisant l'urgence absolue de s'étendre dans les marchés en développement pour maintenir l'illusion d'une croissance sans fin, se sont mis d'accord pour nommer Pascal Lamy, socialiste français et partisan fanatique d'un super Etat européen, comme prochain président de l'OMC. Il faut se rappeler que Washington a donné son aval à la nomination de Pascal Lamy à la condition que les Européens soutiennent la nomination de Paul Wolfowitz comme chef de la Banque Mondiale. Selon des sources faisant partie des initiés du groupe de Bilderberg, Lamy a été choisi pour aider à diriger le système marchand mondial dans une période caractérisée par les sentiments protectionnistes de pays riches tels que la France et l'Allemagne, toutes deux titubant à cause d'un chômage élevé et réticentes à accroître l'exigence musclée du contrôle des marchés par les économies émergentes. Les Etats du Tiers Monde, par exemple, insistent sur les réductions des subventions agricoles européennes et américaines. La dynamique de libéralisation orchestrée par l'OMC s'est effondrée dans l'acrimonie à Seattle en 1999 puis à Cancun en 2003. Les Bilderbergers se sont mis d'accord secrètement sur la nécessité d'obliger les pays pauvres à entrer dans un marché mondialisé pour fournir des biens bon-marché tout en les forçant simultanément à devenir leurs clients. Le désaccord actuel avec la Chine en est un très bon exemple, puisque les Chinois ont inondé les pays occidentaux de marchandises bon-marché, dont les textiles, poussant les prix à la baisse. En échange, les Bilderbergers ont pénétré un marché émergent mûr mais vulnérable au savoir-faire supérieur des occidentaux. Des pays similaires en voie développement acquièrent lentement un meilleur pouvoir d'achat et le monde industrialisé met un pied dans leurs économies intérieures en visant des exportations bon-marché.
* * *
voir le lien ci-dessous
vidéo
http://leweb2zero.tv/multipod/alfred_27484ba3b73294a
La commission Trilatérale
Constitution:Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque devant les réformistes ou colombes du CFR et ceux de Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l'expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental: la "Trilatéral Commission", qui vit donc le jour l'année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l'Europe, autrement dit: le Tokyo Stock Echange et la City de Londres. Etant d'origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 East 46th Street, New York).Objet officiel:Construire une coopération politique et économique entre l'Europe Occidentale, l'Amérique du Nord et le Japon.Fonctionnement secret:Elle est semi-secrète et internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d'autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B'nai B'rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère: ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l'organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et de médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des Etats des hommes à elle, d"infiltrer" les hautes sphères du monde occidental.Instigateurs et participants:Les instigateurs en sont en autres (les plus importants): David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger,etc. Parmi les personnages connus des Français, nous pourrons citer quelques noms des participants français du Meeting de Paris en 1989: Claude Imbert, Thierry de Montbrial, Hubert Curien, Jacques Rigaud, Alain Cotta, Raymond Soubie, Robert Lion, Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, etc. On constatera la présence de personnalités de la Gauche et de la Droite qui ont l'air bien amis. Parmi les autres participants, on pourra citer: Giovanni Agnelli, Georg Büchner, James E. Burke, Isamu Yamashita, Yotaro Kobayashi, E. Gerald Corrigan, Thomas P. Foley, Zbigniew Brzezinski, Manfred Wörner,etc.Relations avec les 2 autres groupes secrets:La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonnes mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu'ici à la Trilatérale d'agir dans l'ombre, si bien que rares sont les Français qui savent que cette mystérieuse société existe et qu'elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l'économie internationale par l'intermédiaire des affiliés qu'elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l'administration.Influence:Les membres de la trilatérale sont, naturellement, démocrates, tout en ayant conscience du danger que la démocratie peut représenter pour leur plan: "Plus un système est démocratique, plus il est exposé à des menaces intrinsèques", notait, dès 1975, un rapport de la Trilatérale sur la "gouvernabilité" des démocraties. L'un des "penseurs" de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n'a pas craint d'écrire: "Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l'homme", et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d'ajouter que: "En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste". Devenu le conseiller -le cornac- du président Carter, lui-même affilié à la Trilatérale, Brzezinski ajoutait: "Encourager les pays en question (notamment la Pologne) à se détacher de l'URSS ne servirait pas la cause de la Paix". Cette collusion des financiers et des communistes illustre bien l'entente contre nature du Grand Capital et de la Révolution que les écrivains indépendants dénoncent depuis plus d'un demi-siècle.La Trilatérale met en place ses hommes. 2 exemples:1) Le monde diplomatique soulignait le rôle considérable de la Trilatérale dans l'ascension fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait d'être porté à la Maison Blanche: "La candidature de M/ Jimmy Carter a été préparée de longue main et soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents de la Chase Manhattant Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S.,etc. Ces hommes, avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie, automobile) et seulement dix hommes politiques-dont bien entendu M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter Mondale-, constituent la branche américaine de la "Commission Trilatérale", créée en 1973 par M. Davis Rockefeller et dirigée jusqu'à une date récente par le professeur Zbigniew Brzezinski, principal conseiller de M. Jimmy Carter".2) Ne nous croyons pas épargnés: en France, la Trilatérale marqua également des points lorsqu'un obscur fonctionnaire international, membre de la Commission unique européenne de la CEE, affecté à la Communauté des affaires économiques et financières, fut brusquement nommé président de la Commission d'étude d'une réforme du financement et du logement (1975), puis ministre du Commerce extérieur (1976) et, peu après, Premier ministre. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1978, étant toujours à Matignon-c'est à dire bénéficiant de l'appui de la machine gouvernementale- que Raymond Barre, membre influent de la Trilatérale Commission, fut enfin élu député français. Tant qu'il fut premier ministre, il eut un rôle insignifiant au sein de la Trilatérale, mais dès qu'il fut libéré de sa charge il reprit du service et assista régulièrement aux réunions internationales et prononça même en 1983 le discours du 10ème anniversaire de la Commission Trilatérale.Que complotent les participants:Les ressources financières de la commission sont exclusivement régionales et proviennent des cotisations des membres (entrepeises privées ou publiques, fondations, instituts de recherches, donations, personnes privées) et parfois, mais rarement, des subventions publiques ( ministère des affaires étrangères)... Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent la plupart des affiliés donnent une idée de la puissance dont dispose la mystérieuse société qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé par une oligarchie de technocrates et de financiers. Les affiliés français de la Trilatérale se recrutent aussi bien à gauche qu'au centre ou à droite. Ceux qui se disent de Gauche vantant "l'internationalisme", et ceux qui se disent de Droite vantant le "Mondialisme", les deux appellations nous conduisant au Gouvernement Mondial. Chacun est utilisé en fonction de son idéal et de sa compétence, les membres de Gauche étant employés à détruire la religion, la famille, l'éducation, l'ordre et l'armée, au nom du laïcisme libéral, pacifiste, généreux, égalitaire et de la justice sociale (il faut des slogans porteurs tant pour les manipulés francs-maçons que pour les masses). Les membres de la Droite sont utilisés pour détruire les petites exploitations agricoles, l'artisan, le petit commerce, les PME et le PMI au nom du libéralisme économique et du libre échange, dans l'intérêt, disent-ils, du dynamisme économique, de l'emploi et des consommateurs (toujours les slogans accrocheurs et racoleurs). Les membres du Centre étant utilisés pour détruire le idées de nation et de patriotisme au nom de l'amitié entre les peuples et de l'Humanisme. Le tout couronné par des campagnes soit-disant antifascistes où l'on fait chanter en cœur Droite, Gauche et Centre, en faveur d'un mélange inter-racial, déracinant tous les individus (religion-culture-traditions-langue-histoire), déstabilisant les nations d'Asie (du Bassin Méditerranéen) et d'Europe, qui sont les foyers et les sources de la culture de l'Humanité. Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la puissante Trilatérale en Europe. La présence de M. Barre auprès du président Giscard d'Estaing s'explique d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour cette mystérieuse société. Invité à l'un de ses dîners, le 2 décembre 1975, Jacques Chirac devait définir ainsi la Trilatérale: "C'est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l'une des plus éminentes." Au meeting tenu secrètement en avril 1989 à Paris, après une annonce publique, le socialiste Mitterrand et le libéral Giscard d'Estaing ont fait assaut de courtoisie à l'endroit du chef suprême de la puissante société: le premier a décerné au banquier David Rockefeller le Légion d'Honneur, dont le ruban lui a été remis très officiellement par le second. Cette réunion du comité exécutif de la Trilatérale à Paris succédait à une autre manifestation, non moins significative, qui eut lieu trois mois plus tôt à Moscou. Une délégation conduite notamment par David Rockefeller, Georges Berthoin et Henry Kissinger fut reçue au Kremlin par Mikhaïl Gorbatchev. Une nouvelle branche de la Trilatérale est née trois ans après: l'asiatique. La Russie s'y retrouve avec le Japon et les États-Unis. Cette force économique est désormais aussi stratégique car des militaires participent à ses réunions.
Le C.F.R.
(Council on Foreign Relations) (Conseil des Relations étrangères)Constitution:Société fondée en 1919-1922 à l'initiative de Edward Mendell House, éminence grise du président Wondrow Wilson. Fondements inspirés du socialisme Fabien anglo-américain vers un mondialisme qui, par la révolution "silencieuse" (au lieu de la révolution par la rue), réalisera la grande synthèse entre capitalisme et socialisme.Objet officiel:Le Council on Foreign Relations (C.F.R.) se présente comme un groupe d'étude américain réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, sciences, capables de stimuler dans le public américain un esprit international et de coordonner les initiatives dans cette direction.Instigateurs et participants:Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations. L'animateur du CFR est David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank. Pour citer deux noms connus, nommons George Bush et Bill Clinton comme membres de la CFR.Relations avec les 2 autres groupes secrets:Winston LORD est aujourd'hui un des dirigeants du gouvernement CLINTON. Il y a quelques années, alors qu'il était président du CFR, il répondait à un de nos confrères américains qui lui demandait si vraiment c'était la Trilatérale qui menait le monde: "Pas du tout, c'est le CFR qui dirige tout". Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations.Influence:Généreusement subventionné par les fondations: Ford -Carnegie- Rockefeller, ainsi que les trusts d'importance internationale comme IBM -ITT- Exxon. Le CFR exerce une influence prédominante sur le gouvernement des États-Unis, sur le congrès et sur les deux principaux partis politiques: le Démocrate et le Républicain.Gouvernement invisible des états-unis, le CFR compte environ 2700 membres, dont les groupes de travail examinent en permanence tous les problèmes d'actualité. En place depuis les années trente, il a réussi à ce qu'aucun secrétaire au Département d'État, à la Défense, au Trésor, aux postes clés de ces ministères, dans les principales ambassades, à la direction de la CIA, ne soit choisi hors de son groupe. Depuis 1933, toute élection présidentielle a été conditionnée par le CFR. Les affiliés du Council on Foreign relations sont des américains, à qui les relations internationales permettent d'exercer un contrôle étroit sur les états occidentaux, soit directement, soit par l'intermédiaire de sociétés similaires ou annexes, ou d'organismes internationaux présidés par leurs membres, comme la Banque Mondiale.Il y a derrière tous les Pays d'Europe, derrière toutes les constructions d'un prétendu Nouvel Ordre Mondial, les clubs et les cercles semi-occultes dont Henry Coston et le CEI ont de longue date, souvent de concert, dénoncé les plans et les inspirateurs. Enfants et adeptes de ceux qui, simultanément, ont financé le communisme et le nazisme, offert la moitié de l'Europe au communisme après 1943-1945, assuré la survie du communisme du moment qu'il feignait de se débarrasser du stalinisme, assuré le retour du communisme depuis 1990, en empêchant à l'Est toute "décommunisation" des États, ils veulent à présent passer à l'étape suivante, sous la houlette apparente "de l'Amérique" alors qu'il s'agit strictement d'initiés qui, à travers le CFR, se sont progressivement emparés de l'Amérique.Que complotent les participants:Les principes de base du CFR se résument aujourd'hui encore à ceci:1) Commerce et aide aux pays les moins développés, même révolutionnaires; 2) Des institutions supranationales (en attendant un "Gouvernement mondial") doivent prendre en charge: recherche, exploitation, distribution des ressources énergétiques et matières premières; rationaliser le grand commerce; régler les conflits en obligeant au dialogue, en sorte qu'il n'y ait jamais ni vainqueurs ni vaincus; 3)Le communisme n'est pas l'adversaire, seulement ses excès et débordements; 4)Les souverainetés nationales doivent peu à peu disparaître dans de "grands ensembles économiques et géopolitiques" Le CFR a choisi une troisième voie pour le moment: accélérer d'abord le processus du grand ensemble pan-américain (Canada-USA-Mexique), tout en manœuvrant, y compris par une guerre économique plus ou moins truquée, en sorte d'obliger l'Europe, par réaction, à devenir une entité politico-commerciale assez forte pour substituer un pouvoir supranational à ses Etats-Nations, sous prétexte que le "nationalisme, c'est la guerre, c'est la haine...". On laisse délibérément durer des conflits comme en ex-Yougoslavie pour qu'à la longue, les populations se soumettent à n'importe quelle solution, c'est à dire la solution mondialiste.
En 1959, le CFR publie une étude (n°7) soulignant la nécessite "de bâtir un Nouvel Ordre International" du fait que l'URSS avec Khrouchtchev a évolué vers plus de démocratie. En 1960, Elmo Roper qui avait été un des auteurs de l'étude n°7 prononce un discours dans lequel il précise que "le but est un gouvernement mondial" et que, sur le plan militaire, l'OTAN doit être utilisé dans cette vision d'avenir. Ce discours sera ensuite publié à l'usage des affiliés. Divers aléas de la politique Est-ouest ralentissent le plan, mais en 1974, Foreign Affairs, la revue du CFR publie une étude de Richard N. Gardner (CFR, Bilderberg, Trilatérale), laquelle recommande qu'en attendant le moment d'un gouvernement mondial, l'ONU devrait provisoirement coiffer mouvements et organisations diverses, et utiliser tous les moyens "d'éroder morceau par morceau les souverainetés nationales, puisqu'elles entravent la marche du mondialisme". En 1992, dès l'élection de CLINTON (quifait partie du CFR, soit dit en passant), Richard N. Gardner est devenu un de ses conseillers non officiel, mais en permanence dans les bureaux de la Maison Blanche. En 1993, dans Foreign Affairs (sept/oct), trois éminences du CFR, attachées à la Rand Corporation, demandent qu'une sorte d"élargissement de l'OTAN" soit utilisé pour pousser plus avant vers un Nouvel Ordre Mondial. Les temps ont changé, cantonner l'OTAN à son seul rôle en Europe de l'Ouest est inutile. "l'OTAN doit ou sortir de sa zone actuelle d'activités, ou disparaître".
Les Illuminati
Présentation générale:C'est un ensemble de personnes qui ont un objectif commun et qui possèdent un certain nombre de connaissances qu'elles cachent au grand public afin de maintenir leur supériorité sur ce dernier et l'amener à adopter la conduite qu'elles veulent le voir adopter. Parce qu'elles savent, ces personnes s'appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent). Les Illuminati ne désirent pas que quiconque puisse avoir le droit de tout savoir.Ils ont existé sous diverses formes durant des siècles (ceux qui voulaient le pouvoir grâce à leurs connaissances et en maintenant les masses dans l'ignorance); mais il ne faut pas croire que les ères d'obscurantisme ont disparu: la connaissance circule effectivement librement aujourd'hui, et chacun est libre d'apprendre ce qu'il veut, mais cette liberté est contenue dans le cadre de la connaissance qui est "contrôlée et estampillée" par les services officiels de l'éducation, et les tenants en titre du savoir officiellement reconnu (scientifiques, historiens, sociologues, économistes, etc réputés). Or, il y a tout lieu de croire qu'une vaste quantité de connaissances reste à être découvertes et surtout qu'un petit nombre de personnes en détiennent déjà quelques unes d'importance majeure, mais ne les dévoilent pas (contrôle énergétique: voir les machines à énergie libre (energie.php) , contrôle économique: voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruits(armesil.php) et contrôle technologique : voir le gouvernement secret).Ces personnes ne sont pas de simples particuliers, mais des responsables de multinationales, de banques, de trusts mondiaux, de hauts responsables politiques,...qui ont de par leur situation la possibilité de contrôler et d'utiliser les connaissances dans les domaines les plus sensibles, et ceci dans un but bien particulier: une restructuration complète du fonctionnement du monde à travers l'acceptation commune des pays du globe de laisser s'instaurer un gouvernement mondial. Ce peut être une noble idéologie ou bien un de ces "chemins pavés de bonnes intentions et qui mènent vers l'enfer", mais tant que leurs agissements restent volontairement cachés du grand public, quelles qu'en soient les raisons, nous serons nombreux à essayer au contraire d'informer les gens, à eux de décider du bien et du mal pour eux-mêmes, et non à d'autres.Plan des Illuminati:Leurs objectifs actuels ont été élaborés en 1773 : préparer la voie pour leur Gouvernement Mondial unique jusqu'à environ l'an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Cet objectif est connu depuis le 19ème siècle et a été exécuté (la troisième guerre mondiale est en cours depuis les années 1950: c'est la guerre économique [ voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit ]). Ce plan de longue haleine a été poursuivi depuis 2 siècles par des personnes différentes, grâce au soutien économique de riches et puissantes familles. Des adeptes de l'idéologie ont été recrutés au cours du temps grâce à des sociétés secrètes oeuvrant dans les hautes sphères économiques et politiques et c'est avec grande ingéniosité et patience qu'aujourd'hui la grande majorité des classes dirigeantes influentes et des trusts économiques font partie des adeptes de leur grande idée. Ils ont maintenant les moyens de réaliser leurs ambitions qui sont d'envergure mondiale, comme nous le voyons à travers les documents sur le Groupe Bilderberg, la commission Trilatérale et le CFR.Petit historique:Les Illuminati:C'est au 14ème siècle que surgirent pour la première fois les Illuminati, en Allemagne. Ils étaient les plus grands "initiés" d'une société secrète appelée la Confrérie du Serpent (le mot biblique originel pour serpent, nahash, découle de la racine nhsh qui signifie déchiffrer, découvrir et illuminati provient de illuminare qui signifie illuminer, connaître, savoir, en latin). L'histoire du moyen-âge regorge de ce genre de sociétés secrètes réunissant certaines personnes ayant des buts idéologiques particuliers at sachant recruter ses membres parmi les riches et influents afin d'essayer d'accroître son impact et ses idées. Citons à titre d'exemple une très célèbre société secrète chrétienne qui a été tellement puissante et riche que même le roi de France les a craint en tant que principal débiteur (ils étaient plus riche que lui et possédaient de nombreux châteaux à travers le pays indépendants du régime de France et donc du roi) et les a exterminés: les Templiers.Les Sages de Sion:Une organisation secrète très influente exerçait un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs de l'époque, qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de Sages de Sion. Ils intriguèrent beaucoup et projetèrent la révolution anglaise en Hollande de 1640 à 1689. En prêtant de l'argent à qui il fallait et en soutenant et aidant un duc Allemand appelé Guillaume II , ils obtinrent la redevabilité du roi Guillaume III d'Angleterre, fils de Guillaume II, qu'ils avaient aidé à monter au pouvoir en renversant les Stuart du trône d'Angleterre (que d'intrigues!). En échange ce dernier persuada le Trésor Britannique d'emprunter de l'argent aux banquiers juifs affiliés aux Sages de Sion, et la dette de l'état augmentant très vite, ce dernier dut acquiescer aux conditions exigées qui permirent l'instauration de la première banque centrale privée: la Banque d'Angleterre.Les Rothschild:La maison Rothschild est un centre important dans l'affairisme bancaire international. Leur fortune originelle provient d'habiles transactions financières de Mayer Amschel, qui avait acheté une banque à Francfort en 1750, à la suite desquelles débuta pour eux le commerce bancaire international. Chacun des fils de Mayerouvrit une banque dans un pays différent: à Berlin, Vienne, Paris et Naples. Mayer écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée par l'avenir et il indiquait que les comptes devaient rester secrets, en particulier pour le gouvernement (et l'histoire montre que les Rothschild sont un des empires bancaires actuels les plus importants du monde). En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré les Sages de Sion à Francfort pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Ils soulignèrent le fait que la fondation de la Banque d'Angleterre avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise et déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit et ce plan aurait fini par être connu sous le nom de des Sages de Sion. L'origine de ce protocole remonte en fait à des siècles en arrière et ils auraient été remaniés par Rothschild avant d'acquérir leur vraie signification. C'est aussi Mayer Amschel qui aurait fondé les plans pour fonder la société secrète des "Illuminés de Bavière" et désigné son créateur, Adam Weishaupt, société qui va prendre une tournure importante et rassemblera de nombreux Illuminati. Les buts des illuminati incarnés par la société secrète des "Illuminés de Bavière" sont exposés dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit. On associe souvent les Illuminati comme étant les" Illuminés de Bavière", mais bien que les Illuminati soient en fait plus anciens, cette assimilation est sans importance car ce qui compte, c'est ce qu'ils veulent faire; se perdre dans des détails historiques étant en fait sans importance.Les Illuminati de Bavière:Les "Illuminés de Bavière"étaient organisée en cercles concentriques et dès qu'un initié prouvait sa faculté de garder un secret, il était admis dans un cercle plus restreint et lié à des secrets encore plus profonds. Seuls ceux qui se trouvaient dans le plus petit cercle connaissaient les vrais buts des "Illuminés de Bavière". Ils étaient divisée en 13 grades symbolisés par les 13 marches de la pyramide représentée sur le billet d'un dollar américain.Le fondateur de la société s'y entendait pour attirer dans son ordre les esprits les meilleurs et les plus éclairés qu'il choisissait dans la haute finance, l'industrie, l'éducation et la littérature. Il utilisait la corruption par l'argent et le sexe pour contrôler les personnes haut placées et il les faisait chanter pour être sûr de les garder sous son contrôle. Les illuminés de Bavière se mirent à conseiller des gens du gouvernement en se servant des adeptes aux grades supérieurs. Ces spécialistes s'y entendaient pour donner aux politiciens en place les conseils pour qu'ils adoptent une certaine forme de politique qui correspondait à leurs visées.En 1777, Weishaupt fut initié à la loge franc-maçonnique de Munich qu'il eut tôt fait d'infiltrer. En 1782 l'alliance entre les francs-maçons et les "Illuminés de Bavière" fut scellée à Wilhelmsbad. En contrôlant les "Illuminés de Bavière", les Rothschild exerçaient maintenant une influence directe sur d'autres loges secrètes importantes. Des documents montrent qu'ils ont manipulé les idées et qu'ils ont été des initiateurs de la révolution française entre autres.La conquête des USA:Les États-Unis ont eu leur déclaration d'indépendance signée en 1776. Ce pays en création était pour les Rothschild l'occasion de créer de vastes et puissants nouveaux réseaux bancaires. Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de Benjamin Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la First National Bank of the United States, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la Banque d'Angleterre et contrôlée par les Rothschild. Après moult endettements des USA envers cette banque, elle est devenue la Federal Reserve Bank et aujourd'hui la banque centrale américaine. Lors de la guerre de sécession, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord, celle de Paris, les États du Nord. Résultat: les Rothschild vainqueurs et les américains du sud et du nord vaincus. A travers leur influence par la franc-maçonnerie dont 1/3 des présidents américains ont fait partie et qui sont largement représentés au Sénat et au Congrès américains (Le sceau américain, la pyramide à l'œil qui voit tout, les armoiries de l'État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d'origine avec les 13 étoiles et les 13 rayures sont d'anciens et importants symboles francs-maçonniques; de plus sur ce même billet de un dollar il est écrit sur la pyramide: Novus Ordo Seclorum ce qui en latin signifie: Le Nouvel Ordre des Siècles, que nous pourrions réactualiser en: Le Nouvel Ordre Mondial), les Rothschild ont pu avoir les appuis nécessaires à l'édification de leur fortune et de leur contrôle aux USA. Ceci permet d'expliquer pourquoi c'est ce pays qui est "choisi" par le gouvernement mondial comme "base" stratégique.Plan pour des guerres mondiales:Dans une lettre du 15 août 1871, un plan décrivant la "conquête" du monde par trois guerres mondiales pour ériger le Nouvel Ordre Mondial est décrit, que l'on peut résumer ainsi:La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. A la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés de Bavière à l'échelle mondiale.La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toute pièces en manipulant les divergences d'opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d'influence et entraînerait la création d'un État d'Israël en Palestine.La plan de la Troisième Guerre Mondiale serait basé sur les divergences d'opinions que les Illuminés auraient créées entre les sionistes et les Arabes. On programmerait une extension du conflit à l'échelle mondiale. Une partie de la troisième guerre mondiale consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d'une brutalité et d'une bestialité jamais vues.On peut évidemment se dire que ces plans peuvent avoir été remaniés et repensé, améliorés au vu de nouveaux facteurs (voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit armesil.php), mais on voit là les grands traits de leurs idées: manipuler la politique à travers des individus bien particuliers, et de larges puissances économiques qui ont le choix de financer ou non les politiques qui sont conformes à leurs idées, décidant ainsi des vainqueurs dans les conflits, souvent après les avoir faits provoqués par manipulation politique et financière dans ce but.
Armes silencieuses pour des guerres sans bruit
(pour un nouvel ordre mondial)Les Illuminati sont un ordre secret connu depuis le 18ème siècle dont un manifeste est apparu au grand jour au début du 19ème siècle sous le nom de " protocole des sages de ZIONS ". En 24 paragraphes, ce manifeste décrit comment subjuguer et dominer le monde à l’aide d’un système économique (pour la création d’un nouvel ordre mondial).Étant donné la difficulté qu’il y avait à maintenir le secret au niveau international, il fut décidé de mettre en place un groupe extérieur afin de coordonner et contrôler les efforts internationaux et de protéger les secrets et les gouvernants de la curiosité habituelle de la presse. Ce groupe, dénommé les Bilderbergergs, (du nom de l’hôtel où s’est tenue leur réunion de constitution en 1952) a évolué sous l’infiltration des Illuminati en un gouvernement mondial secret contrôlant économiquement toute la planète (les Nations Unies n’étant qu’une aimable plaisanterie internationale).Un groupe privé d’étude dont l’objectif est de travailler à construire une coopération politique et économique entre l’Europe de l’Ouest, l’ Amérique du nord et le Japon dans le cadre d’un nouvel ordre mondial a été constitué en 1972 par D. Rockfeller et Zbigniew Brzezinski à l’aide de contacts avec les Bilderbergers. Il est constitué d’une élite de 300 décideurs importants dans le monde économique, politique et intellectuel, sur les 3 continents. Ce groupe se nomme la commission trilatérale. Vous allez trouver dans la suite de ce document une des stratégies économiques des Bilderbergers.Note de William Cooper (ancien sous-officier des services secrets de la marine US): "j’ai lu des documents top secret qui expliquaient que " Armes silencieuses pour des guerres sans bruit " est une doctrine adoptée par le comité politique du groupe Bilderberg durant son premier meeting connu en 1954. Une copie trouvée en 1969 était en possession des services de renseignement de la Marine U.S."Le document actuel est daté de mai 1979 , et a été trouvé le 7 juillet 1986 dans une photocopieuse de marque IBM qui avait été achetée à une salle des ventes.Ce document rédigé en américain a été traduit en français en un document de 27 pages dont voici un résumé.Les éléments de texte mis "entre guillemets" sont des extraits du document et les commentaires sont en italique.Que veulent-ils ?"Toute science est simplement un moyen orienté vers une fin. Le moyen c’est la connaissance, la fin, c’est le contrôle . Au-delà de tout cela, il reste un seul problème : qui doit être le bénéficiaire ?"Leur but est le contrôle de l’économie. Le moyen est la connaissance des mécanismes économiques.Comment contrôler l’économie ?a) Pour contrôler, il faut pouvoir prédire et pour cela il faut un modèle économique."L’objectif de la recherche économique telle qu’elle est [...], est l’établissement d’une économie qui soit entièrement prévisible et manipulable.""On avait pressenti qu’avec des fondements mathématiques suffisants et des données, il serait presque aussi facile de prédire et de contrôler la tendance d’une économie, que de prédire et de contrôler la trajectoire d’un projectile. Ainsi que cela a été prouvé par la suite, de plus, l’économie a été transformée en un missile guidé vers une cible."Le modèle économique :"Dans l’étude des systèmes énergétiques, il apparaît toujours 3 concepts élémentaires. Ce sont : l’énergie potentielle, l’énergie cinétique et la dissipation de l’énergie. 3 contreparties essentiellement purement physique et idéalisées appelées "constituant passif" viennent en correspondance avec ces concepts."L’énergie économique est un concept analogue à celui d’autres types d’énergies : énergie mécanique ou électrique. En physique, il est possible de traduire des problèmes mécaniques en problèmes électriques lorsque l’on a à traiter des phénomènes mécaniques mettant en jeu uniquement des éléments associés aux 3 concepts fondamentaux élémentaires de l’énergie précédemment cités. L’énergie économique peut elle aussi être traduite en termes de langage électronique par le même type de procédés grâce à des équivalences entre énergie électrique et économique."Toute la théorie mathématique développée pour l’étude d’un système énergétique (par exemple, la mécanique, l’électronique, etc.) peut être immédiatement appliquée dans l’étude de n’importe quel système énergétique (par exemple, l’économie).""Pour résumer tout ceci, on a découvert que l’économie obéissait aux mêmes lois que l’électricité et que toutes les théories mathématiques et pratiques, et que tout le savoir-faire informatique développé dans le champ de l’électronique, pouvaient être appliqués immédiatement à l’étude de l’économie. La découverte ne fut pas déclarée au grand jour, et ses implications plus subtiles furent et sont toujours un secret gardé jalousement. Par exemple, le public ne sait pas que dans un modèle économique, la vie humaine est mesurée en dollars, et que l’étincelle électrique engendrée lors de l’ouverture d’un interrupteur branché sur un inducteur actif est mathématiquement équivalente, dans le modèle économique, au lancement d’une guerre.Enfin, parce que les problèmes d’économie théorique peuvent être traduits très facilement en problème d’électronique théorique, les solutions économiques peuvent être obtenues par résolution dans le domaine électronique puis par traduction inverse ; il s’en suit donc que seul un livre de traduction entre les 2 domaines et des définitions conceptuelles sont nécessaires pour faire de l’économie. Le reste peut être obtenu à partir des travaux classiques en mathématiques et en électronique. Ceci rend inutile la publication de livres sur l’économie avancée et simplifie grandement la sécurité du projet. "b) Une fois que le modèle est défini il faut définir les paramètres qui permettront de faire fonctionner le modèle." [...] la réponse [...] peut être prédite et manipulée, et la société devient un animal bien domestiqué avec ses rênes sous le contrôle d’un système de régulation informatique sophistiqué : un système de comptabilisation de l’énergie sociale.Finalement, chaque élément individuel de la structure passe sous le contrôle de l’ordinateur à travers la connaissance des préférences personnelles; une telle connaissance étant garantie par l’association informatisée des préférences de consommation (code universel sur les produits). Tout ceci identifie le consommateur (identifier via la liaison à travers une carte de crédit et plus tard, un " tatouage " corporel numérique [...])"De très nombreux paramètres de mesure de la société sont définis parmi lesquels, entre autre : la surveillance du comportement des enfants à l’école, l’analyse des standards de vie à travers la nourriture, l’habillement, l’habitation, les moyens de transport ; le tracé des habitudes d’achat à travers les relevés de compte, les cartes de crédit; la constitution de profils de comportement à l’aide de factures de téléphone, d’électricité, les choix d’investissements et de dépenses , etc (il y a plusieurs dizaines de paramètres énumérés dans le document original).c) Puis, il faut pouvoir mesurer ces paramètres ou bien essayer de réduire leur influence si on ne peut les maîtriser.Les personnes doivent entrer dans des catégories de moules et pour cela on les y incite en proposant des standards de société, des modèles de comportement type : que devez-vous regarder à la télévision, à quoi devez-vous vous intéresser, pour quels sports devez-vous vous passionner, que devez-vous approuver ou désapprouver, que devez-vous acheter et consommer, etc : les médias sont la pour nous proposer des réponses toutes faites à travers leur choix d’information et de divertissement et la publicité sert " d’amplificateur économique " en incitant à acheter selon les standards proposés. Les comportements sociaux sont dictés par des stéréotypes qui s’auto-entretiennent :"Les médias, la publicité, etc.. ont pour vocation de s’assurer que le futur père sera bien soumis à son épouse d’ici à ce qu’il soit marié. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a été préparé, soit sa vie sexuelle sera entravée et la tendre compagnie sera réduite à zéro. On lui apprend à voir que les femmes demandent plus de sécurité que de raison, et qu’elles demandent à ce que le comportement de l’homme soit honorable et édicté par des principes. "Quelques extraits de leur " table des stratégies " :Faites ceci :... pour obtenir cela :- Maintenir le public dans l’ignorance- Moins d’organisation publique- Créer des préoccupations- Des défenses affaiblies- Attaquer l’unité familiale- Contrôler l’éducation des jeunes- Encourager le conformisme social- Simplification des programmes informatiques- Affermir le consensus- Des coefficients simples (dans les programmes informatiques)- Renforcer le contrôle des variables- Des données d’entrée informatiques simples fournissant une plus grande prévisibilité- Maximiser le contrôle- Un minimum de résistance au contrôle- Effondrement de la monnaie- Détruire la confiance que les américains ont les uns envers les autresQuant aux catégories de personnes qui ne pourront pas rentrer dans les moules, soit par choix de non conformisme soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, elles doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société." Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total, [...] et on doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparent des parents.La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-mêmes de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante. "" Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile cependant car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : " celui qui paie est celui qui donne le ton ". "d) Enfin, il faut un outil efficace pour simuler l’économie à partie de ces paramètres et en prévoir le comportement : l’ordinateur." L’ingénierie sociale (l’analyse et l’automatisation d’une société) nécessite la corrélation d’une très grande quantité d’informations économiques changeant constamment (données). C’est pourquoi un système informatisé du traitement des données à haut débit était nécessaire pour calculer à l’avance l’évolution de la société et prévoir son arrivée à la capitulation.Les ordinateurs à relais étaient trop lents mais les ordinateurs électroniques inventés par Presper Eckert et W.Mauchly permettaient d’atteindre le but fixé. "" Puis, en, 1948, le transistor inventé par J.Bardeen, W.H.Brattain et W.Shockley a permis une grande expansion de l’activité des ordinateurs grâce à la réduction des surfaces et à la diminution des puissances électriques consommées.Avec ces [...] inventions à leur disposition, ceux qui étaient en position de pouvoir ont très nettement compris la possibilité qu’ils avaient de contrôler la totalité du monde en appuyant uniquement sur un bouton. "Les ordinateurs servent aussi bien dans la simulation du comportement économique d’une situation donnée que dans l’analyse de la structure économique dans son ensemble à fin de prévisions.En reprenant une analogie extraite du document : les vibrations des diverses parties d’un avion peuvent s’ajouter et provoquer sa destruction par effet de résonnance. La constitution de la structure peut être connue en faisant des tests de choc de ses constituants et des enregistrements de ces tests, après un traitement des données recueillies." Pour utiliser cette méthode des jeux de test en ingénierie économique, les prix des produits sont secoués (un produit de base est sélectionné comme le café, l’essence ou le sucre et un changement soudain est provoqué sur le prix ou la disponibilité du produit) et la réaction du consommateur public est contrôlée. Les échos résultant du choc économique sont interprétés théoriquement par des ordinateurs et la structure psycho-économique de l’économie est alors mise à jour. "Comment endormir le public face à l’attaque ?" Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiétement de cette arme sur son mode de vie, jusqu'à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. "Et pour s’assurer que le public n’aura pas l’occasion de se poser de questions sur le fonctionnement du système économique, on l’occupe:" Comme dans toute approche d’un système social, la stabilité est obtenue par la compréhension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de définir les modèles d’action et de réaction). L’impossibilité de cette prise en compte peut être, et est généralement désastreuse. "" L’expérience a prouvé que la méthode la plus simple pour sécuriser une arme silencieuse et obtenir le contrôle du public, c’est de maintenir le public dans l’indiscipline et dans l’ignorance des principes fondamentaux des systèmes d’une part, alors que d’autre part on les maintient dans la confusion et la désorganisation et on les distrait avec des sujets n’ayant aucune réelle importance.Ceci est obtenu :- En détournant les pensées ; en sabotant ses activités mentales ; en fournissant un programme d’éducation public de basse qualité dans les domaines des mathématiques ; de la logique, de la conception des systèmes et de l’économie ; enfin, en décourageant la créativité technique.- En faisant appel à ses émotions, en intensifiant son auto-confiance et ses faiblesses à travers des activités émotionnelles et physiques comme suivent :----- En provoquant des affrontements et des attaques émotionnelles incapables à travers des viols mentaux et émotionnels ; tout ceci pour l’utilisation d’un barrage constant de sexe, de violence et de guerre dans les médias (spécialement à la télévision et dans les journaux).----- En lui fournissant ce qu’il désire en excès - " nourriture avariée pour la pensée " - et en le privant de ce dont il a réellement besoin.- En réécrivant l’histoire et la loi, et en soumettant le public à des constructions anormales et ainsi en devenant capable de réorienter sa pensée vers des priorités extérieures entièrement préfabriquées au lieu de ses besoins personnels.Ceci empêche le public de découvrir ou même d’accorder de l’intérêt à une technologie sociale automatique fondée sur les armes silencieuses. La règle générale est qu’il y a du profit dans la confusion ; plus il y a de confusion, plus il y a de profit. Donc, la meilleure approche est de créer des problèmes, puis de proposer les solutions à ces derniers."RÉSUME POUR LA DIVERSIONLes médias : écarter l’attention du public adulte des véritables problèmes sociaux mais captiver son attention par des sujets sans réelle importance.L’école : maintenir le jeune public ignorant des vraies mathématiques, de la vraie économie, des vraies lois et de la véritable histoire.L’amusement : maintenir l’amusement du public en dessous d’un niveau primaire.Le travail : maintenir le public occupé, occupé, occupé, sans avoir le temps de penser du tout ; relégué au rang d’animal de ferme. "" Le comportement du public est soumis, dès la naissance à la peur, la paresse, et la recherche de l’intérêt personnel.Un tel comportement permet de fonder l’état providence comme une arme stratégique utile contre ce public sordide. "En application du principe diviser pour régner :" la cellule familiale doit être soigneusement désintégrée et l’on doit généraliser et imposer légalement la mise en place de l’éducation publique contrôlée par l’état, ainsi que les centres d’assistance publique sous la responsabilité de l’état ; tout ceci afin de préparer le jeune enfant à se détacher de son père et de sa mère à un âge de plus en plus précoce. La prise de drogue comportementale peut accélérer cette transition pour l’enfant. "Mais pourquoi contrôler l’économie ?" Par exemple, il existe une relation quantitative mesurable entre le prix de l’essence et la probabilité qu’une personne ressentirait un mal de tête, ou bien aurait l’envie d’aller voir un film violent, ou de fumer une cigarette ou bien d’aller dans un bar boire une chope de bière.Il est des plus intéressant qu’en observant et en mesurant les schémas économiques par lesquels les gens essaient de fuir devant leurs problèmes et de s’échapper de la réalité et par l’application de la théorie mathématique [...], il est possible à des programmes informatiques de prévoir la combinaison la plus probable d’événements que l’on pourrait fabriquer et qui apporteraient un contrôle complet et la soumission du public à travers la subversion d’une économie publique [...] "" L’objectif de telles études est d’acquérir le moyen de mettre l’économie publique dans un état dont les mouvements sont prévisibles ; et même de la mettre dans un état contrôlé de mouvement vers l’autodestruction qui convaincrait le public que certaines personnes dénommées experts pourraient reprendre le contrôle du système monétaire et rétablir la sécurité pour tous (plutôt que la liberté et la justice). Lorsque les citoyens soumis sont rendus incapables de contrôler leurs affaires financières, ils deviennent bien entendu totalement esclaves, et sont une source de travail bon marché. "" [...]un gouvernement lorsqu’il fait fonctionner la planche à billet au-delà des limites du produit national brut s’engage dans un processus économique appelé inflation. Cette méthode met une grande quantité d’argent dans les mains du public, permet de contrebalancer la cupidité du public, crée une fausse confiance en soi du public et, pendant quelques temps, maintient les fauves en cage.Les gouvernements doivent finalement avoir recours à la guerre afin d’équilibrer les comptes parce que la guerre n’est, en dernier ressort, que l’acte de destruction du créditeur. Les politiciens sont des gens à succès payés publiquement qui légitiment le fait de tenir la conscience publique à l’écart des responsabilités et des tueries.Si les gens prenaient réellement soin de leur prochain, ils contrôleraient leurs appétits (avidité, procréation, etc.) . "" Puisque la majeur partie du grand public ne sait pas se contrôler, il y a donc une seule alternative pour réduire l’inductance économique du système :Laisser la populace s’entre-tuer dans une guerre, ce qui aurait comme seul résultat une totale destruction de ce qui vit sur Terre.Prendre le contrôle du monde à travers l’utilisation d’une " arme silencieuse " économique sous la forme d’une " guerre sans bruit " et ainsi réduire l’industrie économique du monde jusqu'à un niveau acceptable à travers un processus d’esclavage bienveillant et de génocide.La dernière option a été retenue comme étant de manière évidente la meilleure. [...] Le public, en général, refuse d’améliorer sa mentalité et sa foi dans son prochain. Le public est devenu un troupeau grandissant de barbare et pour ainsi dire une scorie sur la face de la Terre.Le public ne se préoccupe pas assez de science économique pour comprendre pourquoi il n’est pas capable d’éviter les guerres en dépit de la morale religieuse. Le refus, pour cause de religion ou pour cause d’autosatisfaction de traiter des problèmes de la Terre, rend la solution au problème de la Terre incompréhensible pour lui. C’est du ressort du petit nombre de ceux qui veulent réellement penser et survivre comme étant les plus aptes à survivre, de résoudre le problème pour eux-mêmes, parce qu’ils font partie du petit nombre de ceux qui cherchent réellement. "Le document traduit complet est disponible ici en version RTF: Armesilencieuse.rtf(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir "Enregistrer sous")Autre traduction sur le site "SytiNet" de ce documentLe document américain original est disponible dans un livre de Mr William Cooper (à qui il a été communiqué) intitulé " Behold a pale horse ".Éditions : Light Technology Publishing P .O. Box 1495 AZ 86336 USAIl est aussi possible de l'obtenir à lui seul avec les coordonnées suivantes:Intitulé: Silent Weapons For Quiet Wars (a programming and study in economic manipulation)Editions: Cosmic Voyage Publications P.O. Box 1116 McMinnville OR 97128 USA
Quant à ceux qui sont intéressés par des compléments d’informations sur le groupe Bilderberger et les activités d’autres sociétés secrètes, ils pourront se référer au même livre de Mr Cooper, ainsi qu’ au " Livre Jaune n°5 " aux éditions Felix, écrit par un collectif d'auteurs (qui remplace et complète le livre: " Les sociétés secrètes " de Mr Jan van Helsing aux mêmes éditions Felix). Des références complètes sont disponibles dans la page intitulée: Le Nouvel Ordre Mondial.
Le gouvernement secret (1/4)
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12écrit le 23 Mai 1989révisé le 21 Novembre 1990Les signes sont de plus en plus nombreux.Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrerles gens de la Terre.Les rendez-vous ont déjà eu lieu.Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.Pape Jean XXII, 1935NDT : Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. : Light Tecnology PublishingP.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336U.S.A.Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de " fiction " qui nous viennent des U.S.A. .Le document est aussi disponible ici en version RTF: gouvsecr.rtf(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir Enregistrer)Quelques précisions avant de commencer la lecture du documentIlluminati :Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette société regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.Conseil des Relations Étrangères (CFR en américain) :C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rites initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes permet aux Illuminati de s’assurer que leurs " recrues " sont en accord avec leurs objectifs).Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.Commission Trilatérale :La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial.La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Vietnam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.Groupe Bilderberg :Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...VOCABULAIRE UTILISE POUR LA TRADUCTIONExtranéen : Néologisme créé à partir du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaineAlienigène : Néologisme créé à partir du latin " alienigenus " (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.
Le gouvernement secret (2/4)
PerspectivePlusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a pu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les chronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette hypothèse.Le gouvernement secretAu cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et même utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation.Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mesa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.Durant ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements" pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'"Agence centrale de renseignements".Le "Conseil de sécurité nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la "coordination des mesures d'information sur les services de renseignements étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements " - Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme ".NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. "NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du personnel des renseignements, "tous les coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création d'un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès.Une zone tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard.James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA.Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents efforts. L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène, et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où va l'argent va le pouvoir". Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA vise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.Le président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.Au cours de l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore en vie.Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.Moins d'une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon - lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.Entre-temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant "Son Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant "le tout-premier otage Krlll", car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : "Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions " est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des " Ethériens " !Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les différentes " autorités " et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai ".Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme des dieux par lui.Il est bon de préciser que l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un " tuyau " qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des marais ".On accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le nom de code était "The Dark Side of the Moon" [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.L'armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo " Gritz était un commandant de la force Delta.De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations de la "Solution 2" à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.C'est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu'il fallait "aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels sécuritaires" consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à Washington.Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes" est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples". Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés "les Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des " Skull and Bones " et " Scroll and Key " du temps où ils fréquentaient ces universités. Les " mages " sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et sont aussi membres d’un " Ordre secret de la Quête " connu sous le nom de société JASON.Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que directives de Majorité douze.Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des "Mages" les plus important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation de cette section a changé.Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire". C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.Les membres du groupe d’étude :Gordon Dean, Président, Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude, Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude, Professeur Edward Teller Frank Altschul, Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong, Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr., Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie , Frank C. Nash McGeorge Bundy , Paul H. Nitze William A. M. Burden , Charles P. Noyes John C. Campbell , Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter , James A. Perkins George S. Franklin, Jr. , Don K. Price I.I. Rabi , David Rockefeller Roswell L. Gilpatric , Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby , Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith , Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth , James T. Hill, Jr. Shields Warren , Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson , Mervin J. Kelly Arnold Wolfers.Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code "Country Club", en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le " Country Club ").Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année suivante, un compte rendu "officiel" des sessions sous le titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères", édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances? D'autre part,serions-nous réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la moindre idée.En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les "constructions souterraines à grande profondeur". Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis ses débuts cinq ans auparavant.Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait copié ce document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.Lars vint chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son objectif principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à la fin j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, " le conducteur de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son épaule droite ". J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.Il est important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton " d’aller se faire voir ailleurs ". Une fois que les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque. J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était révélé être plus tard, Lars Hansson.Hansson a plus tard clamé que j’avais violé son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier. Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a réellement tué notre président.Bo Gritz a déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz, qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble ?Robert Grodin est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir une copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion et de perpétuer le nuage de brouillard.J’ai appelé Bob Grodin et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du système de couverture de la vérité.Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur les assassinats de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui était responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable de la sécurité de la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait à sa place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.Pendant des années, j’ai parlé aux gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il était arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années. C’était la même information que celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie de la couverture ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à l’écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez " Hard copy ". Son nom est Bubs Hopper.Un autre producteur (dont je ne me souviens plus le nom) de " inside Edition ", un autre TV magazine, m’a contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper. Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne ".J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son intention avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l’apparence d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.J’ai découvert l’étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face d’une audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.Les astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs britanniques de chez TV expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé " Rapport scientifique ".Les auteurs du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits de ce livre sont de la véritable désinformation , suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers généraux de la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces colonies ont signé la constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait émis tout un "document de directives" pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée comme étant fausse.Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble.Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est une pure désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie.John Lear dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes " suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes n’existent pas ".Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre président. L'état major de la Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.J'ai moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement: " Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres aussi.On dirait que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les activités bien cachées. Le président de cette commission était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours fait.Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui dénonçaient le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord préparait un plan pour suspendre la constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses compagnies de gestion, la banque de développement Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore, Shandera et Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour des lanternes.Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman et prouver que le " document de directive " d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en dehors de toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.Un autre plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes. Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au début des années 60.Ce plan d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT: c’est, aux U.S.A., le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à certaines doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement psychiatrique. Je crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de programmes d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort.Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?Après avoir saisi les médias d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84, et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous réveiller et de réagir.Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction, entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les revues comme étant l’expert de " ce qui s’est réellement passé ".Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone. J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement " (citation de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce que nous méritons.William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai demandé, m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour la défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun doute.Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents, qu’il avait espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté des agences de renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était conclue par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands manipulateurs au cœur de pierre.Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues " estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.Jaimie Shandera est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste pour l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une petite annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui dépendaient autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le savez aussi.Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président en charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale graphique que John Lear est l’agent appelé " Condor " de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA .Quant à Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme! " ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la documentation que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de même étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une assistante financière serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses. C’est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la première fois présenté ce document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.C’est là la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et le second mot était une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais déjà vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de déterminer si j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, " lisez sur mes lèvres ". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un des vôtres.Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les lire tous les deux.Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble avoir pris d’extrême précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage du bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu. Je vous recommande de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce qu’en France...].J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant sur le fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout le reste de l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA nommé Budd Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur les kidnappés.Je sais que toutes les organisations de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de contrôle par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu à l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue pas un conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été 1988 où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée, Vicki Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : " vous savez, mon magasine pourrait être financé par la CIA ".J’ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs reprises que " la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ". L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant " le seul assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA et le groupe de Johnny Rosselli.Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est Barry Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date du professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise en œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement de Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans l’appendice.La preuve la plus accablante du contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La société Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut pas être contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.Don Ecker clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de l’armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il soupoudre ses articles de mots comme " ovniologique ", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes. Il dit que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique la calomnie.Selon des sources légitimes de responsables policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker II a été licencié après seulement six semaines pour " mauvaise conduite ". Mr Ecker est retourné à la prison d’état de l’Idaho où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr Ecker.Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se révélait être le plus grand canular ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?Si l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité.A la plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération de contrôle de l’esprit par la CIA?Selon les documents que j'ai vu, un citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée d'individus qui puisse être "mise en marche" et se retourner contre nous au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une "pétition accusatoire" et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.Les conclusions sont inévitables :1) Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa propre survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation doit son existence même à son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces principes. Il est temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances extranéenne et les pouvoirs humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la question primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ". Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d’agir correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un changement radical pour la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement et très silencieusement.3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.Si rien de ce qui précède n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres actions et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute, nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition du secret.Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple" et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs d'Europe mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la population : "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace vous sauveront ". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous ". L’information la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique, alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les avons vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente."Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre. "Ronald Reagan s’adressant à Mikhail GorbachevNDT : A noter qu’un président des Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation d’OVNI, observation qu’il avait officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.D’après une remarque de Mr Cooper : Lorsque le président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
Le gouvernement secret (3/4)
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper.J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.Dés l'abord, j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.J'ai entamé la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté." J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur une pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de bruit", lui ai-je dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans", m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.La première chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier."Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit.Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.Cooper: Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?Le vétéran: Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.Cooper: La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?Le vétéran: On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.Cooper: Quel était le nom de ce hangar'?Le vétéran: Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?Le vétéran: Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.Cooper: À quoi ressemble cet insigne?Le vétéran: À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description du détenteur comme toute autre carte d'identité.Cooper: Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?Le vétéran: On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.Cooper: Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était circulaire?Le vétéran: Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au cinéma.Cooper: Pouvez-vous me la décrire?Le vétéran: Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.Cooper: Quelle hauteur avait-elle?Le vétéran: De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?Le vétéran: Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.Cooper: Avez-vous aperçu des hublots?Le vétéran: Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.Cooper: Etaient-ils ronds?Le vétéran: Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.Cooper: L'officier vous a-t-il dit quelque chose?Le vétéran: Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.Cooper: Étrange comportement, ne trouvez-vous pas?Le vétéran: Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.Cooper: Qu'advenait-il à ces hommes?Le vétéran: Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.Cooper: Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?Le vétéran: Non, pas du tout.Cooper: Comment êtes-vous entré à Delta?Le vétéran: J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.Cooper: Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?Le vétéran: Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.Cooper: Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?Le vétéran: D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.Cooper: N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins?Le vétéran: J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de Dreamland?Cooper: Que voulez-vous dire?Le vétéran: Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?Cooper: Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?Le vétéran: Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.Cooper: Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?Le vétéran: Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...Cooper: Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?Le vétéran: Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié.Cooper: Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.Le vétéran: C'est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes.Cooper: En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?Le vétéran: Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.Cooper: Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?Le vétéran: L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles.Cooper: Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?Le vétéran: Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.Cooper: À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?Le vétéran: Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations, sans doute.Cooper: Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?Le vétéran: Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.Cooper: Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?Le vétéran: Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.Cooper: Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?Le vétéran: Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.Cooper: Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?Le vétéran: Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?Cooper: Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.Le vétéran: Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.Cooper: Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...Le vétéran:J e ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.Cooper: Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?Le vétéran: La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous... Personne n'y peut plus rien changer!Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la sienne.Il est le deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?En définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !* Le type de dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aéro-stratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Le gouvernement secret (4/4)
MORT DE COOPERWilliam Cooper, qui a diffusé dans les tout premier l'information concernant le gouvernement secret, ex-agent de la Navy américaine; et qui avait déjà pour cela failli perdre la vie (il avait perdu une jambe alors qu'une voiture de la CIA le laissait pour mort en ayant voulu l'écraser); est mort fin 2001.Sa mort n'est pas naturelle, puisqu'il a été tué alors qu'il était pris dans un guet-apens organisé de manière officielle par un Sheriff qui venait l'arrêter pour des motifs qui ont rapport avec son implication dans des groupes de self-défense anti-gouvernementaux américains, groupes qu'il a rejoint depuis son dégoût de son gouvernement après tout ce qu'il a appris, et sa tendance paranoïaque justifiée par des menaces constantes pour sa vie et celle de sa famille. Son arrestation a été organisée comme un traquenard dans lequel une confrontation armée a suivi, Cooper a tué un adjoint de police et Cooper a été lui-même tué par le Sheriff.Ainsi Cooper aura fini, après avoir perdu sa jambe, et vécu dans la peur et même la terreur constante (déménagements constants, il était sous surveillance, menaces, etc), par payer de sa vie le fait d'avoir été le porteur d'une vérité que beaucoup cherchent à cacher.Quelle que soit la part de désinformation contenue dans ses propos (et il y en a toujours, parce que ses sources sont aussi des manipulateurs habiles), il a joué le jeu de diffuseur d'une part de vérité, aux côtés de ceux qui dans le gouvernement américain en ont eu assez que le secret soit constant et ont voulu laisser filtrer la vérité par morceaux; mais en contre-partie il a été la cible de ceux qui eux étaient à la solde du gouvernement secret.Le participants à la réunion du 1er au 4 juin 2000NomNATFonction
Secrétaire général honorifique :J. Martin TaylorUKPrésident, WH Smith Group PLC, International Adviser, Goldman Sachs International
-----------------------------------------Président honorifique :Etienne DavignonBEPrésident, Société Générale de Belgique
-----------------------------------------Agnelli, GiovanniITPrésident honorifique, Fiat S.p.A.
-----------------------------------------Agnelli, UmbertoITPrésident IFIL - Fianziaria di Partecipazioni S.p.A.
-----------------------------------------Aguirre y Gil de Biedma, EsperenzaESPrésident du sénat espagnol
-----------------------------------------Allaire, PaulUSPrésident du conseil de direction et directeur général, Xerox Corporation-----------------------------------------Ambrosetti, AlfredoITPrésident, Ambrosetti Group
-----------------------------------------Andersen, Bodil NyboeDKGouverneur, Central Bank of Denmark
-----------------------------------------Asper, IsraelCNPrésident, CanWest Capital Group Inc
-----------------------------------------Avery, GrahamINConseiller en chef pour l'élargissement, EC
-----------------------------------------Balsemão, Francisco PintoPTProf. des sciences de communication, New Univ, Lisbon, Chair Impressa SGPS
-----------------------------------------Barnevik, PercySEPrésident, Investor AB
-----------------------------------------Benschop, DickNLSecrétaire d'état pour les affaires européennes
-----------------------------------------Bernabè, FrancoITReprésentant italien pour les initiatives de reconstruction dans les Balkans
-----------------------------------------Betz, Hans-GeorgDEVisiting Prof, European Studies, Cntr European Studies, Columbia & NY Univs.
-----------------------------------------Bildt, CarlINEnvoyé spécial du secrétariat général pour les Balkans, ONU
-----------------------------------------Black, ConradCNPrésident, Telegraph Group Ltd
-----------------------------------------Bruton, JohnIRLeader de Fine Gael
-----------------------------------------Buchanan, Robin WTUKAssocié principal, Bain & Company Inc
-----------------------------------------Clarke, KennethUKMembre du parlement
-----------------------------------------Çolakoglu, NuriTRPrésident & directeur général, NTV
-----------------------------------------Collomb, BertrandFRPrésident & directeur général de Lafarge; Directeur de Elf Total-Fina; membre du comité de surveillance du groupe Allianz; membre du comité de Direction au Crédit de Commercial France.
-----------------------------------------Cromme, GerhardDEPrésident du conseil de direction, Thyssen/Krupp AG
-----------------------------------------David, GeorgeGRPrésident, Hellenic Bottling Co. SA
-----------------------------------------Deutch, John MUSProfesseur, MIT
-----------------------------------------Diamandouros, P NikiforosGRMédiateur National
-----------------------------------------Dodd, Christopher JUSSénateur, D, Connecticut
-----------------------------------------Donilon, Thomas EUSVice président sénior, consultant général, and secrétaire, FannieMae
-----------------------------------------Dyson, EstherUSPrésident EDventure Holdings Inc.
-----------------------------------------Fréchette, LouiseINDéputé Secrétaire Général, ONU
-----------------------------------------Fresco, PaoloITPrésident Fiat S.p.A.-----------------------------------------Frum, DavidCNChroniqueur, National Post
-----------------------------------------Gouveia, Teresa PatrícioPTMembre du Parlement (PSD)
-----------------------------------------Graham, Donald EUSÉditeur, The Washington Post
-----------------------------------------Hagel, ChuckUSSénateur, R, Nebraska
-----------------------------------------Halberstadt, VictorNLProf of Economics, Leiden University; former Hon Sec Gen Bilderberg Meetings
-----------------------------------------Hambro, ChristianNODirector General, Research Council of Norway
-----------------------------------------Hampel, ErichATPrésident, Creditanstalt-Bankverein
-----------------------------------------Hutchison, Kay BaileyUSSénateur, R, Texas
-----------------------------------------Huyghebaert, JanBEPrésident, Almanij NV
------------------------------------------Janssen, Daniel EBEPrésident Solvay SA
------------------------------------------Johansson, LeifSEPresident & directeur général Volvo AB
------------------------------------------Johnson, James AUSPrésident & directeur général, Johnson Capital Partners
------------------------------------------Jordan Jr, Vernon EUSP.D.G., Lazard Frères & Co LLC
------------------------------------------Kayhan, MuharremTRVice Président du conseil de Söktas; ancien président de Tüsiad
-------------------------------------------Kissinger, Henry AUSPrésident, Kissinger Associates Inc
-------------------------------------------Kopper, HilmarDEPrésident du conseil de surveillance, Deutsche Bank AG
-------------------------------------------Kravis, Henry RUSPartenaire fondateur, Kohlberg Kravis Roberts & Co.
-------------------------------------------Kravis, Marie-JoséeUSSenior Fellow, Hudson Institute Inc
-------------------------------------------Lamy, PascalIN FRCommissaire Européen
-------------------------------------------Lévy-Lang, AndréFRAncien président de Paribas
-------------------------------------------Lippens, MauriceBEPrésident, FORTIS
-------------------------------------------Lipponen, PaavoFIPremier Ministre
-------------------------------------------Mathews, Jessica TUSPrésident, Carnegie Endowment for International Peace
------------------------------------------McDonough, William JUSPrésident, Federal Reserve Bank de New York
------------------------------------------Montbrial, Thierry deFRDirecteur, IFRI (Institut Française pour les Relations Internationales)
------------------------------------------Moore, MikeINDirecteur Général, WTO
------------------------------------------Nass, MatthiasRédacteur adjoint, Die ZeitHer Majesty the Queen of the NetherlandsNL------------------------------------------Ollila, JormaFIPrésident du conseil et directeur général, Nokia Corporation
-------------------------------------------Padoa-Schioppa, TommasoINMembre du conseil de direction, Banque centrale Européenne
-------------------------------------------Pagrotsky, LeifSEMinistre du commerce
-------------------------------------------Papandreou, George AGRMinistre des affaires étrangères
-------------------------------------------Petersson, Lars EricSEPrésident et directeur général, Skandia
-------------------------------------------Petritsch, WolfgangATLe haut représentant pour la Bosnie Herzégovine; négociateur européen au Kosovo
-------------------------------------------Pury, David deCHPrésident, de Pury Pictet Turrettini & Co Ltd.
-------------------------------------------Rasmussen, Anders FoghDKPrésident, Liberal Party
-------------------------------------------Reiten, EivindNOExec Vice President, Corporate Management, Norsk Hydro ASA
-------------------------------------------Richardson, BillUSSecrétaire à l'énergie
-------------------------------------------Riotta, GianniITRédacteur adjoint, La Stampa
-------------------------------------------Rockefeller, DavidUSPrésident, Chase Manhattan Bank International Advisory Council
-------------------------------------------Rodriguez Inciarte, MatíasESExec Vice président, Banco Santander Central Hispano BSCH)
-------------------------------------------Roll, EricUKSenior conseiller, UBS Warburg
-------------------------------------------Ruggiero, RenatoITVice président, Schroder Salomon Smith Barney International, and Chairman, Italy
-------------------------------------------Scholten, RudolfATMembre du conseil et directeur executif, Österreichische Kontrollbank AG
-------------------------------------------Schoutheete de Tervarent, Ph deBEAncien représentant permanent de la Belgique auprès de l'union européenne
-------------------------------------------Seidenfaden, TøgerDKRédacteur en chef, Politiken
-------------------------------------------Solana Madariaga, JavierINSecrétaire Générale, Conseil de l'union européenne
--------------------------------------------Soros, GeorgeUSPrésident, Soros Fund Management
--------------------------------------------Steinberg, James BUSAssistant adjoint du président pour les affaires de sécurité nationale (NSA)
--------------------------------------------Strauss-Kahn, DominiqueFRAncien ministre des finances; Professeur, Université de Paris
--------------------------------------------Surroi, VetonYUEditeur, KOHA Ditore
--------------------------------------------Sutherland, Peter DIRPrésident, Goldman Sachs International, & Chairman, BP Amoco plc
--------------------------------------------Tarullo, Daniel KUSVisitng Professor of Law, Georgetowm University Law Center
--------------------------------------------Thornton, John LUSPrésident & Co-COO, Goldman Sachs Group Inc.
--------------------------------------------Tremonti, GiulioITMembre de la Commission des Finances, Chambre des Députés
--------------------------------------------Trichet, Jean-ClaudeFRGouverneur, Banque de France
--------------------------------------------Vasella, Daniel LCHPrésident et directeur général, Novartis AG
--------------------------------------------Veer, Jeroen van derNLGroup MD, Royal Dutch/Shell Group; Designate Pres. Royal Dutch Petroleum
--------------------------------------------Vink, Lodewijk JR deUSPrésident & directeur général, Warner Lambert
--------------------------------------------Vranitzky, FranzATAncien Chancelier Fédéral
--------------------------------------------Wallenberg, JacobSEPrésident, Skandinaviska Enskilda Banken
--------------------------------------------Wolf, MartinUKRédacteur associé/Commentateur Économique
--------------------------------------------Wolfensohn, James DIN/USPrésident, La Banque Mondiale
--------------------------------------------Wolff von Amerongen, OttoDEPrésident & directeur général, Otto Wolff GmbH
--------------------------------------------Wolfowitz, PaulUSAncien haut fonctionnaire du gouvernement Bush, aujourd'hui doyen de l'Ecole des études internationales avancées (SAIS) de l'université Johns-Hopkins
--------------------------------------------Rapporteur:Mickelthwait, R. JohnUKRédacteur, The Economist
--------------------------------------------Rapporteur:Wooldridge, Adrian DUKCorrespondant à l'étranger, The Economist.
MALGRÉ LA PRÉSENCE DE PERSONNES AUSSI INFLUENTES, AUCUN MEDIA NE SE FAIT L'ÉCHO DE CES RÉUNIONS :
POURQUOI ???
Infiltration dans le Bilderberg 2005La réunion annuelle secrète du groupe de Bilderberg déterminera un grand nombre des gros titres de la presse — et de ses analyses — que l'on pourra lire dans les mois à venir. Pourtant les médias de l'establishment ont passé cette conférence complètement sous silence. A l'exception d'une demi-douzaine de journalistes triés sur le volet, qui ont tous juré de garder le secret, peu nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler de ce groupe secret et très fermé qui s'appelle les Bilderbergers.Les médias du courant dominant, qui aiment vanter leurs exploits d'investigations approfondies sur des sujets tabous, ont été étrangement peu disposés à lever le voile sur un événement d'importance majeure : les conférences annuelles secrètes du Groupe de Bilderberg, réunissant les financiers, les industriels et les personnages politiques les plus puissants de la planète.2005 n'a pas été un bon cru pour cette organisation secrète et son avenir semble morose. En effet, les efforts herculéens, déployés pour maintenir le secret sur sa réunion de cette année, qui s'est tenue à Rottach-Egern [à 60 km de Munich], ont lamentablement échoué. Et lorsque le groupe de Bilderberg est embarrassé, le monde libre reprend espoir, à l'aube du nouveau millénaire, de contenir ceux qui ont accaparé le pouvoir. Le groupe de Bilderberg a peut-être perdu un peu de son éclat passé, il n'empêche que le secret qui entoure ses réunions fait toujours ressembler la franc-maçonnerie à une cour de récréation. Le personnel de l'hôtel a été fiché et placé sous autorisation spéciale. Des portiers aux senior managers, les employés ont été prévenus (sous la menace de ne plus jamais travailler dans le pays) des conséquences auxquelles ils s'exposent si jamais ils révèlent à la presse le moindre détail sur les participants.A priori, les médias internationaux et nationaux sont les bienvenus, à condition de prêter serment ne rien dévoiler sur ce qu'ils y ont entendu. Il doivent garder un silence absolu et leurs rédacteurs en chef sont tenus pour responsables au cas où un de leurs journalistes ferait un reportage, même par "inadvertance", sur ce qu'il s'y passe.Lorsque Bush, Blair, Chirac, Berlusconi et compagnie participent aux sommets du G8, réunissant les dirigeants élus les plus importants du monde, les médias internationaux les accompagnent en masse. Le contraste saisissant avec le Bilderberg, c'est que les allées et venues s'y passent dans un black-out publicitaire quasi-total. Les discussions qu'ils engageront cette année — la manière dont le monde doit s'accommoder des relations entre l'Europe et les Etats-Unis, la poudrière du Proche-Orient, la guerre d'Irak, l'économie globale et comment empêcher une guerre avec l'Iran — et le consensus auquel ils parviendront influenceront le cours de la civilisation occidentale et l'avenir de toute la planète. Cette réunion se déroule à huis clos dans un secret total, protégée par une phalange de gardes armés.Quel Etait l'Ordre du Jour du Bilderberg 2005 ?Après trois années caractérisées par les hostilités et les tensions entre les "Bilderbergers" européens, britanniques et américains, à cause de la guerre d'Irak, l'atmosphère de sympathie qui régnait entre ses membres a été mise à mal. Toutefois, ceux-ci ont maintenu une cohésion dans leur objectif à long terme — qu'ils ont réaffirmé — à savoir, renforcer le rôle de l'ONU dans le règlement des conflits et des relations planétaires.Pour comprendre la véritable situation internationale, il faut savoir que les Américains ne sont pas plus des "faucons" que les Européens ne sont des "colombes". Les Européens s'étaient joints à la cohorte de soutien dpour une invasion d'Irak en 1991, orchestrée par le Président Bush père, célébrant — selon les mots d'un prédateur renommé appartenant au Bilderberg — la fin du "syndrome américain du Vietnam". Et puis, les Européens ont également soutenu l'invasion de la Yougoslavie orchestrée par le Président Bill Clinton, mettant l'OTAN au service de cette opération.Un sujet qui a été beaucoup discuté à Rottach-Egern, cette année, est le concept d'imposer une taxe onusienne prélevée sur l'ensemble des habitants de planète par l'intermédiaire d'une taxe sur le pétrole prélevée directement à la source. En fait, ceci crée un précédent car si elle mise en application, ce sera la première fois qu'une agence non-gouvernementale (les Nations-Unies) bénéficiera directement d'une taxe sur les citoyens des nations libres et des nations asservies.Cette proposition du Bilderberg appelle, pour commencer, à une minuscule perception par l'ONU que le consommateur remarquera à peine. Jim Tucker, du magazine Spotlight désormais interdit, a écrit il y a des années "Etablir le principe que l'ONU peut directement taxer les citoyens du monde est important pour le Bilderberg. C'est un autre pas de géant vers un gouvernement mondial. Les Bilderbergers savent que promouvoir publiquement une taxe de l'ONU sur tous les peuples de la Terre provoquerait des réactions d'indignation. Mais ils sont patients; le groupe de Bilderberg a déjà proposé, il y a des années, une taxe mondiale directe. Ils célèbrent aijourd'hui le fait que cela fait désormais partie du débat public et que les gens y font peu attention et ne s'en inquiètent guère."Le groupe de Bilderberg veut une "harmonisation des taxes" pour que les pays ayant un haut niveau d'imposition puissent concurrencer en matière d'investissements étrangers les nations aux taxes "amicales" — y compris les Etats-Unis. Ils "harmoniseraient" les taxes en obligeant les taux américains et ceux d'autres pays à monter afin que la Suède socialiste, au taux de 58%, puisse être "compétitive".Les ONGL'ascension des ONG est un progrès que l'ancien Président Clinton décrit soudainement (le lendemain où cela fut discuté à Rottach-Egern) comme l'une des "choses les plus remarquables depuis la chute du Mur de Berlin". L'ironie, c'est que la déclaration de Clinton fut reprise par le Wall Street Journal — quotidien toujours représenté aux réunions du Bilderberg par son vice-président Robert L. Bartley et son rédacteur en chef de la page éditoriale, Paul Gigot.Les Bilderbergers ont débattu vigoureusement pour que des militants écologiques non-élus et nommés par leurs soins aient, pour la première fois, une position d'autorité gouvernementale au conseil de direction de l'agence qui contrôle l'utilisation de l'atmosphère, l'espace extra-atmosphèrique, les océans, et, pour des raisons pratiques, la biodiversité. Cette invitation à ce que la "société civile" participe à la gouvernance globale est décrite comme une expansion de la démocratie.Selon des sources au sein du Bilderberg, le statut de ces ONG serait même encore relevé à l'avenir. Leurs activités comprendraient l'agitation au niveau local, le lobbying au niveau national et la production d'études pour justifier une taxation globale par l'intermédiaire d'organismes de l'ONU tels que le Pacte Mondial [Global Plan] — un des projets favoris du Bilderberg depuis plus de dix ans. La stratégie pour faire avancer le programme de gouvernement mondial comprend spécifiquement des programmes pour discréditer des personnes et des organisations qui génèrent des "pressions politiques internes" ou des "actions populistes" et qui ne soutiennent pas la nouvelle éthique mondiale. L'objectif ultime, selon ces sources, étant de supprimer la démocratie.Le programme environnemental des Nations-Unies, ainsi que tous les traités environnementaux placés sous sa juridiction, seraient finalement dirigés par un corps spécial de militants écologistes. Ces derniers seraient choisis uniquement parmi les ONG accréditées par les délégués de l'Assemblée Générale, qui sont eux-mêmes nommés par le Président des Etats-Unis, qui est lui-même contrôlé par le directorat enchevêtré Rockefeller/CFR/Bilderberg. [CFR = Council on Foreign Relations, le conseil aux relations étrangères]. Ce nouveau mécanisme apporterait une voie directe vers les plus hauts niveaux de gouvernance mondiale aux ONG locales, "de terrain", affiliées aux ONG nationales et internationales. Par exemple : The Greater Yellowstone Coalition, un groupe d'ONG affiliées, a récemment adressé une pétition au Comité Mondial du Patrimoine de l'UNESCO pour qu'il intervienne dans les plans d'une société privée qui voulait extraire de l'or dans un terrain privé à proximité du Parc National de Yellowstone. Le Comité de l'UNESCO est intervenu et a immédiatement classé Yellowstone comme "Site du Patrimoine Mondial en Danger". Selon les termes de la Convention du Patrimoine Mondial, les Etats-Unis ont l'obligation de protéger ce parc, même au-delà de ses limites, et jusqu'aux terrains privés si nécessaire.Les idées qui sont discutées, si elles sont mises en application, auront pour conséquence de placer tous les habitants de la planète dans une sorte de banlieue globale, dirigée par une bureaucratie planétaire, sous l'autorité directe d'une toute petite poignée de personnes nommées. Et nous serions tous surveillés par des milliers de personnes, payées par ces ONG accréditées, avec la certitude qu'elles soutiennent le même système de croyance. Bien sûr, pour beaucoup de personnes, cela est incroyable et inacceptable.Les Elections en Grande-BretagneLes Bilderbergers célèbrent le résultat qu'il voulaient obtenir. Le retour d'un Tony Blair bien plus humble au 10 Downing Street avec une majorité parlementaire réduite. Les Bilderbergers européens sont toujours en colère contre lui pour avoir soutenu la guerre de l'Amérique en Irak. Même s'ils ont donné à Blair une leçon utile de politique internationale, les Bilderbergers pensent en fait qu'il est un candidat bien plus sûr pour poursuivre le chemin vers l'intégration européenne que son rival conservateur, Michael Howard.Le Programme des NéoconservateursLa faction, connue sous le nom de "néoconservateurs" est arrivée à grand renfort. Ce sont eux qui ont déterminé que la sécurité d'Israël devait se faire aux dépends de la sécurité des Etats-Unis et qu'elle devait être au centre de toutes les décisions américaines de politique étrangère.Le plus voyant parmi ce groupe est l'espion israélien Richard Perle, qui a fait l'objet d'une enquête par le FBI pour espionnage au profit d'Israël. Perle a joué le rôle décisif pour précipiter les Etats-Unis dans la guerre contre l'Irak. Il fut forcé de démissionner le 27 mars 2003 du Conseil Politique de Défense du Pentagone, après que l'on apprit qu'il avait conseillé Goldman Sachs International — participant habituel du Bilderberg — sur la manière dont cette société pouvait profiter de la guerre en Irak.Un autre personnage néoconservateur disponible était Michael A. Ledeen, un "intellectuel parmi les intellectuels". Ledeen travaille pour l'American Enterprise Institute, un groupe de réflexion fondé en 1943, avec lequel Richard Perle est associé de longue date. L'AEI et la Brookings Institution dirigent le Joint Center for Regulatory Studies [Centre Conjoint d'Etudes Réglementaires] (JCRS) dont le but est de tenir les députés et les organismes de contrôle "pour responsables de leurs décisions en leur fournissant des analyses réfléchies et objectives sur les programmes de réglementation existants ainsi que de nouvelles propositions réglementaires". Le JCRS pousse à l'analyse coûts/bénéfices des réglementations, qui entre dans le cadre de l'objectif ultime de déréglementation de l'AEI (et des Bilderbergers).Cette année, ces néoconservateurs furent aussi rejoints au Bilderberg par une poignée d'autres anciens décideurs et publicitaires de première importance, basés à Washington et connus pour leurs sympathies pour Israël. Il y avait parmi eux : l'ancien haut-fonctionnaire du Département d'Etat, Richard N. Haas, président du CFR et ancien Secrétaire d'Etat adjoint ("père" de l'accord de Dayton[1]) ; Richard Holbrooke ; Dennis Ross du WINEP [Washington Institute for Near East Policy, l'Institutut de Washington pour la Politique au Proche-Orient] pro-israélien, une ramification du comité israélo-américain aux affaires publiques (l'AIPAC) et de l'institut juif pour les affaires de sécurité nationale (le JINSA) ; ainsi que le tout nouveau président élu de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz.Dennis Ross, Richard Perle et compagnie meurent d'envie de "faire passer le message" : procéder au nettoyage ethnique d'autant de Palestiniens que possible de la Cisjordanie et de Gaza. Voici ce que déclarait en 1989 l'ancien premier ministre Netanyahou devant des étudiants de l'université Bar-Ilan : "Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde était focalisée sur ce pays, pour procéder à des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires". Les résidents de la Communauté Européenne n'avaient peut-être aucune idée sur les intentions des Sionistes vis-à-vis des Palestiniens, mais, en Israël, à mon grand étonnement, le nettoyage ethnique est un sujet populaire de discussion. 50% ou plus des Israéliens pensent que le nettoyage ethnique est une bonne idée. Quand on pense que cela vient d'une nation qui est supposée se souvenir de l'Holocauste ! La réalité dépasse vraiment la fiction !L'EnergieUn Bilderberger Américain a exprimé ses inquiétudes concernant la montée en flèche du prix du pétrole. Un "initié" de l'industrie pétrolière a fait remarquer que la croissance n'est pas possible sans énergie et que, selon tous les indicateurs, les réserves d'énergie mondiale approchent de leur épuisement beaucoup plus vite que les dirigeants du monde ne l'ont anticipé. Selon nos sources, les Bilderbergers estiment que les réserves accessibles de pétrole sont au maximum de 35 ans, compte tenu du développement économique et de la population actuelles. Toutefois, un des représentants d'un cartel pétrolier a fait remarquer la nécessité de prendre en compte dans cette équation l'explosion de la population ainsi que la croissance économique et la demande pétrolière de la Chine et de l'Inde. Selon ces conditions révisées, il y a apparemment seulement assez de pétrole pour durer 20 ans. Plus de pétrole signera la fin du système financier mondial. Tout cela a été reconnu par le Wall Street Journal et le Financial Times, deux périodiques qui sont régulièrement présents à la conférence annuelle des Bilderbergers.En conclusion, attendez-vous à une sévère crise de l'économie mondiale dans les deux prochaines années alors que les Bilderbergers tenteront de protéger les réserves de pétrole restantes en prenant l'argent des mains des gens. Dans une récession ou, au pire, une dépression, les populations seront obligées de diminuer radicalement leurs habitudes de dépenses, assurant ainsi un plus long approvisionnement de pétrole aux riches de ce monde alors qu'ils tenteront de concocter une solution.Durant le cocktail d'après midi, un Bilderberger européen a noté qu'il n'y a aucune alternative convaincante à l'énergie des hydrocarbures. Et un initié américain a déclaré que le monde utilise actuellement entre quatre et six barils de pétrole pour chaque nouveau baril qu'il trouve et que, dans le meilleur des cas, les perspectives de faire une découverte majeure à court terme sont minces. Quelqu'un a demandé une estimation des réserves classiques de pétrole accessibles. Le montant cité était d'environ un trillion de barils. Accessoirement, il est intéressant de noter que la planète consomme un milliard de barils tous les 11,5 jours. Un autre Bilderberger a posé des questions à propos de l'hydrogène comme alternative aux réserves de pétrole. L'officiel du gouvernement des USA a avoué, sombrement, que l'hydrogène sauveur de l'imminente crise énergétique mondiale était un conte de fées.Cela confirme la déclaration publique faite en 2003 par IHS-Energy (société de consultants leader en recensement des réserves et des découvertes d'hydrocarbures) selon laquelle il n'y a pas eu une seule découverte de champ pétrolier dépassant les 500 millions de barils depuis les années 1920.A la conférence Bilderberger de 2005, l'industrie pétrolière était représentée par John Browne, directeur général de BP; John Kerr, directeur de Royal Dutch Shell; Peter D. Sutherland, président de BP et Jeroen Van der Veer, président du comité de direction de Royal Dutch Shell.Il faut se rappeler que, fin 2003, le géant pétrolier Royal Dutch Shell a annoncé qu'il avait surestimé ses réserves de quelques 20 %. La Reine Beatrix de Hollande, l'actionnaire principale de Royal Dutch Shell, est membre à part entière du groupe de Bilderberg. Son père, le prince Bernhard fut l'un des fondateurs du groupe de Bilderberg en 1954. Le Los Angeles Times a rapporté que "Pour les firmes pétrolières, les réserves comptent pour rien moins que la 'valeur de la compagnie'." En fait, Shell a réduit ses estimations de réserves non pas une, mais trois fois, conduisant à la démission de son co-directeur. A Rottach-Egern, en mai 2005, les plus hauts dirigeants de l'industrie ont tenté d'imaginer comment cacher au public la vérité sur les réserves de pétrole qui sont en diminution. Que le public prenne connaissance de la diminution des réserves et les actions baisseront, ce qui pourrait détruire les marchés financiers, conduisant ainsi à un effondrement de l'économie mondiale.Le Referendum Constitutionnel en FranceLe premier jour des rencontres secrètes au Bilderberg 2005 fut dominé par une discussion sur le referendum constitutionnel en France et pour savoir si Chirac pouvait persuader la France de voter OUI le 29 mai. Un vote pour, selon des sources au sein du Bilderberg, mettrait une grosse pression sur Tony Blair pour confier la Grande-Bretagne aux bras ouverts du Nouvel Ordre Mondial par l'intermédiaire de leur propre referendum sur le traite programmé pour 2006. Matthias Nass s'est demandé à haute voix si un vote en France contre le traité pouvait causer à coup sûr une tempête politique en Europe et éclipser les six mois de présidence européenne de la Grande-Bretagne (qui débute le 1er juillet). Les Bilderbergers espèrent que Blair et Chirac, qui ont étalé au grand jour, à plusieurs reprises, leur animosité, peuvent travailler ensemble pour leur bénéfice mutuel et leur survie politique. Un autre Bilderberger européen a ajouté que les deux leaders doivent laisser derrière eux et aussi vite que possible toutes leurs anciennes querelles sur des sujets comme l'Irak, la libéralisation de l'économie européenne et l'avenir du rabais que la Grande-Bretagne a reçu de l'UE ; et qu'ils doivent s'atteler à une intégration européenne complète, qui pourrait se désintégrer si le peuple français, souvent "têtu et obstiné" (selon les mots d'un Bilderberger britannique) ne font pas ce qu'il faut. Entendez par là : abandonner leur indépendance pour le "plus grand bien" d'un super Etat fédéral européen !Un Bilderberger allemand initié a déclaré que le vote français pour le OUI était délicat à cause des "délocalisations. Les emplois en Allemagne et en France s'envolent pour l'Asie et l'Ukraine," (pour profiter d'une main d'œuvre bon marché). [L'Ukraine qui se presse à la porte de l'Union Européenne…] Un politicien allemand a demandé comment Tony Blair allait faire pour demander aux Britanniques d'embrasser la Constitution Européenne lorsque, à cause des délocalisations, la France et l'Allemagne connaissent des taux de chômage de 10% et que la Grande-Bretagne se porte économiquement bien.Les Américains Hors-la-loiUne loi aux Etats-Unis, Logan Act, stipule de façon explicite qu'il est criminel pour des hauts-fonctionnaires américains de participer à l'élaboration de politiques publiques avec des citoyens du secteur privé. Bien qu'une de ses sommités manquait au Bilderberg 2005 — l'officiel du Département d'Etat américain, John Bolton, témoignait devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat [américain] — le gouvernement américain était bien représenté à Rottach-Egern par Alan Hubbard, assistant du président à la politique économique et directeur du Conseil Economique National ; William Lutti, sous-Secrétaire adjoint à la Défense ; James Wolfensohn, président sortant de la Banque Mondiale; et Paul Wolfowitz, Secrétaire d'Etat adjoint et président entrant de la Banque Mondiale. En participant à la réunion du Bilderberg 2005, ces personnes enfreignent les lois fédérales des Etats-Unis.Auna TelecomunicacionesLors du cocktail du samedi soir [le 7 mai] au luxueux Dorint Sofitel Seehotel Überfahrt de Rottach-Egern, en Bavière, plusieurs Bilderbergers qui se trouvaient au bar avec la Reine Beatrix de Hollande et Donald Graham, le PDG du Washington Post, discutaient de la vente prochaine du géant espagnol des télécommunications et du câble : AUNA. Auna exploite des services de téléphonie fixe, un réseau de téléphonie mobile, un système de télévision par câble et est aussi un fournisseur Internet. Un des Bilderbergers, familier avec ce sujet [probablement Henry Kravis, selon la description physique donnée par notre source présente à cette réunion], a déclaré que les activités de téléphonie mobile d'Auna pourraient rapporter quelques 10 milliards d'Euro, en tenant compte des dettes. Un autre Bilderberger (un homme de haute taille au front dégarni) a ajouté que les actifs immobilisés pouvaient atteindre 2,6 milliards d'Euro. Des sources proches de ces Bilderbergers ont déclaré en privé que Kohlberg Kravis Roberts & Co, une société de capital-investissement, est intéressée par l'achat de l'ensemble d'Auna. L'abondance de crédit bon-marché et les taux d'intérêt bas ont fait d'Auna une cible appétissante pour les investisseurs institutionnels. Kohlberg Kravis Roberts & Co est représentée aux réunions du Bilderberg par sa sommité, le milliardaire Henry Kravis, et sa femme, née dans une petite ville du Québec, Marie-José Kravis, cadre supérieur dans l'organisation néoconservatrice Hudson Institute. En conclusion: attendez-vous à une couverture et à un soutien favorable pour Kohlberg Kravis Roberts & Co de la part de Grupo Prisa, dont le conseiller délégué, Juan Luis Cebrian, participe toujours aux réunions super-secrètes du Bilderberg. Au cas où Kravis échouerait à constituer une offre compétitive, attendez-vous à une couverture semblable pour Goldman Sachs Group, dont Martin Taylor [son PDG] est le secrétaire-général honoraire du Groupe de Bilderberg et dont un autre Bilderberger, Peter Sutherland est le président de Goldman Sachs International ainsi que président européen de la commission trilatérale. Dans le passé, les révélations sur les réunions du Bilderberg ont alerté — des mois avant que les grands médias n'en parlent — sur l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis, les augmentations d'impôts et la chute de Margaret Thatcher en tant que premier-ministre de la Grande-Bretagne.L'Impasse entre l'Indonésie et la MalaisieUne confrontation politique et militaire entre ces deux nations dans la mer de Sulawesi riche en pétrole (toutes deux proclament que la région d'Ambalat, riche en pétrole, fait partie de leurs droits territoriaux) fut le sujet d'une discussion très animée entre plusieurs Bilderbergers Américains et Européens lors d'un cocktail d'après-midi. Un Bilderberger Américain agitant son cigare a suggéré d'utiliser l'ONU pour "promouvoir une politique de paix dans la région." En fait, les Bilderbergers qui étaient assis autour de la table du salon s'accordaient pour dire qu'un tel conflit pourrait leur donner une excuse pour mettre dans cette région disputée une garnison de "gardiens de la paix" de l'ONU, et donc assurer leur contrôle ultime sur ce trésor, c'est à dire des réserves pétrolières non exploitées. La ChineLes Bilderbergers américains et européens, réalisant l'urgence absolue de s'étendre dans les marchés en développement pour maintenir l'illusion d'une croissance sans fin, se sont mis d'accord pour nommer Pascal Lamy, socialiste français et partisan fanatique d'un super Etat européen, comme prochain président de l'OMC. Il faut se rappeler que Washington a donné son aval à la nomination de Pascal Lamy à la condition que les Européens soutiennent la nomination de Paul Wolfowitz comme chef de la Banque Mondiale. Selon des sources faisant partie des initiés du groupe de Bilderberg, Lamy a été choisi pour aider à diriger le système marchand mondial dans une période caractérisée par les sentiments protectionnistes de pays riches tels que la France et l'Allemagne, toutes deux titubant à cause d'un chômage élevé et réticentes à accroître l'exigence musclée du contrôle des marchés par les économies émergentes. Les Etats du Tiers Monde, par exemple, insistent sur les réductions des subventions agricoles européennes et américaines. La dynamique de libéralisation orchestrée par l'OMC s'est effondrée dans l'acrimonie à Seattle en 1999 puis à Cancun en 2003. Les Bilderbergers se sont mis d'accord secrètement sur la nécessité d'obliger les pays pauvres à entrer dans un marché mondialisé pour fournir des biens bon-marché tout en les forçant simultanément à devenir leurs clients. Le désaccord actuel avec la Chine en est un très bon exemple, puisque les Chinois ont inondé les pays occidentaux de marchandises bon-marché, dont les textiles, poussant les prix à la baisse. En échange, les Bilderbergers ont pénétré un marché émergent mûr mais vulnérable au savoir-faire supérieur des occidentaux. Des pays similaires en voie développement acquièrent lentement un meilleur pouvoir d'achat et le monde industrialisé met un pied dans leurs économies intérieures en visant des exportations bon-marché.
* * *
voir le lien ci-dessous
vidéohttp://leweb2zero.tv/multipod/alfred_27484ba3b73294a
Le groupe Bilderberg
Constitution:
Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution en mai 1954, sous le nom de "Bilderberg Group", réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas à l'hôtel Bilderberg à Oosterbeek en Hollande (d'où son appellation). Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d'universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s'appellent les Bilderbergers.
Objet officiel:
Construire l'unité occidentale contre l'expansion soviétique.
Fonctionnement secret:
Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte rendu. La presse en est exclue et d'ailleurs il n'existe dans la salle aucune possibilité d'enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.
Instigateurs et participants:
Jusqu'en 1976 la présidence était éxercée par le prince Bernhard de Lippe, ami des industriels les plus puissants comme le notait Philippe Bernert (L'Aurore, 27 Aoüt 1976), qui ajoutait que le prince regroupait ceux-ci "au sein de l'association "Bilderberg", extraordinaire franc-maçonnerie du monde international de affaires", le terme "affaires" devant être pris dans son acceptation la plus large. Le scandale des pots-de-vins de Lockheed et le "mea culpa" du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group; mais l'organisation n'en poursuivit pas moins ses activités, son "patron" véritable n'étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller.
Ce financier américain mondialement connu est en effet à l'origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celles des personnalités présentes à la conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d'autres noms prestigieux: Retinger, l'instigateur, naturellement; F.D.L. Astor, éditor du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasaki; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA.
Losqu'il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui le chairman pour l'Amérique, tout en présidant le Coucil on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étangères), organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
Les liens qui unissent les trois sociétés secrètes sont si étroits qu'on s'est souvent demandé si lesdites sociétés n'étaient pas les tentacules d'un même monstre...ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale.
Nous avons vu que le financier Rockefeller animait les trois organisations. D'autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple: georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relation Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale) et le dernier en date: Lionel Jospin (Bilderberg); etc.
Influence:
La grande presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux.
La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21,22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).
Le daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient: Helmut Schmidt; Niarchos, le célèbre armateur grec; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique; le président de la Chase Manhattan Bank; etc. Coïncidence: la réunion de Torquay précedait de qulques jours seulement deux sommêts de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN.
Que complotent les participants:
Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l'objet d'indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers.
Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre "Une main cachée dirige", les principaux sujets proposés au cours de ces dicrètes délibérations:
- les problèmes financiers internationaux
- la liberté d'émigration et d'immigration
- la libre circulation des produits sans entraves douanières
- l'union économique internationale
- la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées nationales
- la création d'un Parlement international
- la limitation de la souveraineté de états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement supranational
"Cest comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial", conclut Jacques Bordiot.
D'ailleurs, Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR déclara le 17 Février 1950 devant les sénateurs américains: "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".
Les véritables idéologies:
Cette organisation recrute des membres qui adhèrent aux idées précédentes, mais toutes les personnes ne sont pas au courant des idéologies profondes de certains des membres principaux qui font aussi partie des 2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR).
Ces membres particuliers et qui sont d'ailleurs les plus puissants font partie de ce que nous appellerons le "cercle intérieur", le "cercle extérieur" étant l'ensemble des hommes de la finance et de la politique qui sont séduits par l'idée de l'instauration d'un gouvernement mondial qui régulera tout (au niveau politique et économique), sans être conscient des véritables motifs qui poussent le "cercle intérieur" à mettre en place un gouvernement mondial (ce sont des "marionnettes" qui sont utilisées par le cercle intérieur parce que ses membres ne peuvent pas tout changer à eux seuls: ainsi le cercle intérieur et le cercle extérieur agissent en concert mais pas pour les mêmes raisons: le cercle extérieur par désir de s'enrichir ou/et par la croyance qu'un gouvernement unique apportera plus de paix et de cohésion qu'une multitude de petits pays; le cercle intérieur dont les membres sont déjà riches et puissants et dont les visées sont toutes autres: elles sont idéologiques). On peut avoir un aperçu des idéologies des membres du "cercle intérieur" dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruits".
Plus précisément:
Le cercle extérieur est constitué par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent.
Le premier cercle intérieur, dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous-ou ont été- affiliées au CFR. On y retrouve en effet: George W. Ball, Robert Murphy, David Rockefeller, Arthur Dean, Dean Rusk,etc.
Certains de ses membres font partie d'un second cercle intérieur encore plus fermé, le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), dont on sait seulement qu'il comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR, dont le secrétaire général du Bilderberg pour les Etats-Unis, David Rockefeller.
Quel remède?
La brochure de Robert Camman, Les véritables maîtres du monde, dont le succès a obligé Raymond barre à avouer publiquement (émission "l'heure de vérité" du 4 décembre 1985) qu'il appartenait bien à la trilatérale a mis en garde le Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd'hui, malgré le mutisme des media apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la Trilatérale ou le Bilderberg group.
Tous les noms cités à titre de publicité (auquel nous pouvons ajouter michel rocard qui a participé à une des réunions du Bilderberg Group) ne sont pas ceux d'agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont peut-être été trompées (comme par exemple l'ex-député maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau qui figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977 et qui la quitta lorsqu'il se rendit compte de ce qu'était réellement cette mystérieuse société. Il ne figure plus désormais dans l'annuaire de la trilatérale), elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples.
Mais nous sommes bien obligés , si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l'ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer elles-mêmes comme des adversaires. Un Rocard participant empressé du Bilderberg Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs du puissant financier international Rockfeller, seraient impuissants, désarmés, inoffensifs, s'ils n'étaient pas encouragés, épaulés, soutenus,par ces milliers d'honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n'ont pas encore vu le danger qu'ils se représentent. Il est temps de se rendre compte que voter la gauche ou la droite, c'est laisser faire le gouvernement mondial!
La commission Trilatérale
Constitution:
Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque devant les réformistes ou colombes du CFR et ceux de Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l'expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental: la "Trilatéral Commission", qui vit donc le jour l'année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l'Europe, autrement dit: le Tokyo Stock Echange et la City de Londres. Etant d'origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 East 46th Street, New York).
Objet officiel:
Construire une coopération politique et économique entre l'Europe Occidentale, l'Amérique du Nord et le Japon.
Fonctionnement secret:
Elle est semi-secrète et internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d'autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B'nai B'rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère: ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l'organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et de médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des Etats des hommes à elle, d"infiltrer" les hautes sphères du monde occidental.
Instigateurs et participants:
Les instigateurs en sont en autres (les plus importants): David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger,etc. Parmi les personnages connus des Français, nous pourrons citer quelques noms des participants français du Meeting de Paris en 1989: Claude Imbert, Thierry de Montbrial, Hubert Curien, Jacques Rigaud, Alain Cotta, Raymond Soubie, Robert Lion, Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, etc. On constatera la présence de personnalités de la Gauche et de la Droite qui ont l'air bien amis. Parmi les autres participants, on pourra citer: Giovanni Agnelli, Georg Büchner, James E. Burke, Isamu Yamashita, Yotaro Kobayashi, E. Gerald Corrigan, Thomas P. Foley, Zbigniew Brzezinski, Manfred Wörner,etc.
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonnes mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu'ici à la Trilatérale d'agir dans l'ombre, si bien que rares sont les Français qui savent que cette mystérieuse société existe et qu'elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l'économie internationale par l'intermédiaire des affiliés qu'elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l'administration.
Influence:
Les membres de la trilatérale sont, naturellement, démocrates, tout en ayant conscience du danger que la démocratie peut représenter pour leur plan: "Plus un système est démocratique, plus il est exposé à des menaces intrinsèques", notait, dès 1975, un rapport de la Trilatérale sur la "gouvernabilité" des démocraties. L'un des "penseurs" de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n'a pas craint d'écrire: "Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l'homme", et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d'ajouter que: "En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste". Devenu le conseiller -le cornac- du président Carter, lui-même affilié à la Trilatérale, Brzezinski ajoutait: "Encourager les pays en question (notamment la Pologne) à se détacher de l'URSS ne servirait pas la cause de la Paix". Cette collusion des financiers et des communistes illustre bien l'entente contre nature du Grand Capital et de la Révolution que les écrivains indépendants dénoncent depuis plus d'un demi-siècle.
La Trilatérale met en place ses hommes. 2 exemples:
1) Le monde diplomatique soulignait le rôle considérable de la Trilatérale dans l'ascension fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait d'être porté à la Maison Blanche: "La candidature de M/ Jimmy Carter a été préparée de longue main et soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents de la Chase Manhattant Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S.,etc. Ces hommes, avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie, automobile) et seulement dix hommes politiques-dont bien entendu M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter Mondale-, constituent la branche américaine de la "Commission Trilatérale", créée en 1973 par M. Davis Rockefeller et dirigée jusqu'à une date récente par le professeur Zbigniew Brzezinski, principal conseiller de M. Jimmy Carter".
2) Ne nous croyons pas épargnés: en France, la Trilatérale marqua également des points lorsqu'un obscur fonctionnaire international, membre de la Commission unique européenne de la CEE, affecté à la Communauté des affaires économiques et financières, fut brusquement nommé président de la Commission d'étude d'une réforme du financement et du logement (1975), puis ministre du Commerce extérieur (1976) et, peu après, Premier ministre. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1978, étant toujours à Matignon-c'est à dire bénéficiant de l'appui de la machine gouvernementale- que Raymond Barre, membre influent de la Trilatérale Commission, fut enfin élu député français. Tant qu'il fut premier ministre, il eut un rôle insignifiant au sein de la Trilatérale, mais dès qu'il fut libéré de sa charge il reprit du service et assista régulièrement aux réunions internationales et prononça même en 1983 le discours du 10ème anniversaire de la Commission Trilatérale.
Que complotent les participants:
Les ressources financières de la commission sont exclusivement régionales et proviennent des cotisations des membres (entrepeises privées ou publiques, fondations, instituts de recherches, donations, personnes privées) et parfois, mais rarement, des subventions publiques ( ministère des affaires étrangères)... Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent la plupart des affiliés donnent une idée de la puissance dont dispose la mystérieuse société qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé par une oligarchie de technocrates et de financiers. Les affiliés français de la Trilatérale se recrutent aussi bien à gauche qu'au centre ou à droite. Ceux qui se disent de Gauche vantant "l'internationalisme", et ceux qui se disent de Droite vantant le "Mondialisme", les deux appellations nous conduisant au Gouvernement Mondial. Chacun est utilisé en fonction de son idéal et de sa compétence, les membres de Gauche étant employés à détruire la religion, la famille, l'éducation, l'ordre et l'armée, au nom du laïcisme libéral, pacifiste, généreux, égalitaire et de la justice sociale (il faut des slogans porteurs tant pour les manipulés francs-maçons que pour les masses). Les membres de la Droite sont utilisés pour détruire les petites exploitations agricoles, l'artisan, le petit commerce, les PME et le PMI au nom du libéralisme économique et du libre échange, dans l'intérêt, disent-ils, du dynamisme économique, de l'emploi et des consommateurs (toujours les slogans accrocheurs et racoleurs). Les membres du Centre étant utilisés pour détruire le idées de nation et de patriotisme au nom de l'amitié entre les peuples et de l'Humanisme. Le tout couronné par des campagnes soit-disant antifascistes où l'on fait chanter en cœur Droite, Gauche et Centre, en faveur d'un mélange inter-racial, déracinant tous les individus (religion-culture-traditions-langue-histoire), déstabilisant les nations d'Asie (du Bassin Méditerranéen) et d'Europe, qui sont les foyers et les sources de la culture de l'Humanité. Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la puissante Trilatérale en Europe. La présence de M. Barre auprès du président Giscard d'Estaing s'explique d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour cette mystérieuse société. Invité à l'un de ses dîners, le 2 décembre 1975, Jacques Chirac devait définir ainsi la Trilatérale: "C'est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l'une des plus éminentes." Au meeting tenu secrètement en avril 1989 à Paris, après une annonce publique, le socialiste Mitterrand et le libéral Giscard d'Estaing ont fait assaut de courtoisie à l'endroit du chef suprême de la puissante société: le premier a décerné au banquier David Rockefeller le Légion d'Honneur, dont le ruban lui a été remis très officiellement par le second. Cette réunion du comité exécutif de la Trilatérale à Paris succédait à une autre manifestation, non moins significative, qui eut lieu trois mois plus tôt à Moscou. Une délégation conduite notamment par David Rockefeller, Georges Berthoin et Henry Kissinger fut reçue au Kremlin par Mikhaïl Gorbatchev. Une nouvelle branche de la Trilatérale est née trois ans après: l'asiatique. La Russie s'y retrouve avec le Japon et les États-Unis. Cette force économique est désormais aussi stratégique car des militaires participent à ses réunions.
Le C.F.R.
(Council on Foreign Relations) (Conseil des Relations étrangères)
Constitution:
Société fondée en 1919-1922 à l'initiative de Edward Mendell House, éminence grise du président Wondrow Wilson. Fondements inspirés du socialisme Fabien anglo-américain vers un mondialisme qui, par la révolution "silencieuse" (au lieu de la révolution par la rue), réalisera la grande synthèse entre capitalisme et socialisme.
Objet officiel:
Le Council on Foreign Relations (C.F.R.) se présente comme un groupe d'étude américain réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, sciences, capables de stimuler dans le public américain un esprit international et de coordonner les initiatives dans cette direction.
Instigateurs et participants:
Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations. L'animateur du CFR est David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank. Pour citer deux noms connus, nommons George Bush et Bill Clinton comme membres de la CFR.
Relations avec les 2 autres groupes secrets:
Winston LORD est aujourd'hui un des dirigeants du gouvernement CLINTON. Il y a quelques années, alors qu'il était président du CFR, il répondait à un de nos confrères américains qui lui demandait si vraiment c'était la Trilatérale qui menait le monde: "Pas du tout, c'est le CFR qui dirige tout". Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d'informations.
Influence:
Généreusement subventionné par les fondations: Ford -Carnegie- Rockefeller, ainsi que les trusts d'importance internationale comme IBM -ITT- Exxon. Le CFR exerce une influence prédominante sur le gouvernement des États-Unis, sur le congrès et sur les deux principaux partis politiques: le Démocrate et le Républicain.
Gouvernement invisible des états-unis, le CFR compte environ 2700 membres, dont les groupes de travail examinent en permanence tous les problèmes d'actualité. En place depuis les années trente, il a réussi à ce qu'aucun secrétaire au Département d'État, à la Défense, au Trésor, aux postes clés de ces ministères, dans les principales ambassades, à la direction de la CIA, ne soit choisi hors de son groupe. Depuis 1933, toute élection présidentielle a été conditionnée par le CFR. Les affiliés du Council on Foreign relations sont des américains, à qui les relations internationales permettent d'exercer un contrôle étroit sur les états occidentaux, soit directement, soit par l'intermédiaire de sociétés similaires ou annexes, ou d'organismes internationaux présidés par leurs membres, comme la Banque Mondiale.
Il y a derrière tous les Pays d'Europe, derrière toutes les constructions d'un prétendu Nouvel Ordre Mondial, les clubs et les cercles semi-occultes dont Henry Coston et le CEI ont de longue date, souvent de concert, dénoncé les plans et les inspirateurs. Enfants et adeptes de ceux qui, simultanément, ont financé le communisme et le nazisme, offert la moitié de l'Europe au communisme après 1943-1945, assuré la survie du communisme du moment qu'il feignait de se débarrasser du stalinisme, assuré le retour du communisme depuis 1990, en empêchant à l'Est toute "décommunisation" des États, ils veulent à présent passer à l'étape suivante, sous la houlette apparente "de l'Amérique" alors qu'il s'agit strictement d'initiés qui, à travers le CFR, se sont progressivement emparés de l'Amérique.
Que complotent les participants:
Les principes de base du CFR se résument aujourd'hui encore à ceci:
1) Commerce et aide aux pays les moins développés, même révolutionnaires; 2) Des institutions supranationales (en attendant un "Gouvernement mondial") doivent prendre en charge: recherche, exploitation, distribution des ressources énergétiques et matières premières; rationaliser le grand commerce; régler les conflits en obligeant au dialogue, en sorte qu'il n'y ait jamais ni vainqueurs ni vaincus; 3)Le communisme n'est pas l'adversaire, seulement ses excès et débordements; 4)Les souverainetés nationales doivent peu à peu disparaître dans de "grands ensembles économiques et géopolitiques" Le CFR a choisi une troisième voie pour le moment: accélérer d'abord le processus du grand ensemble pan-américain (Canada-USA-Mexique), tout en manœuvrant, y compris par une guerre économique plus ou moins truquée, en sorte d'obliger l'Europe, par réaction, à devenir une entité politico-commerciale assez forte pour substituer un pouvoir supranational à ses Etats-Nations, sous prétexte que le "nationalisme, c'est la guerre, c'est la haine...". On laisse délibérément durer des conflits comme en ex-Yougoslavie pour qu'à la longue, les populations se soumettent à n'importe quelle solution, c'est à dire la solution mondialiste.
En 1959, le CFR publie une étude (n°7) soulignant la nécessite "de bâtir un Nouvel Ordre International" du fait que l'URSS avec Khrouchtchev a évolué vers plus de démocratie. En 1960, Elmo Roper qui avait été un des auteurs de l'étude n°7 prononce un discours dans lequel il précise que "le but est un gouvernement mondial" et que, sur le plan militaire, l'OTAN doit être utilisé dans cette vision d'avenir. Ce discours sera ensuite publié à l'usage des affiliés. Divers aléas de la politique Est-ouest ralentissent le plan, mais en 1974, Foreign Affairs, la revue du CFR publie une étude de Richard N. Gardner (CFR, Bilderberg, Trilatérale), laquelle recommande qu'en attendant le moment d'un gouvernement mondial, l'ONU devrait provisoirement coiffer mouvements et organisations diverses, et utiliser tous les moyens "d'éroder morceau par morceau les souverainetés nationales, puisqu'elles entravent la marche du mondialisme". En 1992, dès l'élection de CLINTON (quifait partie du CFR, soit dit en passant), Richard N. Gardner est devenu un de ses conseillers non officiel, mais en permanence dans les bureaux de la Maison Blanche. En 1993, dans Foreign Affairs (sept/oct), trois éminences du CFR, attachées à la Rand Corporation, demandent qu'une sorte d"élargissement de l'OTAN" soit utilisé pour pousser plus avant vers un Nouvel Ordre Mondial. Les temps ont changé, cantonner l'OTAN à son seul rôle en Europe de l'Ouest est inutile. "l'OTAN doit ou sortir de sa zone actuelle d'activités, ou disparaître".
Les Illuminati
Présentation générale:
C'est un ensemble de personnes qui ont un objectif commun et qui possèdent un certain nombre de connaissances qu'elles cachent au grand public afin de maintenir leur supériorité sur ce dernier et l'amener à adopter la conduite qu'elles veulent le voir adopter. Parce qu'elles savent, ces personnes s'appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent). Les Illuminati ne désirent pas que quiconque puisse avoir le droit de tout savoir.
Ils ont existé sous diverses formes durant des siècles (ceux qui voulaient le pouvoir grâce à leurs connaissances et en maintenant les masses dans l'ignorance); mais il ne faut pas croire que les ères d'obscurantisme ont disparu: la connaissance circule effectivement librement aujourd'hui, et chacun est libre d'apprendre ce qu'il veut, mais cette liberté est contenue dans le cadre de la connaissance qui est "contrôlée et estampillée" par les services officiels de l'éducation, et les tenants en titre du savoir officiellement reconnu (scientifiques, historiens, sociologues, économistes, etc réputés). Or, il y a tout lieu de croire qu'une vaste quantité de connaissances reste à être découvertes et surtout qu'un petit nombre de personnes en détiennent déjà quelques unes d'importance majeure, mais ne les dévoilent pas (contrôle énergétique: voir les machines à énergie libre (energie.php) , contrôle économique: voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruits(armesil.php) et contrôle technologique : voir le gouvernement secret).
Ces personnes ne sont pas de simples particuliers, mais des responsables de multinationales, de banques, de trusts mondiaux, de hauts responsables politiques,...qui ont de par leur situation la possibilité de contrôler et d'utiliser les connaissances dans les domaines les plus sensibles, et ceci dans un but bien particulier: une restructuration complète du fonctionnement du monde à travers l'acceptation commune des pays du globe de laisser s'instaurer un gouvernement mondial. Ce peut être une noble idéologie ou bien un de ces "chemins pavés de bonnes intentions et qui mènent vers l'enfer", mais tant que leurs agissements restent volontairement cachés du grand public, quelles qu'en soient les raisons, nous serons nombreux à essayer au contraire d'informer les gens, à eux de décider du bien et du mal pour eux-mêmes, et non à d'autres.
Plan des Illuminati:
Leurs objectifs actuels ont été élaborés en 1773 : préparer la voie pour leur Gouvernement Mondial unique jusqu'à environ l'an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Cet objectif est connu depuis le 19ème siècle et a été exécuté (la troisième guerre mondiale est en cours depuis les années 1950: c'est la guerre économique [ voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit ]). Ce plan de longue haleine a été poursuivi depuis 2 siècles par des personnes différentes, grâce au soutien économique de riches et puissantes familles. Des adeptes de l'idéologie ont été recrutés au cours du temps grâce à des sociétés secrètes oeuvrant dans les hautes sphères économiques et politiques et c'est avec grande ingéniosité et patience qu'aujourd'hui la grande majorité des classes dirigeantes influentes et des trusts économiques font partie des adeptes de leur grande idée. Ils ont maintenant les moyens de réaliser leurs ambitions qui sont d'envergure mondiale, comme nous le voyons à travers les documents sur le Groupe Bilderberg, la commission Trilatérale et le CFR.
Petit historique:
Les Illuminati:
C'est au 14ème siècle que surgirent pour la première fois les Illuminati, en Allemagne. Ils étaient les plus grands "initiés" d'une société secrète appelée la Confrérie du Serpent (le mot biblique originel pour serpent, nahash, découle de la racine nhsh qui signifie déchiffrer, découvrir et illuminati provient de illuminare qui signifie illuminer, connaître, savoir, en latin). L'histoire du moyen-âge regorge de ce genre de sociétés secrètes réunissant certaines personnes ayant des buts idéologiques particuliers at sachant recruter ses membres parmi les riches et influents afin d'essayer d'accroître son impact et ses idées. Citons à titre d'exemple une très célèbre société secrète chrétienne qui a été tellement puissante et riche que même le roi de France les a craint en tant que principal débiteur (ils étaient plus riche que lui et possédaient de nombreux châteaux à travers le pays indépendants du régime de France et donc du roi) et les a exterminés: les Templiers.
Les Sages de Sion:
Une organisation secrète très influente exerçait un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs de l'époque, qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de Sages de Sion. Ils intriguèrent beaucoup et projetèrent la révolution anglaise en Hollande de 1640 à 1689. En prêtant de l'argent à qui il fallait et en soutenant et aidant un duc Allemand appelé Guillaume II , ils obtinrent la redevabilité du roi Guillaume III d'Angleterre, fils de Guillaume II, qu'ils avaient aidé à monter au pouvoir en renversant les Stuart du trône d'Angleterre (que d'intrigues!). En échange ce dernier persuada le Trésor Britannique d'emprunter de l'argent aux banquiers juifs affiliés aux Sages de Sion, et la dette de l'état augmentant très vite, ce dernier dut acquiescer aux conditions exigées qui permirent l'instauration de la première banque centrale privée: la Banque d'Angleterre.
Les Rothschild:
La maison Rothschild est un centre important dans l'affairisme bancaire international. Leur fortune originelle provient d'habiles transactions financières de Mayer Amschel, qui avait acheté une banque à Francfort en 1750, à la suite desquelles débuta pour eux le commerce bancaire international. Chacun des fils de Mayerouvrit une banque dans un pays différent: à Berlin, Vienne, Paris et Naples. Mayer écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée par l'avenir et il indiquait que les comptes devaient rester secrets, en particulier pour le gouvernement (et l'histoire montre que les Rothschild sont un des empires bancaires actuels les plus importants du monde). En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré les Sages de Sion à Francfort pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Ils soulignèrent le fait que la fondation de la Banque d'Angleterre avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise et déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit et ce plan aurait fini par être connu sous le nom de des Sages de Sion. L'origine de ce protocole remonte en fait à des siècles en arrière et ils auraient été remaniés par Rothschild avant d'acquérir leur vraie signification. C'est aussi Mayer Amschel qui aurait fondé les plans pour fonder la société secrète des "Illuminés de Bavière" et désigné son créateur, Adam Weishaupt, société qui va prendre une tournure importante et rassemblera de nombreux Illuminati. Les buts des illuminati incarnés par la société secrète des "Illuminés de Bavière" sont exposés dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit. On associe souvent les Illuminati comme étant les" Illuminés de Bavière", mais bien que les Illuminati soient en fait plus anciens, cette assimilation est sans importance car ce qui compte, c'est ce qu'ils veulent faire; se perdre dans des détails historiques étant en fait sans importance.
Les Illuminati de Bavière:
Les "Illuminés de Bavière"étaient organisée en cercles concentriques et dès qu'un initié prouvait sa faculté de garder un secret, il était admis dans un cercle plus restreint et lié à des secrets encore plus profonds. Seuls ceux qui se trouvaient dans le plus petit cercle connaissaient les vrais buts des "Illuminés de Bavière". Ils étaient divisée en 13 grades symbolisés par les 13 marches de la pyramide représentée sur le billet d'un dollar américain.
Le fondateur de la société s'y entendait pour attirer dans son ordre les esprits les meilleurs et les plus éclairés qu'il choisissait dans la haute finance, l'industrie, l'éducation et la littérature. Il utilisait la corruption par l'argent et le sexe pour contrôler les personnes haut placées et il les faisait chanter pour être sûr de les garder sous son contrôle. Les illuminés de Bavière se mirent à conseiller des gens du gouvernement en se servant des adeptes aux grades supérieurs. Ces spécialistes s'y entendaient pour donner aux politiciens en place les conseils pour qu'ils adoptent une certaine forme de politique qui correspondait à leurs visées.
En 1777, Weishaupt fut initié à la loge franc-maçonnique de Munich qu'il eut tôt fait d'infiltrer. En 1782 l'alliance entre les francs-maçons et les "Illuminés de Bavière" fut scellée à Wilhelmsbad. En contrôlant les "Illuminés de Bavière", les Rothschild exerçaient maintenant une influence directe sur d'autres loges secrètes importantes. Des documents montrent qu'ils ont manipulé les idées et qu'ils ont été des initiateurs de la révolution française entre autres.
La conquête des USA:
Les États-Unis ont eu leur déclaration d'indépendance signée en 1776. Ce pays en création était pour les Rothschild l'occasion de créer de vastes et puissants nouveaux réseaux bancaires. Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de Benjamin Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la First National Bank of the United States, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la Banque d'Angleterre et contrôlée par les Rothschild. Après moult endettements des USA envers cette banque, elle est devenue la Federal Reserve Bank et aujourd'hui la banque centrale américaine. Lors de la guerre de sécession, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord, celle de Paris, les États du Nord. Résultat: les Rothschild vainqueurs et les américains du sud et du nord vaincus. A travers leur influence par la franc-maçonnerie dont 1/3 des présidents américains ont fait partie et qui sont largement représentés au Sénat et au Congrès américains (Le sceau américain, la pyramide à l'œil qui voit tout, les armoiries de l'État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d'origine avec les 13 étoiles et les 13 rayures sont d'anciens et importants symboles francs-maçonniques; de plus sur ce même billet de un dollar il est écrit sur la pyramide: Novus Ordo Seclorum ce qui en latin signifie: Le Nouvel Ordre des Siècles, que nous pourrions réactualiser en: Le Nouvel Ordre Mondial), les Rothschild ont pu avoir les appuis nécessaires à l'édification de leur fortune et de leur contrôle aux USA. Ceci permet d'expliquer pourquoi c'est ce pays qui est "choisi" par le gouvernement mondial comme "base" stratégique.
Plan pour des guerres mondiales:
Dans une lettre du 15 août 1871, un plan décrivant la "conquête" du monde par trois guerres mondiales pour ériger le Nouvel Ordre Mondial est décrit, que l'on peut résumer ainsi:
La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. A la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés de Bavière à l'échelle mondiale.
La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toute pièces en manipulant les divergences d'opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d'influence et entraînerait la création d'un État d'Israël en Palestine.
La plan de la Troisième Guerre Mondiale serait basé sur les divergences d'opinions que les Illuminés auraient créées entre les sionistes et les Arabes. On programmerait une extension du conflit à l'échelle mondiale. Une partie de la troisième guerre mondiale consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d'une brutalité et d'une bestialité jamais vues.
On peut évidemment se dire que ces plans peuvent avoir été remaniés et repensé, améliorés au vu de nouveaux facteurs (voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit armesil.php), mais on voit là les grands traits de leurs idées: manipuler la politique à travers des individus bien particuliers, et de larges puissances économiques qui ont le choix de financer ou non les politiques qui sont conformes à leurs idées, décidant ainsi des vainqueurs dans les conflits, souvent après les avoir faits provoqués par manipulation politique et financière dans ce but.
Armes silencieuses pour des guerres sans bruit
(pour un nouvel ordre mondial)
Les Illuminati sont un ordre secret connu depuis le 18ème siècle dont un manifeste est apparu au grand jour au début du 19ème siècle sous le nom de " protocole des sages de ZIONS ". En 24 paragraphes, ce manifeste décrit comment subjuguer et dominer le monde à l’aide d’un système économique (pour la création d’un nouvel ordre mondial).
Étant donné la difficulté qu’il y avait à maintenir le secret au niveau international, il fut décidé de mettre en place un groupe extérieur afin de coordonner et contrôler les efforts internationaux et de protéger les secrets et les gouvernants de la curiosité habituelle de la presse. Ce groupe, dénommé les Bilderbergergs, (du nom de l’hôtel où s’est tenue leur réunion de constitution en 1952) a évolué sous l’infiltration des Illuminati en un gouvernement mondial secret contrôlant économiquement toute la planète (les Nations Unies n’étant qu’une aimable plaisanterie internationale).
Un groupe privé d’étude dont l’objectif est de travailler à construire une coopération politique et économique entre l’Europe de l’Ouest, l’ Amérique du nord et le Japon dans le cadre d’un nouvel ordre mondial a été constitué en 1972 par D. Rockfeller et Zbigniew Brzezinski à l’aide de contacts avec les Bilderbergers. Il est constitué d’une élite de 300 décideurs importants dans le monde économique, politique et intellectuel, sur les 3 continents. Ce groupe se nomme la commission trilatérale. Vous allez trouver dans la suite de ce document une des stratégies économiques des Bilderbergers.
Note de William Cooper (ancien sous-officier des services secrets de la marine US): "j’ai lu des documents top secret qui expliquaient que " Armes silencieuses pour des guerres sans bruit " est une doctrine adoptée par le comité politique du groupe Bilderberg durant son premier meeting connu en 1954. Une copie trouvée en 1969 était en possession des services de renseignement de la Marine U.S."
Le document actuel est daté de mai 1979 , et a été trouvé le 7 juillet 1986 dans une photocopieuse de marque IBM qui avait été achetée à une salle des ventes.
Ce document rédigé en américain a été traduit en français en un document de 27 pages dont voici un résumé.
Les éléments de texte mis "entre guillemets" sont des extraits du document et les commentaires sont en italique.
Que veulent-ils ?
"Toute science est simplement un moyen orienté vers une fin. Le moyen c’est la connaissance, la fin, c’est le contrôle . Au-delà de tout cela, il reste un seul problème : qui doit être le bénéficiaire ?"
Leur but est le contrôle de l’économie. Le moyen est la connaissance des mécanismes économiques.
Comment contrôler l’économie ?
a) Pour contrôler, il faut pouvoir prédire et pour cela il faut un modèle économique.
"L’objectif de la recherche économique telle qu’elle est [...], est l’établissement d’une économie qui soit entièrement prévisible et manipulable."
"On avait pressenti qu’avec des fondements mathématiques suffisants et des données, il serait presque aussi facile de prédire et de contrôler la tendance d’une économie, que de prédire et de contrôler la trajectoire d’un projectile. Ainsi que cela a été prouvé par la suite, de plus, l’économie a été transformée en un missile guidé vers une cible."
Le modèle économique :
"Dans l’étude des systèmes énergétiques, il apparaît toujours 3 concepts élémentaires. Ce sont : l’énergie potentielle, l’énergie cinétique et la dissipation de l’énergie. 3 contreparties essentiellement purement physique et idéalisées appelées "constituant passif" viennent en correspondance avec ces concepts."
L’énergie économique est un concept analogue à celui d’autres types d’énergies : énergie mécanique ou électrique. En physique, il est possible de traduire des problèmes mécaniques en problèmes électriques lorsque l’on a à traiter des phénomènes mécaniques mettant en jeu uniquement des éléments associés aux 3 concepts fondamentaux élémentaires de l’énergie précédemment cités. L’énergie économique peut elle aussi être traduite en termes de langage électronique par le même type de procédés grâce à des équivalences entre énergie électrique et économique.
"Toute la théorie mathématique développée pour l’étude d’un système énergétique (par exemple, la mécanique, l’électronique, etc.) peut être immédiatement appliquée dans l’étude de n’importe quel système énergétique (par exemple, l’économie)."
"Pour résumer tout ceci, on a découvert que l’économie obéissait aux mêmes lois que l’électricité et que toutes les théories mathématiques et pratiques, et que tout le savoir-faire informatique développé dans le champ de l’électronique, pouvaient être appliqués immédiatement à l’étude de l’économie. La découverte ne fut pas déclarée au grand jour, et ses implications plus subtiles furent et sont toujours un secret gardé jalousement. Par exemple, le public ne sait pas que dans un modèle économique, la vie humaine est mesurée en dollars, et que l’étincelle électrique engendrée lors de l’ouverture d’un interrupteur branché sur un inducteur actif est mathématiquement équivalente, dans le modèle économique, au lancement d’une guerre.
Enfin, parce que les problèmes d’économie théorique peuvent être traduits très facilement en problème d’électronique théorique, les solutions économiques peuvent être obtenues par résolution dans le domaine électronique puis par traduction inverse ; il s’en suit donc que seul un livre de traduction entre les 2 domaines et des définitions conceptuelles sont nécessaires pour faire de l’économie. Le reste peut être obtenu à partir des travaux classiques en mathématiques et en électronique. Ceci rend inutile la publication de livres sur l’économie avancée et simplifie grandement la sécurité du projet. "
b) Une fois que le modèle est défini il faut définir les paramètres qui permettront de faire fonctionner le modèle.
" [...] la réponse [...] peut être prédite et manipulée, et la société devient un animal bien domestiqué avec ses rênes sous le contrôle d’un système de régulation informatique sophistiqué : un système de comptabilisation de l’énergie sociale.
Finalement, chaque élément individuel de la structure passe sous le contrôle de l’ordinateur à travers la connaissance des préférences personnelles; une telle connaissance étant garantie par l’association informatisée des préférences de consommation (code universel sur les produits). Tout ceci identifie le consommateur (identifier via la liaison à travers une carte de crédit et plus tard, un " tatouage " corporel numérique [...])"
De très nombreux paramètres de mesure de la société sont définis parmi lesquels, entre autre : la surveillance du comportement des enfants à l’école, l’analyse des standards de vie à travers la nourriture, l’habillement, l’habitation, les moyens de transport ; le tracé des habitudes d’achat à travers les relevés de compte, les cartes de crédit; la constitution de profils de comportement à l’aide de factures de téléphone, d’électricité, les choix d’investissements et de dépenses , etc (il y a plusieurs dizaines de paramètres énumérés dans le document original).
c) Puis, il faut pouvoir mesurer ces paramètres ou bien essayer de réduire leur influence si on ne peut les maîtriser.
Les personnes doivent entrer dans des catégories de moules et pour cela on les y incite en proposant des standards de société, des modèles de comportement type : que devez-vous regarder à la télévision, à quoi devez-vous vous intéresser, pour quels sports devez-vous vous passionner, que devez-vous approuver ou désapprouver, que devez-vous acheter et consommer, etc : les médias sont la pour nous proposer des réponses toutes faites à travers leur choix d’information et de divertissement et la publicité sert " d’amplificateur économique " en incitant à acheter selon les standards proposés. Les comportements sociaux sont dictés par des stéréotypes qui s’auto-entretiennent :
"Les médias, la publicité, etc.. ont pour vocation de s’assurer que le futur père sera bien soumis à son épouse d’ici à ce qu’il soit marié. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a été préparé, soit sa vie sexuelle sera entravée et la tendre compagnie sera réduite à zéro. On lui apprend à voir que les femmes demandent plus de sécurité que de raison, et qu’elles demandent à ce que le comportement de l’homme soit honorable et édicté par des principes. "
Quelques extraits de leur " table des stratégies " :
Faites ceci :
... pour obtenir cela :
- Maintenir le public dans l’ignorance
- Moins d’organisation publique
- Créer des préoccupations
- Des défenses affaiblies
- Attaquer l’unité familiale
- Contrôler l’éducation des jeunes
- Encourager le conformisme social
- Simplification des programmes informatiques
- Affermir le consensus
- Des coefficients simples (dans les programmes informatiques)
- Renforcer le contrôle des variables
- Des données d’entrée informatiques simples fournissant une plus grande prévisibilité
- Maximiser le contrôle
- Un minimum de résistance au contrôle
- Effondrement de la monnaie
- Détruire la confiance que les américains ont les uns envers les autres
Quant aux catégories de personnes qui ne pourront pas rentrer dans les moules, soit par choix de non conformisme soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, elles doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société.
" Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total, [...] et on doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparent des parents.
La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-mêmes de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante. "
" Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile cependant car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : " celui qui paie est celui qui donne le ton ". "
d) Enfin, il faut un outil efficace pour simuler l’économie à partie de ces paramètres et en prévoir le comportement : l’ordinateur.
" L’ingénierie sociale (l’analyse et l’automatisation d’une société) nécessite la corrélation d’une très grande quantité d’informations économiques changeant constamment (données). C’est pourquoi un système informatisé du traitement des données à haut débit était nécessaire pour calculer à l’avance l’évolution de la société et prévoir son arrivée à la capitulation.
Les ordinateurs à relais étaient trop lents mais les ordinateurs électroniques inventés par Presper Eckert et W.Mauchly permettaient d’atteindre le but fixé. "
" Puis, en, 1948, le transistor inventé par J.Bardeen, W.H.Brattain et W.Shockley a permis une grande expansion de l’activité des ordinateurs grâce à la réduction des surfaces et à la diminution des puissances électriques consommées.
Avec ces [...] inventions à leur disposition, ceux qui étaient en position de pouvoir ont très nettement compris la possibilité qu’ils avaient de contrôler la totalité du monde en appuyant uniquement sur un bouton. "
Les ordinateurs servent aussi bien dans la simulation du comportement économique d’une situation donnée que dans l’analyse de la structure économique dans son ensemble à fin de prévisions.
En reprenant une analogie extraite du document : les vibrations des diverses parties d’un avion peuvent s’ajouter et provoquer sa destruction par effet de résonnance. La constitution de la structure peut être connue en faisant des tests de choc de ses constituants et des enregistrements de ces tests, après un traitement des données recueillies.
" Pour utiliser cette méthode des jeux de test en ingénierie économique, les prix des produits sont secoués (un produit de base est sélectionné comme le café, l’essence ou le sucre et un changement soudain est provoqué sur le prix ou la disponibilité du produit) et la réaction du consommateur public est contrôlée. Les échos résultant du choc économique sont interprétés théoriquement par des ordinateurs et la structure psycho-économique de l’économie est alors mise à jour. "
Comment endormir le public face à l’attaque ?
" Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiétement de cette arme sur son mode de vie, jusqu'à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. "
Et pour s’assurer que le public n’aura pas l’occasion de se poser de questions sur le fonctionnement du système économique, on l’occupe:
" Comme dans toute approche d’un système social, la stabilité est obtenue par la compréhension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de définir les modèles d’action et de réaction). L’impossibilité de cette prise en compte peut être, et est généralement désastreuse. "
" L’expérience a prouvé que la méthode la plus simple pour sécuriser une arme silencieuse et obtenir le contrôle du public, c’est de maintenir le public dans l’indiscipline et dans l’ignorance des principes fondamentaux des systèmes d’une part, alors que d’autre part on les maintient dans la confusion et la désorganisation et on les distrait avec des sujets n’ayant aucune réelle importance.
Ceci est obtenu :
- En détournant les pensées ; en sabotant ses activités mentales ; en fournissant un programme d’éducation public de basse qualité dans les domaines des mathématiques ; de la logique, de la conception des systèmes et de l’économie ; enfin, en décourageant la créativité technique.
- En faisant appel à ses émotions, en intensifiant son auto-confiance et ses faiblesses à travers des activités émotionnelles et physiques comme suivent :
----- En provoquant des affrontements et des attaques émotionnelles incapables à travers des viols mentaux et émotionnels ; tout ceci pour l’utilisation d’un barrage constant de sexe, de violence et de guerre dans les médias (spécialement à la télévision et dans les journaux).
----- En lui fournissant ce qu’il désire en excès - " nourriture avariée pour la pensée " - et en le privant de ce dont il a réellement besoin.
- En réécrivant l’histoire et la loi, et en soumettant le public à des constructions anormales et ainsi en devenant capable de réorienter sa pensée vers des priorités extérieures entièrement préfabriquées au lieu de ses besoins personnels.
Ceci empêche le public de découvrir ou même d’accorder de l’intérêt à une technologie sociale automatique fondée sur les armes silencieuses. La règle générale est qu’il y a du profit dans la confusion ; plus il y a de confusion, plus il y a de profit. Donc, la meilleure approche est de créer des problèmes, puis de proposer les solutions à ces derniers."
RÉSUME POUR LA DIVERSION
Les médias : écarter l’attention du public adulte des véritables problèmes sociaux mais captiver son attention par des sujets sans réelle importance.
L’école : maintenir le jeune public ignorant des vraies mathématiques, de la vraie économie, des vraies lois et de la véritable histoire.
L’amusement : maintenir l’amusement du public en dessous d’un niveau primaire.
Le travail : maintenir le public occupé, occupé, occupé, sans avoir le temps de penser du tout ; relégué au rang d’animal de ferme. "
" Le comportement du public est soumis, dès la naissance à la peur, la paresse, et la recherche de l’intérêt personnel.
Un tel comportement permet de fonder l’état providence comme une arme stratégique utile contre ce public sordide. "
En application du principe diviser pour régner :
" la cellule familiale doit être soigneusement désintégrée et l’on doit généraliser et imposer légalement la mise en place de l’éducation publique contrôlée par l’état, ainsi que les centres d’assistance publique sous la responsabilité de l’état ; tout ceci afin de préparer le jeune enfant à se détacher de son père et de sa mère à un âge de plus en plus précoce. La prise de drogue comportementale peut accélérer cette transition pour l’enfant. "
Mais pourquoi contrôler l’économie ?
" Par exemple, il existe une relation quantitative mesurable entre le prix de l’essence et la probabilité qu’une personne ressentirait un mal de tête, ou bien aurait l’envie d’aller voir un film violent, ou de fumer une cigarette ou bien d’aller dans un bar boire une chope de bière.
Il est des plus intéressant qu’en observant et en mesurant les schémas économiques par lesquels les gens essaient de fuir devant leurs problèmes et de s’échapper de la réalité et par l’application de la théorie mathématique [...], il est possible à des programmes informatiques de prévoir la combinaison la plus probable d’événements que l’on pourrait fabriquer et qui apporteraient un contrôle complet et la soumission du public à travers la subversion d’une économie publique [...] "
" L’objectif de telles études est d’acquérir le moyen de mettre l’économie publique dans un état dont les mouvements sont prévisibles ; et même de la mettre dans un état contrôlé de mouvement vers l’autodestruction qui convaincrait le public que certaines personnes dénommées experts pourraient reprendre le contrôle du système monétaire et rétablir la sécurité pour tous (plutôt que la liberté et la justice). Lorsque les citoyens soumis sont rendus incapables de contrôler leurs affaires financières, ils deviennent bien entendu totalement esclaves, et sont une source de travail bon marché. "
" [...]un gouvernement lorsqu’il fait fonctionner la planche à billet au-delà des limites du produit national brut s’engage dans un processus économique appelé inflation. Cette méthode met une grande quantité d’argent dans les mains du public, permet de contrebalancer la cupidité du public, crée une fausse confiance en soi du public et, pendant quelques temps, maintient les fauves en cage.
Les gouvernements doivent finalement avoir recours à la guerre afin d’équilibrer les comptes parce que la guerre n’est, en dernier ressort, que l’acte de destruction du créditeur. Les politiciens sont des gens à succès payés publiquement qui légitiment le fait de tenir la conscience publique à l’écart des responsabilités et des tueries.
Si les gens prenaient réellement soin de leur prochain, ils contrôleraient leurs appétits (avidité, procréation, etc.) . "
" Puisque la majeur partie du grand public ne sait pas se contrôler, il y a donc une seule alternative pour réduire l’inductance économique du système :
Laisser la populace s’entre-tuer dans une guerre, ce qui aurait comme seul résultat une totale destruction de ce qui vit sur Terre.
Prendre le contrôle du monde à travers l’utilisation d’une " arme silencieuse " économique sous la forme d’une " guerre sans bruit " et ainsi réduire l’industrie économique du monde jusqu'à un niveau acceptable à travers un processus d’esclavage bienveillant et de génocide.
La dernière option a été retenue comme étant de manière évidente la meilleure. [...] Le public, en général, refuse d’améliorer sa mentalité et sa foi dans son prochain. Le public est devenu un troupeau grandissant de barbare et pour ainsi dire une scorie sur la face de la Terre.
Le public ne se préoccupe pas assez de science économique pour comprendre pourquoi il n’est pas capable d’éviter les guerres en dépit de la morale religieuse. Le refus, pour cause de religion ou pour cause d’autosatisfaction de traiter des problèmes de la Terre, rend la solution au problème de la Terre incompréhensible pour lui. C’est du ressort du petit nombre de ceux qui veulent réellement penser et survivre comme étant les plus aptes à survivre, de résoudre le problème pour eux-mêmes, parce qu’ils font partie du petit nombre de ceux qui cherchent réellement. "
Le document traduit complet est disponible ici en version RTF: Armesilencieuse.rtf
(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir "Enregistrer sous")
Autre traduction sur le site "SytiNet" de ce document
Le document américain original est disponible dans un livre de Mr William Cooper (à qui il a été communiqué) intitulé " Behold a pale horse ".
Éditions : Light Technology Publishing P .O. Box 1495 AZ 86336 USA
Il est aussi possible de l'obtenir à lui seul avec les coordonnées suivantes:
Intitulé: Silent Weapons For Quiet Wars (a programming and study in economic manipulation)
Editions: Cosmic Voyage Publications P.O. Box 1116 McMinnville OR 97128 USA
Quant à ceux qui sont intéressés par des compléments d’informations sur le groupe Bilderberger et les activités d’autres sociétés secrètes, ils pourront se référer au même livre de Mr Cooper, ainsi qu’ au " Livre Jaune n°5 " aux éditions Felix, écrit par un collectif d'auteurs (qui remplace et complète le livre: " Les sociétés secrètes " de Mr Jan van Helsing aux mêmes éditions Felix). Des références complètes sont disponibles dans la page intitulée: Le Nouvel Ordre Mondial.
Le gouvernement secret (1/4)
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989
révisé le 21 Novembre 1990
Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.
Pape Jean XXII, 1935
NDT : Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. : Light Tecnology PublishingP.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :
Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de " fiction " qui nous viennent des U.S.A. .
Le document est aussi disponible ici en version RTF: gouvsecr.rtf
(faire un click avec le bouton droit de la souris, puis choisir Enregistrer)
Quelques précisions avant de commencer la lecture du document
Illuminati :
Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette société regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.
Conseil des Relations Étrangères (CFR en américain) :
C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.
Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rites initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes permet aux Illuminati de s’assurer que leurs " recrues " sont en accord avec leurs objectifs).
Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.
Commission Trilatérale :
La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Vietnam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.
Groupe Bilderberg :
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...
VOCABULAIRE UTILISE POUR LA TRADUCTION
Extranéen : Néologisme créé à partir du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaine
Alienigène : Néologisme créé à partir du latin " alienigenus " (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.
Le gouvernement secret (2/4)
Perspective
Plusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a pu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les chronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette hypothèse.
Le gouvernement secret
Au cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et même utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.
De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation.
Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mesa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements" pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'"Agence centrale de renseignements".
Le "Conseil de sécurité nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la "coordination des mesures d'information sur les services de renseignements étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements " - Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme ".
NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. "
NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du personnel des renseignements, "tous les coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création d'un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès.
Une zone tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard.
James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.
Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .
Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents efforts. L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène, et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.
La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où va l'argent va le pouvoir". Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA vise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.
Le président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.
Au cours de l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d'une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon - lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.
Entre-temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.
Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant "Son Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant "le tout-premier otage Krlll", car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : "Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions " est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des " Ethériens " !
Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les différentes " autorités " et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai ".
Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un " tuyau " qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des marais ".
On accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.
Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le nom de code était "The Dark Side of the Moon" [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo " Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations de la "Solution 2" à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.
C'est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu'il fallait "aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels sécuritaires" consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à Washington.
Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes" est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples". Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés "les Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].
Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des " Skull and Bones " et " Scroll and Key " du temps où ils fréquentaient ces universités. Les " mages " sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et sont aussi membres d’un " Ordre secret de la Quête " connu sous le nom de société JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des "Mages" les plus important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation de cette section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire". C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude :
Gordon Dean, Président, Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude, Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude, Professeur Edward Teller Frank Altschul, Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong, Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr., Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie , Frank C. Nash McGeorge Bundy , Paul H. Nitze William A. M. Burden , Charles P. Noyes John C. Campbell , Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter , James A. Perkins George S. Franklin, Jr. , Don K. Price I.I. Rabi , David Rockefeller Roswell L. Gilpatric , Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby , Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith , Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth , James T. Hill, Jr. Shields Warren , Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson , Mervin J. Kelly Arnold Wolfers.
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code "Country Club", en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le " Country Club ").
Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année suivante, un compte rendu "officiel" des sessions sous le titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères", édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances? D'autre part,serions-nous réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la moindre idée.
En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les "constructions souterraines à grande profondeur". Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait copié ce document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son objectif principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.
Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à la fin j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.
Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, " le conducteur de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son épaule droite ". J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.
Il est important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton " d’aller se faire voir ailleurs ". Une fois que les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque. J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était révélé être plus tard, Lars Hansson.
Hansson a plus tard clamé que j’avais violé son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier. Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a réellement tué notre président.
Bo Gritz a déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz, qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble ?
Robert Grodin est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir une copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion et de perpétuer le nuage de brouillard.
J’ai appelé Bob Grodin et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du système de couverture de la vérité.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur les assassinats de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui était responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable de la sécurité de la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait à sa place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.
Pendant des années, j’ai parlé aux gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il était arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années. C’était la même information que celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie de la couverture ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à l’écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez " Hard copy ". Son nom est Bubs Hopper.
Un autre producteur (dont je ne me souviens plus le nom) de " inside Edition ", un autre TV magazine, m’a contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper. Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne ".
J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son intention avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l’apparence d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face d’une audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs britanniques de chez TV expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé " Rapport scientifique ".
Les auteurs du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits de ce livre sont de la véritable désinformation , suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers généraux de la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces colonies ont signé la constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait émis tout un "document de directives" pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée comme étant fausse.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble.
Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est une pure désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie.
John Lear dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes " suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes n’existent pas ".
Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre président. L'état major de la Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.
J'ai moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement: " Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres aussi.
On dirait que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les activités bien cachées. Le président de cette commission était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours fait.
Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui dénonçaient le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord préparait un plan pour suspendre la constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?
La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses compagnies de gestion, la banque de développement Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.
Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore, Shandera et Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour des lanternes.
Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman et prouver que le " document de directive " d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en dehors de toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.
Un autre plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes. Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au début des années 60.
Ce plan d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT: c’est, aux U.S.A., le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].
Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à certaines doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement psychiatrique. Je crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de programmes d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort.
Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?
Après avoir saisi les médias d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84, et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous réveiller et de réagir.
Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction, entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les revues comme étant l’expert de " ce qui s’est réellement passé ".
Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone. J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement " (citation de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce que nous méritons.
William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai demandé, m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour la défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun doute.
Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents, qu’il avait espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté des agences de renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était conclue par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands manipulateurs au cœur de pierre.
Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues " estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.
Jaimie Shandera est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste pour l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une petite annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui dépendaient autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président en charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale graphique que John Lear est l’agent appelé " Condor " de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA .
Quant à Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme! " ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la documentation que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de même étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!
Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une assistante financière serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses. C’est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la première fois présenté ce document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et le second mot était une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais déjà vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de déterminer si j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, " lisez sur mes lèvres ". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les lire tous les deux.
Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble avoir pris d’extrême précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage du bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu. Je vous recommande de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce qu’en France...].
J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant sur le fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout le reste de l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA nommé Budd Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur les kidnappés.
Je sais que toutes les organisations de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de contrôle par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu à l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue pas un conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été 1988 où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée, Vicki Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : " vous savez, mon magasine pourrait être financé par la CIA ".
J’ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs reprises que " la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ". L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant " le seul assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA et le groupe de Johnny Rosselli.
Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est Barry Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date du professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise en œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement de Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans l’appendice.
La preuve la plus accablante du contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La société Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).
Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut pas être contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de l’armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il soupoudre ses articles de mots comme " ovniologique ", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes. Il dit que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique la calomnie.
Selon des sources légitimes de responsables policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker II a été licencié après seulement six semaines pour " mauvaise conduite ". Mr Ecker est retourné à la prison d’état de l’Idaho où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr Ecker.
Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se révélait être le plus grand canular ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?
Si l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité.
A la plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération de contrôle de l’esprit par la CIA?
Selon les documents que j'ai vu, un citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée d'individus qui puisse être "mise en marche" et se retourner contre nous au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une "pétition accusatoire" et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.
Les conclusions sont inévitables :
1) Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa propre survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation doit son existence même à son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces principes. Il est temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.
2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances extranéenne et les pouvoirs humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la question primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ". Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d’agir correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un changement radical pour la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement et très silencieusement.
3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.
Si rien de ce qui précède n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres actions et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute, nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition du secret.
Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple" et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs d'Europe mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!
Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la population : "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace vous sauveront ". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous ". L’information la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.
Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique, alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les avons vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente.
"Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre. "
Ronald Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT : A noter qu’un président des Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation d’OVNI, observation qu’il avait officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.
D’après une remarque de Mr Cooper : Lorsque le président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
Le gouvernement secret (3/4)
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper.
J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.
Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.
J'ai entamé la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté." J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.
J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur une pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de bruit", lui ai-je dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans", m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier.
"Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper: Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?
Le vétéran: Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.
Cooper: La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran: On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper: Quel était le nom de ce hangar'?
Le vétéran: Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.
Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran: Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran: À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description du détenteur comme toute autre carte d'identité.
Cooper: Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran: On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.
Cooper: Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran: Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au cinéma.
Cooper: Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran: Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.
Cooper: Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran: De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.
Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran: Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.
Cooper: Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran: Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.
Cooper: Etaient-ils ronds?
Le vétéran: Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.
Cooper: L'officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran: Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.
Cooper: Étrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran: Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.
Cooper: Qu'advenait-il à ces hommes?
Le vétéran: Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.
Cooper: Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran: Non, pas du tout.
Cooper: Comment êtes-vous entré à Delta?
Le vétéran: J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.
Cooper: Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran: Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.
Cooper: Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran: D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper: N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran: J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de Dreamland?
Cooper: Que voulez-vous dire?
Le vétéran: Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?
Cooper: Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran: Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper: Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran: Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...
Cooper: Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?
Le vétéran: Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié.
Cooper: Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran: C'est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper: En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran: Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.
Cooper: Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran: L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles.
Cooper: Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran: Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper: À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?
Le vétéran: Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations, sans doute.
Cooper: Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran: Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper: Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran: Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.
Cooper: Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran: Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.
Cooper: Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran: Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper: Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.
Le vétéran: Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper: Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:J e ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.
Cooper: Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran: La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous... Personne n'y peut plus rien changer!
Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la sienne.
Il est le deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?
En définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !
* Le type de dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aéro-stratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Le gouvernement secret (4/4)
MORT DE COOPER
William Cooper, qui a diffusé dans les tout premier l'information concernant le gouvernement secret, ex-agent de la Navy américaine; et qui avait déjà pour cela failli perdre la vie (il avait perdu une jambe alors qu'une voiture de la CIA le laissait pour mort en ayant voulu l'écraser); est mort fin 2001.
Sa mort n'est pas naturelle, puisqu'il a été tué alors qu'il était pris dans un guet-apens organisé de manière officielle par un Sheriff qui venait l'arrêter pour des motifs qui ont rapport avec son implication dans des groupes de self-défense anti-gouvernementaux américains, groupes qu'il a rejoint depuis son dégoût de son gouvernement après tout ce qu'il a appris, et sa tendance paranoïaque justifiée par des menaces constantes pour sa vie et celle de sa famille. Son arrestation a été organisée comme un traquenard dans lequel une confrontation armée a suivi, Cooper a tué un adjoint de police et Cooper a été lui-même tué par le Sheriff.
Ainsi Cooper aura fini, après avoir perdu sa jambe, et vécu dans la peur et même la terreur constante (déménagements constants, il était sous surveillance, menaces, etc), par payer de sa vie le fait d'avoir été le porteur d'une vérité que beaucoup cherchent à cacher.
Quelle que soit la part de désinformation contenue dans ses propos (et il y en a toujours, parce que ses sources sont aussi des manipulateurs habiles), il a joué le jeu de diffuseur d'une part de vérité, aux côtés de ceux qui dans le gouvernement américain en ont eu assez que le secret soit constant et ont voulu laisser filtrer la vérité par morceaux; mais en contre-partie il a été la cible de ceux qui eux étaient à la solde du gouvernement secret.
Le participants à la réunion du 1er au 4 juin 2000
Nom
NAT
Fonction
Secrétaire général honorifique :J. Martin Taylor
UK
Président, WH Smith Group PLC, International Adviser, Goldman Sachs International
-----------------------------------------
Président honorifique :Etienne Davignon
BE
Président, Société Générale de Belgique
-----------------------------------------
Agnelli, Giovanni
IT
Président honorifique, Fiat S.p.A.
-----------------------------------------
Agnelli, Umberto
IT
Président IFIL - Fianziaria di Partecipazioni S.p.A.
-----------------------------------------
Aguirre y Gil de Biedma, Esperenza
ES
Président du sénat espagnol
-----------------------------------------
Allaire, Paul
US
Président du conseil de direction et directeur général, Xerox Corporation
-----------------------------------------
Ambrosetti, Alfredo
IT
Président, Ambrosetti Group
-----------------------------------------
Andersen, Bodil Nyboe
DK
Gouverneur, Central Bank of Denmark
-----------------------------------------
Asper, Israel
CN
Président, CanWest Capital Group Inc
-----------------------------------------
Avery, Graham
IN
Conseiller en chef pour l'élargissement, EC
-----------------------------------------
Balsemão, Francisco Pinto
PT
Prof. des sciences de communication, New Univ, Lisbon, Chair Impressa SGPS
-----------------------------------------
Barnevik, Percy
SE
Président, Investor AB
-----------------------------------------
Benschop, Dick
NL
Secrétaire d'état pour les affaires européennes
-----------------------------------------
Bernabè, Franco
IT
Représentant italien pour les initiatives de reconstruction dans les Balkans
-----------------------------------------
Betz, Hans-Georg
DE
Visiting Prof, European Studies, Cntr European Studies, Columbia & NY Univs.
-----------------------------------------
Bildt, Carl
IN
Envoyé spécial du secrétariat général pour les Balkans, ONU
-----------------------------------------
Black, Conrad
CN
Président, Telegraph Group Ltd
-----------------------------------------
Bruton, John
IR
Leader de Fine Gael
-----------------------------------------
Buchanan, Robin WT
UK
Associé principal, Bain & Company Inc
-----------------------------------------
Clarke, Kenneth
UK
Membre du parlement
-----------------------------------------
Çolakoglu, Nuri
TR
Président & directeur général, NTV
-----------------------------------------
Collomb, Bertrand
FR
Président & directeur général de Lafarge; Directeur de Elf Total-Fina; membre du comité de surveillance du groupe Allianz; membre du comité de Direction au Crédit de Commercial France.
-----------------------------------------
Cromme, Gerhard
DE
Président du conseil de direction, Thyssen/Krupp AG
-----------------------------------------
David, George
GR
Président, Hellenic Bottling Co. SA
-----------------------------------------
Deutch, John M
US
Professeur, MIT
-----------------------------------------
Diamandouros, P Nikiforos
GR
Médiateur National
-----------------------------------------
Dodd, Christopher J
US
Sénateur, D, Connecticut
-----------------------------------------
Donilon, Thomas E
US
Vice président sénior, consultant général, and secrétaire, FannieMae
-----------------------------------------
Dyson, Esther
US
Président EDventure Holdings Inc.
-----------------------------------------
Fréchette, Louise
IN
Député Secrétaire Général, ONU
-----------------------------------------
Fresco, Paolo
IT
Président Fiat S.p.A.
-----------------------------------------
Frum, David
CN
Chroniqueur, National Post
-----------------------------------------
Gouveia, Teresa Patrício
PT
Membre du Parlement (PSD)
-----------------------------------------
Graham, Donald E
US
Éditeur, The Washington Post
-----------------------------------------
Hagel, Chuck
US
Sénateur, R, Nebraska
-----------------------------------------
Halberstadt, Victor
NL
Prof of Economics, Leiden University; former Hon Sec Gen Bilderberg Meetings
-----------------------------------------
Hambro, Christian
NO
Director General, Research Council of Norway
-----------------------------------------
Hampel, Erich
AT
Président, Creditanstalt-Bankverein
-----------------------------------------
Hutchison, Kay Bailey
US
Sénateur, R, Texas
-----------------------------------------
Huyghebaert, Jan
BE
Président, Almanij NV
------------------------------------------
Janssen, Daniel E
BE
Président Solvay SA
------------------------------------------
Johansson, Leif
SE
President & directeur général Volvo AB
------------------------------------------
Johnson, James A
US
Président & directeur général, Johnson Capital Partners
------------------------------------------
Jordan Jr, Vernon E
US
P.D.G., Lazard Frères & Co LLC
------------------------------------------
Kayhan, Muharrem
TR
Vice Président du conseil de Söktas; ancien président de Tüsiad
-------------------------------------------
Kissinger, Henry A
US
Président, Kissinger Associates Inc
-------------------------------------------
Kopper, Hilmar
DE
Président du conseil de surveillance, Deutsche Bank AG
-------------------------------------------
Kravis, Henry R
US
Partenaire fondateur, Kohlberg Kravis Roberts & Co.
-------------------------------------------
Kravis, Marie-Josée
US
Senior Fellow, Hudson Institute Inc
-------------------------------------------
Lamy, Pascal
IN FR
Commissaire Européen
-------------------------------------------
Lévy-Lang, André
FR
Ancien président de Paribas
-------------------------------------------
Lippens, Maurice
BE
Président, FORTIS
-------------------------------------------
Lipponen, Paavo
FI
Premier Ministre
-------------------------------------------
Mathews, Jessica T
US
Président, Carnegie Endowment for International Peace
------------------------------------------
McDonough, William J
US
Président, Federal Reserve Bank de New York
------------------------------------------
Montbrial, Thierry de
FR
Directeur, IFRI (Institut Française pour les Relations Internationales)
------------------------------------------
Moore, Mike
IN
Directeur Général, WTO
------------------------------------------
Nass, Matthias
Rédacteur adjoint, Die Zeit
Her Majesty the Queen of the Netherlands
NL
------------------------------------------
Ollila, Jorma
FI
Président du conseil et directeur général, Nokia Corporation
-------------------------------------------
Padoa-Schioppa, Tommaso
IN
Membre du conseil de direction, Banque centrale Européenne
-------------------------------------------
Pagrotsky, Leif
SE
Ministre du commerce
-------------------------------------------
Papandreou, George A
GR
Ministre des affaires étrangères
-------------------------------------------
Petersson, Lars Eric
SE
Président et directeur général, Skandia
-------------------------------------------
Petritsch, Wolfgang
AT
Le haut représentant pour la Bosnie Herzégovine; négociateur européen au Kosovo
-------------------------------------------
Pury, David de
CH
Président, de Pury Pictet Turrettini & Co Ltd.
-------------------------------------------
Rasmussen, Anders Fogh
DK
Président, Liberal Party
-------------------------------------------
Reiten, Eivind
NO
Exec Vice President, Corporate Management, Norsk Hydro ASA
-------------------------------------------
Richardson, Bill
US
Secrétaire à l'énergie
-------------------------------------------
Riotta, Gianni
IT
Rédacteur adjoint, La Stampa
-------------------------------------------
Rockefeller, David
US
Président, Chase Manhattan Bank International Advisory Council
-------------------------------------------
Rodriguez Inciarte, Matías
ES
Exec Vice président, Banco Santander Central Hispano BSCH)
-------------------------------------------
Roll, Eric
UK
Senior conseiller, UBS Warburg
-------------------------------------------
Ruggiero, Renato
IT
Vice président, Schroder Salomon Smith Barney International, and Chairman, Italy
-------------------------------------------
Scholten, Rudolf
AT
Membre du conseil et directeur executif, Österreichische Kontrollbank AG
-------------------------------------------
Schoutheete de Tervarent, Ph de
BE
Ancien représentant permanent de la Belgique auprès de l'union européenne
-------------------------------------------
Seidenfaden, Tøger
DK
Rédacteur en chef, Politiken
-------------------------------------------
Solana Madariaga, Javier
IN
Secrétaire Générale, Conseil de l'union européenne
--------------------------------------------
Soros, George
US
Président, Soros Fund Management
--------------------------------------------
Steinberg, James B
US
Assistant adjoint du président pour les affaires de sécurité nationale (NSA)
--------------------------------------------
Strauss-Kahn, Dominique
FR
Ancien ministre des finances; Professeur, Université de Paris
--------------------------------------------
Surroi, Veton
YU
Editeur, KOHA Ditore
--------------------------------------------
Sutherland, Peter D
IR
Président, Goldman Sachs International, & Chairman, BP Amoco plc
--------------------------------------------
Tarullo, Daniel K
US
Visitng Professor of Law, Georgetowm University Law Center
--------------------------------------------
Thornton, John L
US
Président & Co-COO, Goldman Sachs Group Inc.
--------------------------------------------
Tremonti, Giulio
IT
Membre de la Commission des Finances, Chambre des Députés
--------------------------------------------
Trichet, Jean-Claude
FR
Gouverneur, Banque de France
--------------------------------------------
Vasella, Daniel L
CH
Président et directeur général, Novartis AG
--------------------------------------------
Veer, Jeroen van der
NL
Group MD, Royal Dutch/Shell Group; Designate Pres. Royal Dutch Petroleum
--------------------------------------------
Vink, Lodewijk JR de
US
Président & directeur général, Warner Lambert
--------------------------------------------
Vranitzky, Franz
AT
Ancien Chancelier Fédéral
--------------------------------------------
Wallenberg, Jacob
SE
Président, Skandinaviska Enskilda Banken
--------------------------------------------
Wolf, Martin
UK
Rédacteur associé/Commentateur Économique
--------------------------------------------
Wolfensohn, James D
IN/US
Président, La Banque Mondiale
--------------------------------------------
Wolff von Amerongen, Otto
DE
Président & directeur général, Otto Wolff GmbH
--------------------------------------------
Wolfowitz, Paul
US
Ancien haut fonctionnaire du gouvernement Bush, aujourd'hui doyen de l'Ecole des études internationales avancées (SAIS) de l'université Johns-Hopkins
--------------------------------------------
Rapporteur:Mickelthwait, R. John
UK
Rédacteur, The Economist
--------------------------------------------
Rapporteur:Wooldridge, Adrian D
UK
Correspondant à l'étranger, The Economist.
MALGRÉ LA PRÉSENCE DE PERSONNES AUSSI INFLUENTES, AUCUN MEDIA NE SE FAIT L'ÉCHO DE CES RÉUNIONS :
POURQUOI ???
Infiltration dans le Bilderberg 2005
La réunion annuelle secrète du groupe de Bilderberg déterminera un grand nombre des gros titres de la presse — et de ses analyses — que l'on pourra lire dans les mois à venir. Pourtant les médias de l'establishment ont passé cette conférence complètement sous silence. A l'exception d'une demi-douzaine de journalistes triés sur le volet, qui ont tous juré de garder le secret, peu nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler de ce groupe secret et très fermé qui s'appelle les Bilderbergers.Les médias du courant dominant, qui aiment vanter leurs exploits d'investigations approfondies sur des sujets tabous, ont été étrangement peu disposés à lever le voile sur un événement d'importance majeure : les conférences annuelles secrètes du Groupe de Bilderberg, réunissant les financiers, les industriels et les personnages politiques les plus puissants de la planète.2005 n'a pas été un bon cru pour cette organisation secrète et son avenir semble morose. En effet, les efforts herculéens, déployés pour maintenir le secret sur sa réunion de cette année, qui s'est tenue à Rottach-Egern [à 60 km de Munich], ont lamentablement échoué. Et lorsque le groupe de Bilderberg est embarrassé, le monde libre reprend espoir, à l'aube du nouveau millénaire, de contenir ceux qui ont accaparé le pouvoir. Le groupe de Bilderberg a peut-être perdu un peu de son éclat passé, il n'empêche que le secret qui entoure ses réunions fait toujours ressembler la franc-maçonnerie à une cour de récréation. Le personnel de l'hôtel a été fiché et placé sous autorisation spéciale. Des portiers aux senior managers, les employés ont été prévenus (sous la menace de ne plus jamais travailler dans le pays) des conséquences auxquelles ils s'exposent si jamais ils révèlent à la presse le moindre détail sur les participants.A priori, les médias internationaux et nationaux sont les bienvenus, à condition de prêter serment ne rien dévoiler sur ce qu'ils y ont entendu. Il doivent garder un silence absolu et leurs rédacteurs en chef sont tenus pour responsables au cas où un de leurs journalistes ferait un reportage, même par "inadvertance", sur ce qu'il s'y passe.Lorsque Bush, Blair, Chirac, Berlusconi et compagnie participent aux sommets du G8, réunissant les dirigeants élus les plus importants du monde, les médias internationaux les accompagnent en masse. Le contraste saisissant avec le Bilderberg, c'est que les allées et venues s'y passent dans un black-out publicitaire quasi-total. Les discussions qu'ils engageront cette année — la manière dont le monde doit s'accommoder des relations entre l'Europe et les Etats-Unis, la poudrière du Proche-Orient, la guerre d'Irak, l'économie globale et comment empêcher une guerre avec l'Iran — et le consensus auquel ils parviendront influenceront le cours de la civilisation occidentale et l'avenir de toute la planète. Cette réunion se déroule à huis clos dans un secret total, protégée par une phalange de gardes armés.Quel Etait l'Ordre du Jour du Bilderberg 2005 ?Après trois années caractérisées par les hostilités et les tensions entre les "Bilderbergers" européens, britanniques et américains, à cause de la guerre d'Irak, l'atmosphère de sympathie qui régnait entre ses membres a été mise à mal. Toutefois, ceux-ci ont maintenu une cohésion dans leur objectif à long terme — qu'ils ont réaffirmé — à savoir, renforcer le rôle de l'ONU dans le règlement des conflits et des relations planétaires.Pour comprendre la véritable situation internationale, il faut savoir que les Américains ne sont pas plus des "faucons" que les Européens ne sont des "colombes". Les Européens s'étaient joints à la cohorte de soutien dpour une invasion d'Irak en 1991, orchestrée par le Président Bush père, célébrant — selon les mots d'un prédateur renommé appartenant au Bilderberg — la fin du "syndrome américain du Vietnam". Et puis, les Européens ont également soutenu l'invasion de la Yougoslavie orchestrée par le Président Bill Clinton, mettant l'OTAN au service de cette opération.Un sujet qui a été beaucoup discuté à Rottach-Egern, cette année, est le concept d'imposer une taxe onusienne prélevée sur l'ensemble des habitants de planète par l'intermédiaire d'une taxe sur le pétrole prélevée directement à la source. En fait, ceci crée un précédent car si elle mise en application, ce sera la première fois qu'une agence non-gouvernementale (les Nations-Unies) bénéficiera directement d'une taxe sur les citoyens des nations libres et des nations asservies.Cette proposition du Bilderberg appelle, pour commencer, à une minuscule perception par l'ONU que le consommateur remarquera à peine. Jim Tucker, du magazine Spotlight désormais interdit, a écrit il y a des années "Etablir le principe que l'ONU peut directement taxer les citoyens du monde est important pour le Bilderberg. C'est un autre pas de géant vers un gouvernement mondial. Les Bilderbergers savent que promouvoir publiquement une taxe de l'ONU sur tous les peuples de la Terre provoquerait des réactions d'indignation. Mais ils sont patients; le groupe de Bilderberg a déjà proposé, il y a des années, une taxe mondiale directe. Ils célèbrent aijourd'hui le fait que cela fait désormais partie du débat public et que les gens y font peu attention et ne s'en inquiètent guère."Le groupe de Bilderberg veut une "harmonisation des taxes" pour que les pays ayant un haut niveau d'imposition puissent concurrencer en matière d'investissements étrangers les nations aux taxes "amicales" — y compris les Etats-Unis. Ils "harmoniseraient" les taxes en obligeant les taux américains et ceux d'autres pays à monter afin que la Suède socialiste, au taux de 58%, puisse être "compétitive".Les ONGL'ascension des ONG est un progrès que l'ancien Président Clinton décrit soudainement (le lendemain où cela fut discuté à Rottach-Egern) comme l'une des "choses les plus remarquables depuis la chute du Mur de Berlin". L'ironie, c'est que la déclaration de Clinton fut reprise par le Wall Street Journal — quotidien toujours représenté aux réunions du Bilderberg par son vice-président Robert L. Bartley et son rédacteur en chef de la page éditoriale, Paul Gigot.Les Bilderbergers ont débattu vigoureusement pour que des militants écologiques non-élus et nommés par leurs soins aient, pour la première fois, une position d'autorité gouvernementale au conseil de direction de l'agence qui contrôle l'utilisation de l'atmosphère, l'espace extra-atmosphèrique, les océans, et, pour des raisons pratiques, la biodiversité. Cette invitation à ce que la "société civile" participe à la gouvernance globale est décrite comme une expansion de la démocratie.Selon des sources au sein du Bilderberg, le statut de ces ONG serait même encore relevé à l'avenir. Leurs activités comprendraient l'agitation au niveau local, le lobbying au niveau national et la production d'études pour justifier une taxation globale par l'intermédiaire d'organismes de l'ONU tels que le Pacte Mondial [Global Plan] — un des projets favoris du Bilderberg depuis plus de dix ans. La stratégie pour faire avancer le programme de gouvernement mondial comprend spécifiquement des programmes pour discréditer des personnes et des organisations qui génèrent des "pressions politiques internes" ou des "actions populistes" et qui ne soutiennent pas la nouvelle éthique mondiale. L'objectif ultime, selon ces sources, étant de supprimer la démocratie.Le programme environnemental des Nations-Unies, ainsi que tous les traités environnementaux placés sous sa juridiction, seraient finalement dirigés par un corps spécial de militants écologistes. Ces derniers seraient choisis uniquement parmi les ONG accréditées par les délégués de l'Assemblée Générale, qui sont eux-mêmes nommés par le Président des Etats-Unis, qui est lui-même contrôlé par le directorat enchevêtré Rockefeller/CFR/Bilderberg. [CFR = Council on Foreign Relations, le conseil aux relations étrangères]. Ce nouveau mécanisme apporterait une voie directe vers les plus hauts niveaux de gouvernance mondiale aux ONG locales, "de terrain", affiliées aux ONG nationales et internationales. Par exemple : The Greater Yellowstone Coalition, un groupe d'ONG affiliées, a récemment adressé une pétition au Comité Mondial du Patrimoine de l'UNESCO pour qu'il intervienne dans les plans d'une société privée qui voulait extraire de l'or dans un terrain privé à proximité du Parc National de Yellowstone. Le Comité de l'UNESCO est intervenu et a immédiatement classé Yellowstone comme "Site du Patrimoine Mondial en Danger". Selon les termes de la Convention du Patrimoine Mondial, les Etats-Unis ont l'obligation de protéger ce parc, même au-delà de ses limites, et jusqu'aux terrains privés si nécessaire.Les idées qui sont discutées, si elles sont mises en application, auront pour conséquence de placer tous les habitants de la planète dans une sorte de banlieue globale, dirigée par une bureaucratie planétaire, sous l'autorité directe d'une toute petite poignée de personnes nommées. Et nous serions tous surveillés par des milliers de personnes, payées par ces ONG accréditées, avec la certitude qu'elles soutiennent le même système de croyance. Bien sûr, pour beaucoup de personnes, cela est incroyable et inacceptable.Les Elections en Grande-BretagneLes Bilderbergers célèbrent le résultat qu'il voulaient obtenir. Le retour d'un Tony Blair bien plus humble au 10 Downing Street avec une majorité parlementaire réduite. Les Bilderbergers européens sont toujours en colère contre lui pour avoir soutenu la guerre de l'Amérique en Irak. Même s'ils ont donné à Blair une leçon utile de politique internationale, les Bilderbergers pensent en fait qu'il est un candidat bien plus sûr pour poursuivre le chemin vers l'intégration européenne que son rival conservateur, Michael Howard.Le Programme des NéoconservateursLa faction, connue sous le nom de "néoconservateurs" est arrivée à grand renfort. Ce sont eux qui ont déterminé que la sécurité d'Israël devait se faire aux dépends de la sécurité des Etats-Unis et qu'elle devait être au centre de toutes les décisions américaines de politique étrangère.Le plus voyant parmi ce groupe est l'espion israélien Richard Perle, qui a fait l'objet d'une enquête par le FBI pour espionnage au profit d'Israël. Perle a joué le rôle décisif pour précipiter les Etats-Unis dans la guerre contre l'Irak. Il fut forcé de démissionner le 27 mars 2003 du Conseil Politique de Défense du Pentagone, après que l'on apprit qu'il avait conseillé Goldman Sachs International — participant habituel du Bilderberg — sur la manière dont cette société pouvait profiter de la guerre en Irak.Un autre personnage néoconservateur disponible était Michael A. Ledeen, un "intellectuel parmi les intellectuels". Ledeen travaille pour l'American Enterprise Institute, un groupe de réflexion fondé en 1943, avec lequel Richard Perle est associé de longue date. L'AEI et la Brookings Institution dirigent le Joint Center for Regulatory Studies [Centre Conjoint d'Etudes Réglementaires] (JCRS) dont le but est de tenir les députés et les organismes de contrôle "pour responsables de leurs décisions en leur fournissant des analyses réfléchies et objectives sur les programmes de réglementation existants ainsi que de nouvelles propositions réglementaires". Le JCRS pousse à l'analyse coûts/bénéfices des réglementations, qui entre dans le cadre de l'objectif ultime de déréglementation de l'AEI (et des Bilderbergers).Cette année, ces néoconservateurs furent aussi rejoints au Bilderberg par une poignée d'autres anciens décideurs et publicitaires de première importance, basés à Washington et connus pour leurs sympathies pour Israël. Il y avait parmi eux : l'ancien haut-fonctionnaire du Département d'Etat, Richard N. Haas, président du CFR et ancien Secrétaire d'Etat adjoint ("père" de l'accord de Dayton[1]) ; Richard Holbrooke ; Dennis Ross du WINEP [Washington Institute for Near East Policy, l'Institutut de Washington pour la Politique au Proche-Orient] pro-israélien, une ramification du comité israélo-américain aux affaires publiques (l'AIPAC) et de l'institut juif pour les affaires de sécurité nationale (le JINSA) ; ainsi que le tout nouveau président élu de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz.Dennis Ross, Richard Perle et compagnie meurent d'envie de "faire passer le message" : procéder au nettoyage ethnique d'autant de Palestiniens que possible de la Cisjordanie et de Gaza. Voici ce que déclarait en 1989 l'ancien premier ministre Netanyahou devant des étudiants de l'université Bar-Ilan : "Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde était focalisée sur ce pays, pour procéder à des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires". Les résidents de la Communauté Européenne n'avaient peut-être aucune idée sur les intentions des Sionistes vis-à-vis des Palestiniens, mais, en Israël, à mon grand étonnement, le nettoyage ethnique est un sujet populaire de discussion. 50% ou plus des Israéliens pensent que le nettoyage ethnique est une bonne idée. Quand on pense que cela vient d'une nation qui est supposée se souvenir de l'Holocauste ! La réalité dépasse vraiment la fiction !L'EnergieUn Bilderberger Américain a exprimé ses inquiétudes concernant la montée en flèche du prix du pétrole. Un "initié" de l'industrie pétrolière a fait remarquer que la croissance n'est pas possible sans énergie et que, selon tous les indicateurs, les réserves d'énergie mondiale approchent de leur épuisement beaucoup plus vite que les dirigeants du monde ne l'ont anticipé. Selon nos sources, les Bilderbergers estiment que les réserves accessibles de pétrole sont au maximum de 35 ans, compte tenu du développement économique et de la population actuelles. Toutefois, un des représentants d'un cartel pétrolier a fait remarquer la nécessité de prendre en compte dans cette équation l'explosion de la population ainsi que la croissance économique et la demande pétrolière de la Chine et de l'Inde. Selon ces conditions révisées, il y a apparemment seulement assez de pétrole pour durer 20 ans. Plus de pétrole signera la fin du système financier mondial. Tout cela a été reconnu par le Wall Street Journal et le Financial Times, deux périodiques qui sont régulièrement présents à la conférence annuelle des Bilderbergers.En conclusion, attendez-vous à une sévère crise de l'économie mondiale dans les deux prochaines années alors que les Bilderbergers tenteront de protéger les réserves de pétrole restantes en prenant l'argent des mains des gens. Dans une récession ou, au pire, une dépression, les populations seront obligées de diminuer radicalement leurs habitudes de dépenses, assurant ainsi un plus long approvisionnement de pétrole aux riches de ce monde alors qu'ils tenteront de concocter une solution.Durant le cocktail d'après midi, un Bilderberger européen a noté qu'il n'y a aucune alternative convaincante à l'énergie des hydrocarbures. Et un initié américain a déclaré que le monde utilise actuellement entre quatre et six barils de pétrole pour chaque nouveau baril qu'il trouve et que, dans le meilleur des cas, les perspectives de faire une découverte majeure à court terme sont minces. Quelqu'un a demandé une estimation des réserves classiques de pétrole accessibles. Le montant cité était d'environ un trillion de barils. Accessoirement, il est intéressant de noter que la planète consomme un milliard de barils tous les 11,5 jours. Un autre Bilderberger a posé des questions à propos de l'hydrogène comme alternative aux réserves de pétrole. L'officiel du gouvernement des USA a avoué, sombrement, que l'hydrogène sauveur de l'imminente crise énergétique mondiale était un conte de fées.Cela confirme la déclaration publique faite en 2003 par IHS-Energy (société de consultants leader en recensement des réserves et des découvertes d'hydrocarbures) selon laquelle il n'y a pas eu une seule découverte de champ pétrolier dépassant les 500 millions de barils depuis les années 1920.A la conférence Bilderberger de 2005, l'industrie pétrolière était représentée par John Browne, directeur général de BP; John Kerr, directeur de Royal Dutch Shell; Peter D. Sutherland, président de BP et Jeroen Van der Veer, président du comité de direction de Royal Dutch Shell.Il faut se rappeler que, fin 2003, le géant pétrolier Royal Dutch Shell a annoncé qu'il avait surestimé ses réserves de quelques 20 %. La Reine Beatrix de Hollande, l'actionnaire principale de Royal Dutch Shell, est membre à part entière du groupe de Bilderberg. Son père, le prince Bernhard fut l'un des fondateurs du groupe de Bilderberg en 1954. Le Los Angeles Times a rapporté que "Pour les firmes pétrolières, les réserves comptent pour rien moins que la 'valeur de la compagnie'." En fait, Shell a réduit ses estimations de réserves non pas une, mais trois fois, conduisant à la démission de son co-directeur. A Rottach-Egern, en mai 2005, les plus hauts dirigeants de l'industrie ont tenté d'imaginer comment cacher au public la vérité sur les réserves de pétrole qui sont en diminution. Que le public prenne connaissance de la diminution des réserves et les actions baisseront, ce qui pourrait détruire les marchés financiers, conduisant ainsi à un effondrement de l'économie mondiale.Le Referendum Constitutionnel en FranceLe premier jour des rencontres secrètes au Bilderberg 2005 fut dominé par une discussion sur le referendum constitutionnel en France et pour savoir si Chirac pouvait persuader la France de voter OUI le 29 mai. Un vote pour, selon des sources au sein du Bilderberg, mettrait une grosse pression sur Tony Blair pour confier la Grande-Bretagne aux bras ouverts du Nouvel Ordre Mondial par l'intermédiaire de leur propre referendum sur le traite programmé pour 2006. Matthias Nass s'est demandé à haute voix si un vote en France contre le traité pouvait causer à coup sûr une tempête politique en Europe et éclipser les six mois de présidence européenne de la Grande-Bretagne (qui débute le 1er juillet). Les Bilderbergers espèrent que Blair et Chirac, qui ont étalé au grand jour, à plusieurs reprises, leur animosité, peuvent travailler ensemble pour leur bénéfice mutuel et leur survie politique. Un autre Bilderberger européen a ajouté que les deux leaders doivent laisser derrière eux et aussi vite que possible toutes leurs anciennes querelles sur des sujets comme l'Irak, la libéralisation de l'économie européenne et l'avenir du rabais que la Grande-Bretagne a reçu de l'UE ; et qu'ils doivent s'atteler à une intégration européenne complète, qui pourrait se désintégrer si le peuple français, souvent "têtu et obstiné" (selon les mots d'un Bilderberger britannique) ne font pas ce qu'il faut. Entendez par là : abandonner leur indépendance pour le "plus grand bien" d'un super Etat fédéral européen !Un Bilderberger allemand initié a déclaré que le vote français pour le OUI était délicat à cause des "délocalisations. Les emplois en Allemagne et en France s'envolent pour l'Asie et l'Ukraine," (pour profiter d'une main d'œuvre bon marché). [L'Ukraine qui se presse à la porte de l'Union Européenne…] Un politicien allemand a demandé comment Tony Blair allait faire pour demander aux Britanniques d'embrasser la Constitution Européenne lorsque, à cause des délocalisations, la France et l'Allemagne connaissent des taux de chômage de 10% et que la Grande-Bretagne se porte économiquement bien.Les Américains Hors-la-loiUne loi aux Etats-Unis, Logan Act, stipule de façon explicite qu'il est criminel pour des hauts-fonctionnaires américains de participer à l'élaboration de politiques publiques avec des citoyens du secteur privé. Bien qu'une de ses sommités manquait au Bilderberg 2005 — l'officiel du Département d'Etat américain, John Bolton, témoignait devant la Commission des Affaires Etrangères du Sénat [américain] — le gouvernement américain était bien représenté à Rottach-Egern par Alan Hubbard, assistant du président à la politique économique et directeur du Conseil Economique National ; William Lutti, sous-Secrétaire adjoint à la Défense ; James Wolfensohn, président sortant de la Banque Mondiale; et Paul Wolfowitz, Secrétaire d'Etat adjoint et président entrant de la Banque Mondiale. En participant à la réunion du Bilderberg 2005, ces personnes enfreignent les lois fédérales des Etats-Unis.Auna TelecomunicacionesLors du cocktail du samedi soir [le 7 mai] au luxueux Dorint Sofitel Seehotel Überfahrt de Rottach-Egern, en Bavière, plusieurs Bilderbergers qui se trouvaient au bar avec la Reine Beatrix de Hollande et Donald Graham, le PDG du Washington Post, discutaient de la vente prochaine du géant espagnol des télécommunications et du câble : AUNA. Auna exploite des services de téléphonie fixe, un réseau de téléphonie mobile, un système de télévision par câble et est aussi un fournisseur Internet. Un des Bilderbergers, familier avec ce sujet [probablement Henry Kravis, selon la description physique donnée par notre source présente à cette réunion], a déclaré que les activités de téléphonie mobile d'Auna pourraient rapporter quelques 10 milliards d'Euro, en tenant compte des dettes. Un autre Bilderberger (un homme de haute taille au front dégarni) a ajouté que les actifs immobilisés pouvaient atteindre 2,6 milliards d'Euro. Des sources proches de ces Bilderbergers ont déclaré en privé que Kohlberg Kravis Roberts & Co, une société de capital-investissement, est intéressée par l'achat de l'ensemble d'Auna. L'abondance de crédit bon-marché et les taux d'intérêt bas ont fait d'Auna une cible appétissante pour les investisseurs institutionnels. Kohlberg Kravis Roberts & Co est représentée aux réunions du Bilderberg par sa sommité, le milliardaire Henry Kravis, et sa femme, née dans une petite ville du Québec, Marie-José Kravis, cadre supérieur dans l'organisation néoconservatrice Hudson Institute. En conclusion: attendez-vous à une couverture et à un soutien favorable pour Kohlberg Kravis Roberts & Co de la part de Grupo Prisa, dont le conseiller délégué, Juan Luis Cebrian, participe toujours aux réunions super-secrètes du Bilderberg. Au cas où Kravis échouerait à constituer une offre compétitive, attendez-vous à une couverture semblable pour Goldman Sachs Group, dont Martin Taylor [son PDG] est le secrétaire-général honoraire du Groupe de Bilderberg et dont un autre Bilderberger, Peter Sutherland est le président de Goldman Sachs International ainsi que président européen de la commission trilatérale. Dans le passé, les révélations sur les réunions du Bilderberg ont alerté — des mois avant que les grands médias n'en parlent — sur l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis, les augmentations d'impôts et la chute de Margaret Thatcher en tant que premier-ministre de la Grande-Bretagne.L'Impasse entre l'Indonésie et la MalaisieUne confrontation politique et militaire entre ces deux nations dans la mer de Sulawesi riche en pétrole (toutes deux proclament que la région d'Ambalat, riche en pétrole, fait partie de leurs droits territoriaux) fut le sujet d'une discussion très animée entre plusieurs Bilderbergers Américains et Européens lors d'un cocktail d'après-midi. Un Bilderberger Américain agitant son cigare a suggéré d'utiliser l'ONU pour "promouvoir une politique de paix dans la région." En fait, les Bilderbergers qui étaient assis autour de la table du salon s'accordaient pour dire qu'un tel conflit pourrait leur donner une excuse pour mettre dans cette région disputée une garnison de "gardiens de la paix" de l'ONU, et donc assurer leur contrôle ultime sur ce trésor, c'est à dire des réserves pétrolières non exploitées. La ChineLes Bilderbergers américains et européens, réalisant l'urgence absolue de s'étendre dans les marchés en développement pour maintenir l'illusion d'une croissance sans fin, se sont mis d'accord pour nommer Pascal Lamy, socialiste français et partisan fanatique d'un super Etat européen, comme prochain président de l'OMC. Il faut se rappeler que Washington a donné son aval à la nomination de Pascal Lamy à la condition que les Européens soutiennent la nomination de Paul Wolfowitz comme chef de la Banque Mondiale. Selon des sources faisant partie des initiés du groupe de Bilderberg, Lamy a été choisi pour aider à diriger le système marchand mondial dans une période caractérisée par les sentiments protectionnistes de pays riches tels que la France et l'Allemagne, toutes deux titubant à cause d'un chômage élevé et réticentes à accroître l'exigence musclée du contrôle des marchés par les économies émergentes. Les Etats du Tiers Monde, par exemple, insistent sur les réductions des subventions agricoles européennes et américaines. La dynamique de libéralisation orchestrée par l'OMC s'est effondrée dans l'acrimonie à Seattle en 1999 puis à Cancun en 2003. Les Bilderbergers se sont mis d'accord secrètement sur la nécessité d'obliger les pays pauvres à entrer dans un marché mondialisé pour fournir des biens bon-marché tout en les forçant simultanément à devenir leurs clients. Le désaccord actuel avec la Chine en est un très bon exemple, puisque les Chinois ont inondé les pays occidentaux de marchandises bon-marché, dont les textiles, poussant les prix à la baisse. En échange, les Bilderbergers ont pénétré un marché émergent mûr mais vulnérable au savoir-faire supérieur des occidentaux. Des pays similaires en voie développement acquièrent lentement un meilleur pouvoir d'achat et le monde industrialisé met un pied dans leurs économies intérieures en visant des exportations bon-marché.
* * *
voir le lien ci-dessous
vidéo
http://leweb2zero.tv/multipod/alfred_27484ba3b73294a
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire